Femmes atteintes d’un Cancer du Sein : Effet du Maintien d’un niveau suffisant d’Activité-Physique 

Chez les Femmes, le Cancer du Sein est l’un des Cancers les plus Commun.

Chaque année, 86 000 femmes sont affectées par ce cancer.

Il est alors recommandé à ces femmes, d’acquérir ou/et maintenir de saines habitudes de vie :

  • Rester Suffisamment Actives Physiquement, par l’intermédiaire d’Exercice-Physique Adapté
  • Avoir des Habitudes Saines liées à leur Alimentation

Des niveaux élevés d’Activité-Physique, aident à Maintenir et Améliorer la Santé Physique et la Qualité de vie de ces femmes.

Cette participation à l’Exercice-Physique, permet également de Réduire l’ensemble de ces Effets Négatifs liés à leur Traitement.

Il est alors recommandé, de participer chaque semaine, à un minimum de 150 minutes d’Activité-physique d’Intensité Modérée, et à 75 minutes d’Activité-Physique de Haute Intensité.

Au Japon, ces Recommandations prennent place du « Maintien d’un Niveau Élevé d’Activité-Physique ».

Pour cette étude, 2 groupes de femmes, furent suivies durant 12 semaines.

Groupe 1 : Participation encadrée à l’Exercice-Physique + Participation à l’Exercice à Domicile, grâce à l’utilisation d’outils de mesure portables.

Groupe 2 : Traitement Classique avec le port d’une Montre permettant le recueil de d’indices liés à cette activité-physique (Fitbit Smart Watch).

Ces femmes furent :

  • Âgées de 20 ans à 59 ans, lors leur diagnostique de Cancer.
  • Diagnostiquées d’in Cancer du Sein Rémanent, 2 à 13 mois après la Chirurgie.
  • Sans Nécessité de recours à la Chimiothérapie, venant s’ajouter à leur traitement  hormonal.
  • Couramment non engagées à plus de 30 minutes d’Activité-Physique de Faible Intensité, sur 2 jours non-successifs, de la semaine (Total de 60 minutes par semaine).
  • Capable de compléter un Questionnaire Electronique, depuis leur Smartphone

Cette étude est actuellement en cours.

 

Cancer du Sein : Marche, Vélo…du Sport

 

De nombreuses preuves démontrent aujourd’hui la responsabilité de cette Absence d’Activité-Physique, liée au développement de nombreuse Maladies Chroniques (Pathologies Cardiovasculaires et Cancers).

En Europe, 9,3% de ces Cancer du Sein et 9,8% de ces Cancers du Colon, peuvent être attribuer à cette absence d’activité-physique.

Ces estimations permettent alors d’annoncer ces -25%¨de risque de Cancer du Sein, grâce à la Croissance de cette participation à l’Activité-Physique.

Cette participation à l’Activité-Physique, bénéficiant d’avantage encore, à l’ensemble » de ces  Femmes ménopausées

Ces Bénéfices se montrent liés, à l’Augmentation de ces :

–           Volume d’Activité-Physique, liée au Temps de Loisir,

–           Temps de Marche/Vélo

–           Temps de Transports Quotidiens

–           Temps d’Entretien de la Maison

–           Temps d’Activité-Quotidienne

Nos Politiques Publiques se doivent alors promouvoir ces :

–            Pistes Cyclables et Piétonnes

–           Constitution de Groupes de participation à la  Marche

–           Parcs et Espaces Verts

De manière à Promouvoir cette Participation-Publique à l’Activité-Physique.

 

Système-Web permettant Programmation d’Exercice-Physique, Pour Contrer les Effets Secondaires Délétères, liés à la Chimiothérapie

 

Le Diagnostique eu Cancer est accompagné d’une Fatigue Physique et Émotionnelle. Situation conduisant à Détériorer la Qualité de Vie de ces personnes.

Une Moindre participation à l’Activité-Physique, se montre alors liée à :

  • Un Moindre volume d’Activité-Physique

Situation liée à une Détérioration des Capacités Physiques, à des Modifications liés au Métabolisme.

Ces 2 éléments ne manquent alors, d’Accroître le Risque de Récurrence du Cancer et le Risque de Décès.

