Cette Activité-Physique, aux pouvoirs d’adaptation grandissants, permet aujourd’hui, de nombreux appuis santé. Preuves faisant foule, ce soutien, ne se garde d’accompagner personnes âgées, d’un élan santé…: – « L’exercice physique diminue les niveaux plasmatiques d’antigène carcino-embryonnaire, avec amélioration de la composition corporelle, chez la femme âgée » – Messages : Femmes âgées : 2 à 3 jours d’exercice-Physique/Semaine = Bénéfices-Santé ! O Arme Anti-Cancer + O Arme Silhouette …Soutien, tout autant apporté, à notre Encéphale : – « Une cession isolée, d’exercice de type Aérobie, stimule la Neuroplasticité du Cortex», Messages : L'activité physique régulière, se trouve associée à une meilleure plasticité du cortex moteur. o Neuroplasticité du cortex, chez l’adulte sain, promue par cet Exercice de faible intensité. o Exercice physique de faible intensité, en faveur : D’une meilleur efficacité d'un apprentissage moteur. D’un rétablissement de sujets, victimes de dégâts cérébraux. Ce Travail de Revue Bibliographique Régulière, attachée à cette Thématique Activité Physique/Santé-Publique. Permet alors publications et diffusion de messages clés, au service d’un publique averti. Cet avertissement publique se devant des plus assuré et globalisé, Diffusion web de ces énoncés, me parût alors des plus opportuns. Cordialement, M. Gloanec Julien
L’Activité-Physique, permet d’ Améliorer la Santé Globale et de Réduire le Risque de Nombreux Problèmes de Santé. L’ Activité-Physique peut également être efficace, pour Améliorer la Cognition, le degré d’ Autonomie et la Santé Psychologique des Personnes Agées.
Compte tenu des données probantes, établissant un lien entre l’Activité-Physique et l’Amélioration de divers aspects de notre Santé, Les interventions visant à,
Réduire le risque de Démence, chez les personnes ayant une légère Déficience Cognitive
Améliorer La situation des personnes, atteintes de Démence
Sont d’une Importance Cruciale !
Cet examen de la littérature scientifiques (ensemble des travaux de recherche, menés sur le sujet) Met en lumière ces interventions en matière d’Activité-Physique, Afin de bien comprendre les avantages potentiels de cette Participation à l’Activité-Physique, pour les personnes qui souffrent d’un Déclin Cognitif.
Alors,
L’accent est mis sur l’Activité-Physique de Type Aérobie, car il s’agit de la principale intervention dans la littérature. Notre examen appuie la thèse selon laquelle l’Activité-Physique peut favoriser le Vieillissement en Bonne Santé, concernant ces Aptitudes Cognitives, Santé Psychologique et Degré d’Autonomie
Plus précisément,
En cas de troubles cognitifs légers et de Démence, l’Activité-Physique permet d’ Améliorer la Fonction Cognitive (le fonctionnement exécutif et la mémoire, en particulier).
En cas de Démence, ces bénéfices sont également significatifs, à l’égard de cette Santé Psychologique.
Ces Interventions en Activité-Physique, offrent un moyen de Prévenir le Déclin et/ou d’Atténuer de multiples Déficiences, impactant l’Autonomie des Personnes Agées.
Il existe d’importantes lacunes dans notre compréhension, concernant la façon dont les Changements Environnementaux (Structurels et Sociaux), influent ces Habitudes liées à nos,
Alimentation
Activité-Physique
Evolutions de notre Poids
Néanmoins, nous avons fait des progrès importants au cours de la dernière décennie. Des progrès, permettant de comprendre certains aspects de cette relation complexe.
Une grande partie de ces données, suggèrent que les Facteurs Environnementaux ont une Influence Importante sur l’Alimentation, l’Activité-Physique et cette situation d’Obésité.
La recherche sur les Déterminants de notre participation à l’Activité-Physique, a ignoré les Facteurs les plus Influençables, liés à nos Politiques Publiques : l’Environnement Structurel/Physique.
De toute évidence, la Communauté et son Environnement Social/Structurel, représentent une source importante de Potentiels Changements.
Ces facteurs évoluent énormément pour cette population, transitant vers l’âge adulte.
Il est essentiel de comprendre l’Impact Biologique de ces Facteurs Environnementaux (Sociaux et Structurels), sur l’Activité-Physique de la population.
Il n’y a manifestement pas encore de base empirique, pour affirmer que des Changements généralisés de l’ « Environnement Bâti », entraîneront une Croissance de cette Participation à l’Activité-Physique à l’échelle de la population.
Mais, les premières recherches sont prometteuses.