Cercle vicieux qu’il est difficile de contrer.

68 patients chez qui fut diagnostiqué un Cancer du sein, suivaient une Chimiothérapie.

  • 34 patients participèrent à un Programme-Web de 8 semaines, permettant cette Participation à l’Exercice-Physique.

Furent alors observés, l’évolution de leurs :

  • Capacités Fonctionnelles
  • Force
  • Composition Corporelle
  • Mesures Anthropométriques’

Ces patientes ayant participé à ces 8 semaines d’Exercice-Physique, grâce à cette Interface-Web,

Enregistrèrent :

  • Une Meilleur Capacité liée à la Marche (Croissance de la distance parcouru, sur une même période de Temps).
  • Un Gain de Force, lié aux Abdominaux, au Dos et au Jambes

Ce Programme-Web, permettant participation à l’Exercice-Physique, est Efficace de manière à contrer ces effets délétères de la Chimiothérapie.

A l’égard de ces Capacités-Fonctionnelles et Force Musculaire.

Activité-Physique vs Déclin Cognitif !? Et bien Oui!

Changements liés au Cerveau en période de Déclin Cognitif, grâce à l’Activité-Physique

Au sein de notre population vieillissante, la maladie d’Alzheimer constitue la cause principale de Démence.

Au sein de notre Système de Santé-Publique,

L’ensemble des Dépenses financières liées à l’Impact Socio-Economique de cette Situation, sont les plus élevées.

Or oui, l’ensemble des traitements pharmaceutiques permettant Prévention de ce Déclin Cognitif, demeurent partiels.

De ce fait, L’intérêt est aujourd’hui guidé vers des formes alternatives de traitement, pouvant prendre place au sein du quotidien de ces personnes.

L’Activité-Physique se montre alors, in intérêt grandissant.

En effet, ces bénéfices d’une participation à l’activité-physique, sont déjà reconnus à l’égard de pathologies cardiovasculaires, de Cancers et de problèmes psychologiques.

Ces effets positifs d’une participation à l’Exercice-Physique, sur nos Aptitudes Cognitives et la Structure de notre Cerveau, furent également décris.

Cette participation à l’activité-physique demeure un outil de 1er intérêt, à l’égard de cette Prévention du Déclin Cognitif lié au Vieillissement.

L’observation de l’ensemble des travaux de recherche menés à cet égard, sont formels :

Cette Participation à l’Activité-Physique, constitue un Soutien Structurel et Fonctionnel, au regard de ces altérations de notre cerveau.

Ce Soutien fut particulièrement observé, au regard de ces régions particulièrement sensibles à cette Neuro-Dégénérescence, source de Déclin Cognitif.

Donc oui, ce Fait est Attesté et ce doit Diffusé !

 

Consommation de Fruits et Légumes par nos Enfants

Consommation de Fruits et Légume chez l’Enfant : Influence du Contexte

Cette consommation de Fruits et Légumes est aujourd’hui reconnue tel un comportement positif lié à notre alimentation. Comportement d’effets bénéfiques, sur notre état de santé.

Cette consommation de Fruits et Légumes permet en effet, de Réduire de notre Risque de Pathologie Cardiovasculaire et de Diabète.

Nos enfants sont  un publique de premier intérêt, concernant le suivi de ces recommendations. Ces habitudes alimentaires de l’enfant, se montrant d’influence majeur sur celles de l’adulte.

Ces propriétés protectrices liées à la consommation de fruits et légumes se doivent alors mises en avant dès l’enfance, de manière à assurer le confort de ces situations sanitaires, chez l’adulte.

Oui, les enfants consommant ces fruits et légumes quotidiennement, bénéficient d’un plus faible risque, lié à ce développement de pathologies chroniques.

Cet environnement alimentaire se montre alors d’intérêt majeur, au regard de l’acquisition de ces habitudes.

Ces consommations alimentaires furent alors observées auprès de 642 enfants, âgés de 1,5 ans à 10 ans, entre Février 2008 et Avril 2009, puis d’Avril 2009 à Avril 2010.

L’ensemble de ces enfants, se montrèrent alors plus à même d’entreprendre cette consommations de Fruits et Légumes, lorsque ces repas était  pris, à l’extérieur du foyer.