De plus, les travaux à venir, doivent chercher à comprendre comment certains types de Changements Environnementaux, sont susceptibles d’avoir une incidence sur l’Activité-Physique. Actuellement, ceci n’est pas connu.
Parce que oui,
Les Facteurs Environnementaux, jouent un rôle important dans l’Adoption de nos Comportements liés à l’Obésité. En particulier, concernant notre Participation à l’Activité-Physique.
C’est un domaine de Recherche, émergeant.
Bien que nous n’ayons manifestement pas la base empirique, pour affirmer que les Changements Généralisés dans notre Environnement Bâti ,entraîneront une Croissance de participation à l’ Activité-Physique à l’échelle de la population, Il existe des preuves d’une Relation Importante, entre les Corrélats Environnementaux et notre Activité-Physique.
Des travaux novateurs dans divers domaines (ex. Santé-Publique, Géographie, Urbanisme, Planification Régionale), Ainsi que des avancées méthodologiques dans ces domaines, sont essentiels pour comprendre les Relations entre l’Environnement et la Santé.
En outre, les travaux à venir, devraient explorer divers,
Contextes Démographiques et Environnementaux
Changements longitudinaux, liés à ces Facteurs Environnementaux
Actuellement, il existe d’incommensurables preuves, démontrant les bienfaits de l’Activité-Physique, pour la Santé.
L’étude « Charge Globale des Pathologies », a classé la Sédentarité, comme :
la 5ème cause de pathologies, en Europe occidentale
l’un des principaux facteurs de risque, soumis à nos habitudes de vie
Pourtant,
Malgré les recommandations visant à promouvoir la participation à l’ Activité-Physique. Une stratégie, capable de réduire le fardeau des maladies chroniques,
La fréquence et l’intensité de cette participation à l’activité physique dans la population, sont déconcertantes.
L’Activité-Physique est actuellement classée, parmi les déterminants de la Santé qui ont le plus d’impact, sur le Risque de Maladies et de Décès.
De plus, l’Activité-Physique peut partiellement inverser les effets du vieillissement, associé aux fonctions physiologiques. Elle permet de conserver, les aptitudes fonctionnelles, de nos organes vieillissants.
En ce qui concerne la dépression, il s’agit du trouble psychologique le plus courant, chez les personnes de plus de 65 ans. Elle touche environ 15 % de ce groupe d’âge.
Bien que les données actuellement disponibles, suggèrent que l’ Activité-Physique peut être :
Bénéfique pour les patients déprimés
Et peut-être,
Comparable au traitement antidépresseur
Dans la pratique clinique, la meilleure façon de mettre en œuvre cette recommandation de Participer à l’Activité-Physique, n’est pas connue.
Cette étude vise donc à vérifier la « non-infériorité » de cette Participation supervisée à l’Activité-Physique, par rapport au traitement antidépresseur.
L’efficacité de cette Participation supervisée à l’Activité-Physique, en termes de Réduction des Symptômes Dépressifs (Chez les patients présentant des critères cliniques d’un épisode dépressif, sur une période de suivi de 6 mois).
312 patients de plus de 65 ans, atteints de dépression cliniquement significative, seront affectés à :
un Programme d’ Activité-Physique supervisée
Ou,
Recevront un Traitement avec des Antidépresseurs, couramment utilisés dans la pratique clinique. Le Niveau d’Aptitude-Physique des participants, sera évalué au départ, puis à 15 jours et 1, 3 et 6 mois.
Le programme d’Activité-Physique supervisée, consistera en :
2 séances hebdomadaires, en groupes de 10 à 12 patients, sur une période de 6 mois.
Séances au cours desquelles, un moniteur formera les patients, pour leur permettre d’effectuer au moins 30 minutes d’Activité-Physique de Faible Intensité, sur une base presque quotidienne.
Prendront alors place,
Des Exercices permettant une sollicitation de type Aérobie
Des Exercices de Musculaire
Des Exercices, permettant le travail de la Souplesse et de l’Equilibre
Les éléments suivants, seront évalués à intervalles réguliers dans les deux groupes :
– Etat des Symptômes de Dépression – Niveau d’Activité-Physique – Etat de Santé Perçu – Apparition d’Effets Indésirables Et – Adhésion au Programme d’ Activité-Physique ou Traitement Antidépresseur
La principale variable de résultat sera cette Réduction des Scores de Symptômes de Dépression (Montgomery-Asberg Depression Rating Scale et Geriatric Depression Scale).
En ce qui concerne le nombre de patients et la durée du suivi, cet essai clinique proposé, est un projet qui surpasse les quelques études sur ce sujet, menées sur les personnes âgées.
Son but est de fournir des preuves scientifiques solides, sur cette ressource thérapeutique que représente l’ Activité-Physique.