Lorsqu’ils mangent chez eux, ces enfants consomment plus de fruits et légumes, lorsque la télévision est éteinte.

Concernant ces situations de consommation, les enfants se montrent moins à même de consommer des fruits et des légumes, lorsqu’ils ne mangent pas à table.

Cependant, ces situations favorables à la consommation de fruits et à la consommation de légumes, ne bénéficient du même rapport, face à cette situation.

En effet, ces enfants se montrent plus à même d’entreprendre une consommation de fruits, lorsqu’ils ne se trouvent pas consommés à table.

Concernant les légumes, leur consommation se fait en faveur de ces repas à table,

En particulier pour ces enfants âgés de 7 ans à 10 ans.

La Stabilité de ces Habitude et Environnement, liés au repas,

Favorise cette Consommation de Fruits et Légumes par l’enfant.

Activité-Physique vs Cancer du Sein

Effets de la programmation d’exercice physique chez des femmes atteintes d’un cancer du sein au stade précoce sur la fatigue

Les effets de deux modalités d’exercices physiques effectués à domicile durant une période de chimiothérapie furent évalués sur la fatigue, la condition physique et le niveau d’activité physique.

Un groupe pratiquait des

  • Groupe « Activité Physique Programmée » (APP) : patientes participant à des  exercices de renforcement musculaire (contre bandes de résistance élastique) prescrits et réalisés à la maison exercices, 3 fois/semaine + 30 min de marche active chaque jour.
  • Groupe « Activité Physique Habituelle » (Témoin) : patientes ne participant à aucune activité physique, venant s’ajouter à leurs activités quotidiennes mais bénéficiant de recommandations d’activité physique.

Des mesures de la fatigue à l’aide du Schwartz Cancer Fatigue Scale (SCFS-6), de la condition physique aérobie par un test de marche de 6 min, et du niveau d’activité physique par la version courte de l’International Physical Activity Questionnaire (IPAQ), furent effectuées avant, au terme de, et 6 mois après la chimiothérapie.

La fatigue liée au cancer était plus élevée au sortir de cette chimiothérapie, et revint aux valeurs de base 6 mois après traitement, sans différence entre les deux groupes.

Le niveau d’activité physique n’était pas modifié au terme de la chimiothérapie mais augmenta après 6 mois sans différence entre les deux groupes.

La condition physique aérobie diminua légèrement à la fin de la chimiothérapie, mais augmenta après 6 mois sans différence entre les deux  groupes

Aucune différence significative ne fut donc observée entre les groupes « Activité Physique Programmée » et « Activité Physique Habituelle », suggérant pour les auteurs les recommandations relatives à l’activité physique habituelles suffisantes. Une autre interprétation étant que l’intensité, le volume et l’observance des patientes du groupe APP furent insuffisantes pour obtenir un effet comme le suggèrent les valeurs comparables de la condition physique et du questionnaire d’activité physique.

L’effet additionnel, d’exercice physique, d’intensité modérée, chez ces patients, durant chimiothérapie, ne fut donc ici pas démontré. Le niveau d’activité physique généralement recommandés (150 minutes MVPA*/semaine), se montre alors suffisant, pour soulager de cette fatigue liée à la chimiothérapie et rétablir les niveaux recommandés d’activité physique.

Bien qu’une réduction de cette fatigue, soit inévitablement liée au temps écoulé depuis  la chimiothérapie, les thérapeutes en charge de ces patients devraient par habitude leur communiquer cette nécessité de maintenir ou s’engager dans une activité physique modérée et régulière durant  et après leur traitement.

*MVPA : Activité Physique Modérée et Intense

Julien Gloanec

Activité-Physique vs Diabète de Type 2

Effets de 12 semaines d’exercice de type aérobie, chez femmes diabétiques de plus de 50 ans.

Furent observé, les effets d’un exercice de type aérobie (Ex : marche, course, vélo…) sur les paramètres anthropométriques (poids, taille) et métaboliques (glycémie), de femmes (23 femmes) diabétiques (DT2) de plus de 50 ans.

L’intensité d’exercice devait alors permettre, atteinte de 55% à 75% de leurs fréquences cardiaques maximale (FC Max).

Furent également mesurés (avant, puis après 6 et 12 semaines d’entraînement) :

  • le poids
  • l’indice de masse corporelle (IMC : Poids / Taille 2 )
  • Les pourcentages de Masse Grâce et Masse Maigre
  • Masse graisseuse viscérale
  • Consommation Maximale de Volume d’oxygène (VO2max)
  • Glycémie et index de tolérance à l’insuline

Résultats :

Chaque femme à put bénéficier d’une perte de poids significative, après 12 semaines.

  • D’une réduction du tour de taille, après 6 et 12 semaines.
  • Une augmentation de la quantité de masse musculaire, dès 6 semaines
  • Une réduction de la masse graisseuse viscérale, après 12 semaines d’exercice.
  • Après ces 12 semaines d’entraînement, la glycémie moyenne, fut significativement réduite, et ce VO2max, significativement augmenté.

Conclusions:

Les 12 semaines d’exercice de type aérobie, permirent d’améliorer les paramètres anthropométriques et métabolique, sans oublier la capacité aérobie (consommation maximale d’oxygène à l’exercice), de ces femmes diabétiques (DT2) âgées de plus de 50 ans.

Une augmentation constante de cette population diabétique de Type 2, prend aujourd’hui place d’épidémie internationale, en raison :

  • D’une croissance de la population et de son âge
  • D’une urbanisation majeure
  • D’une augmentation majeure, attachée à cette prevalence de l’obésité
  • Absence de participation à l’activité physique.

Les estimations de la Fédération Internationale du Diabète, présagent:

  • Une augmentation de 55%, de cette population diabétique (2013: 381.8 millions vs 2035: 591.9 millions).

L’association américaine pour le diabète, recommande alors :

  • Au moins 150 minutes d’exercice de faible intensité/semaine (50% à 70% de la Fréquence cardiaque Maximale), avec ces exercices de type aérobie, au moins 3 fois/semaine, de manière à amoindrir ces redoutés Glycémie et Risques Cardiovasculaires.

Dépistage du Cancer

Julien Gloanec

176 rue de Cormery

37 550 Saint-Avertin

Oui,

  • “Ces Convocations pour Dépistage de Cancer Colorectal ou Vaginal, bien souvent Ignorés”
  • Nombre non négligeable de Décès, pourraient encore être Evités

Et

  • Ces situations sanitaires pourraient alors bénéficier de bien meilleurs soutiens!”

Sur la période 2015-2016, le taux de participation au programme national de dépistage a été globalement de l’ordre de 29 %, c’est-à-dire inférieur à l’objectif des recommandations européennes de 45 %.

Sans omettre, l’existence de fortes disparités régionales.

Afin d’améliorer ces résultats,

Existe-t-il, POSSIBLE EVEIL Facilité de cet INTÉRÊT pour ce PUBLIQUE en “Fuite” ?

Et bien Oui, cet AVERTISSEMENT PUBLIQUE, peut se voir abordé, avec GRANDE FACILITE !

Implication des Patients et des Professionnels de Santé se trouve Concernée,

Au premier rang desquels se situe le médecin traitant !

Quelle est cette “Grande Facilité” ?

Et bien cette Simple Accessibilité-Publique, afférent à ces Travaux d’Avertissement !

Ainsi, se peuvent distribués Globalement et avec la plus Grande Confiance et Facilité,

Accessibilité à ces Ressources de Grande Qualité

1) Institut National du Cancer :

http://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Se-faire-depister

2) Haute Autorité de Santé :

https://www.has-wsante.fr

 

Cordialement,

Efficacité de Programmes de Prévention Publique, concernant le Diabète et l’Obésité

A travers le monde, l’incidence majeur du Diabète de Type 2 est associée à de nombreuses Dépenses Economiques. La Prévention du Diabète, constitue une Priorité Globale de Santé-Publique.

Ces efforts de Prévention doivent-ils cibler la population ou chaque individu ?

Le débat se poursuit.