Activité-Physique, accompagnée d’ avantages indéniables pour notre Santé, Peut être bénéfique, en présence certains problèmes de santé. Problèmes, tels que les Troubles Dépressifs, source d’Impacts Sociaux de grande ampleur. Cette participation à l’Activité-Physique, peut alors bénéficier d’une incidence non-négligeable, sur la Qualité de Vie des Personnes Agées.
La fatigue liée au cancer, est l’effet secondaire le plus courant et le plus pénible lié au traitement.
Elle peut persister pendant de nombreuses années, nuire à la qualité de vie et aux aptitudes physiques.
Au cours du traitement,
Des données probantes et de plus en plus nombreuses, laissent penser que les interventions en Activité-Physique, ont des effets bénéfiques à court terme, sur la fatigue des patients atteints de cancer.
204 patientes atteintes d’un cancer du sein et 33 patientes atteintes d’un cancer du côlon, sous traitement, ont participé à l’étude.
De ces 237 participants à l’étude sur l’« activité physique pendant le traitement du cancer »,
197 ont participé aux mesures, 4 ans après leur entrée dans l’étude.
Suite à ces 4 ans d’intervention, les patients atteints de cancer ayant participés à ces séances d’Activité-Physique, ont déclaré :
Des Niveaux d’Activité-Physique (d’intensité faible à élevée) beaucoup plus élevés (comparé au groupe, bénéficiant du protocole de soins habituels).
De plus, Les patients atteints de cancer, appartenant à ce groupe d’intervention,
Avaient tendance à éprouver Moins de Fatigue Physique, 4 ans après le début de ces séances d’Activité-Physique (comparé au groupe de personnes, suivant le protocole de soins habituel).
Donc oui,
Les patientes atteintes d’un cancer du sein ou du côlon, qui ont participé à ces séances d’Activité-Physique (durant 18 semaines),
Ont fait état de,
Niveaux plus élevés d’Activité-Physique totale (d’intensité faible à élevée)
Moindres Niveaux de Fatigue physique
Ces résultats indiquent, que la participation à l’Activité-Physique pendant la chimiothérapie, Est une stratégie prometteuse, pour minimiser les effets secondaires liés au traitement (à court et à long terme).
L’Activité-Physique est considérée comme un moyen efficace, pour stimuler l’ostéogenèse osseuse chez les patients ostéoporotiques. Les auteurs ont examiné la littérature actuelle pour définir les caractéristiques les plus appropriées de cette Activité-Physique, pour Accroître la Densité Osseuse, chez les patients ostéoporotiques.
2 types d’Activité-Physique, sont mis en lumière :
1) L’Activité-Physique de type Aérobie, prenant place de Marche, Montée d’Escalier, Course à Pied. Ainsi que le Tai-chi. Marcher, ne semblait pas améliorer la masse osseuse. Mais, elle est capable de limiter sa perte progressive.
2) L’Activité-Physique sollicitant la Force et la Résistance : Exercices effectués, avec la Manipulation de Charges, ou sans manipulation de charge (Natation, Vélo).
Pour que ce type d’Activité-Physique soit efficace, la force de sollicitation de l’articulation et des muscles associés, Doit être supérieure à celle nécessaire, au cours des activités quotidiennes.
Ces exercices semblent permettre une action extrêmement spécifiques, liée à la zone sollicitée. Exercices, capables d’Accroître la Masse Musculaire et la Densité Minérale Osseuse, spécifiquement sur la région sollicité.
Les autres protocoles mis en avant, sont :
les « Exercices Physiques Multi-Composants » : Combinaison de différentes méthodes (Aérobie, Résistance, Equilibre et Danse), visant à Augmenter ou Préserver la Masse Osseuse. Cependant, pour que ces protocoles soient efficaces, ils doivent toujours contenir une proportion suffisante, d’Activité-Physique de type Résistance. Ces exercices semblent particulièrement indiqués, chez les patients âgés, souvent incapables d’effectuer (de manière exclusive) des exercices de type Résistance.
Entraînement, avec Vibrations du Corps Entier : Ces exercices, sont effectués avec des appareils dédiés (plateformes vibrantes). Bien qu’il semble qu’ils aient un effet sur l’amélioration de la force musculaire, Les résultats sont controversés, concernant l’amélioration de la Densité Minérale Osseuse. Néanmoins, les Résultats sont Probants, concernant l’Amélioration de l’Equilibre et la Réduction du Risque de Chute (Une efficacité supérieure, à celle observée avec la Marche).
Quoi qu’il en soit, les contre-indications typiques, liées à la sénilité de certaines personnes, doivent être prises en compte.