Ces Facteurs de Risque les plus communément associés au Diabète de Type 2, sont :

  • L’Indice de Masse Corporelle IMC = Poids en Kg/ (Taille en Mètres)2
  • Le Tour de Taille
  • L’Hypertension
  • Le Taux de la Graisse

Ces facteurs sont les seuls à pouvoir être liés à cette Incidence de Diabète.

Les études récentes, examinèrent l’Efficacité de ces efforts de Prévention, concernant nos Comportements-Style de Vie et l’Utilisation de Médicaments liés à l’Hypoglycémie.

  • Ces Changements de Comportements furent alors mis en lumière (ex. Progression de notre Durée Totale d’Activité-Physique ; Choix d’une Alimentation Saine et Équilibrée).
  • Evolution attachées à notre Balance Énergétique (ex. Augmentation de notre Durée Totale de Participation à l’Activité-Physique).

Bien que ces approches puissent se montrer efficace pour l’individu, , leurs impact global sur la population reste faible.

En effet, sur 50 ans, ces efforts furent liés à une réduction de seulement 3,5% des cas de Diabète.

Ces Actions Globales au niveau de la Population, nécessitent donc une Considération des plus Soutenue.

Considérations Nécessaires au niveaux Economiques, Politiques, Socioculturels,

A des Niveaux Micro-Environnemental (Ex. Ecoles, Lieux de Travail) et Macro-Environnemental (Ex. Ville, Région, Pays).

Considérations pouvant également se montrer Nécessaires, à l’égard du Nombre Total de Calories Consommées

321 études furent alors analysées.

De nombreuses interventions au niveau de la population, permettent d’Accroître ce Choix d’Aliments Saints, et cette Participation à l’Activité-Physique :

  • Changements liés à cet Accès aux Boissons Sucrées
  • Prix des Fruits et Légumes, Affichages liées à la Composition et Qualité de Achats-Alimentaires
  • Travail lié à la Disposition de ces Produits achetés, au sein de nos zones commerciales

La possible Incidence Globale de ces Actions, se montre alors d’intérêt majeur, pour le Grand-Publique.

Associations entre Participation à l’Activité-Physique, l’Autonomie et la Qualité de Vie d’Enfants et Adolescents atteints de Pathologies Chroniques

Cette Participation au Sport et à l’Activité-Physique, s’accompagne de Nombreux Avantages pour notre Santé, à Tout Age.

S’engager à la pratique de suffisamment d’activité-physique, améliore notre Santé Cardiopulmonaire, notre Force, notre Souplesse et notre Endurance.

Cette participation à l’activité-physique, permet ainsi de réduire nos risques de pathologies cardiovasculaires et de certains cancers.

Plus globalement  encore, cette participation à l’activité-physique, se montre liée à cette Réduction de notre Risque de Décès!

De plus,

Ces Relations et Interactions Sociales permises par cette habitude de participation à l’activité-physique et sportive,

Ne manquent d’échos à l’égard de ce Bien-Etre Social et Psychologique du citoyen.

Si la force de ce constat peut être attestée pour l’ensemble de la population,

Celle-ci demeure, à l’égard de ces enfants et adolescents handicapés ou atteints de maladies chroniques (Maladies Cardiovasculaires,Pulmonaires, Métaboliques, Musculo-Squeletique/Orthopédique, Métabolique, Neuromusculaire, Immunitaire, Cancers).

Ces indices de,

  • “Qualité de Vie liée à la Santé”
  • “Jugement sur Soi”
  • “Confiance en Soi”
  • “Capacité de Participation à l’Exercice-Physique

Furent relevés auprès de 195 de ces enfants, âgés de 10 ans à 19 ans.

Ces enfants participant à de l’activité-physique et sportive au moins 2 fois par semaine (comparés ,à ces enfants, ne participant à aucune ou à moins d’Activité-Physique et Sportive),

Bénéficièrent de Meilleurs Résultats, pour l‘ensemble de ces de ces scores mesurés (Plus de 37 échelles de mesures).

Enfin, une association significative put être relevée, entre cette Pratique Sportive et le Niveau d’Autonomie.

Cette Participation à l’Activité-Physique et Sportive, se montre donc Bénéfique, pour la Santé Psychosociale de ces Enfants et Adolescents Handicapés ou atteints de Maladies Chroniques.