Il n’existe pas de « Mauvais Temps », seulement de Mauvais Choix de Vêtements ; Climat et Transport-Actif à l’Ecole à Toronto (Canada)

Au sein de nombreux pays, ces conditions climatiques défavorables, parviennent à réduire cette proportion de Transport-Actif, jusqu’ à l’école.

Cette étude permit l’observation des effets du climat, sur ce transport actif, en regard de différents environnements et politiques environnementales.

Ces transports du foyer à l’école (Marche, Voiture familiale ou Bus Scolaire), furent examinés depuis 2006, auprès d’enfants canadiens (ville de Toronto) âgés de 11 ans à 12 ans.

Ces différentes variabes liées au climat, ne furent associés à ce choix de déplacement, entre le domicile et l’école.

L’ensemble de ces Constructions Environnementales furent néanmoins, d’impact majeur.

En effet, le design de ces structures environnementales, peuvent se montrer capable de faciliter ces déplacements à la marche. Le Bénéfice de ces Designs (Surfaces Piétonnes conservant un Indice Sécuritaire Optimal, mis en regard de ces différentes conditions climatiques) se montre alors garant de ces habitudes de Déplacement-Actif de l’enfant, quelque soit la saison.

Des Campagnes d’Avertissement peuvent donc se montrer nécessaires, de manière à :

  • Susciter l’Intérêt de ces Enfants, pour ces Déplacements-Actif
  • Assurer du port d vêtements, appropries aux conditions climatiques
  • complémenter cet environnement urbain de manière à favoriser ce déplacement-actif de l’enfant

 

 

 

Effets d’un Entrainement à l’aide d’un Medicine-Ball, sur la Santé Physique d’enfants d’école primaire

L’Activité-Physique est source de nombreux bénéfices pour la santé, et se montre capable d’améliorer la qualité de vie d’enfants scolarisés.

De plus, cette Santé-Physique acquise durant l’enfance, se montre d’influence majeur sur notre état de santé à venir.

Pourtant, durant une journée d’école (8h à 9h), la majorité de ce temps est composé d’attitudes sédentaires.

Dans de nombreux pays au cours d’une année, plus de la moitié de leur Temps, est passé à l’Ecole.

Donc oui,

L’école occupe une place d’opportunité majeur, de manière à accroitre ce temps d’activité-physique quotidien.

Alors que ces participations à la Course à Pieds ou à la Natation (Activités-Physique de type Aérobie), bénéficie d’un encouragement traditionnel,

Cette participation à des séquence d’entrainement appropriées, de type Resistance, encadrée par des professionnels bénéficie d’un aval scientifique, grandissant.

Car oui, de nombreuses preuves scientifiques démontrent également que,

Ces enfants ne participant à ce type d’activité-physique, permettant de meilleurs Force Musculaire et Aptitudes Motrices, se montrent susceptibles d’accroître cette acquisition d’un mauvais état de santé en vieillissant.

Alors que différents modes d’entraînement avec appareils de musculation ou haltères, ont prouver leur Sécurité et Efficacité pour l’enfant,

Cette utilisation des Medicine Balls lors de ces cessions de Sport scolaire, est devenue populaire et se montre des plus efficace.

Pourtant, une étude parvint à démontrer l’efficacité de ce type d’entrainement au Medicine-Ball, concernant l’acquisition d’un meilleur niveau de force maximale, pour cet exercice-contrôle du Développé Couché (permettant cette participation musculaire principale, des bras et de la poitrine).

Alors que cet Enthousiasme à l’Activité-Physique et Sportive et l’Amélioration de ces Aptitudes Motrices, sont les 2 facteurs clés attachés à ces cours d’EPS,

Ce volume de temps global, engagé à de l’activité-physique se montre d’importance majeur, pour cette éducation de l’enfant.

Le Medicine Ball offre alors, une opportunité de 1er plan à l’égard de cet Entrainement de type Résistance. Outil permettant l’exécution d’un grand nombre d’exercices, pouvant être exécutés à différentes vitesses.

Cette étude permit donc de déterminer les effets de cet Entrainement au Medicine Ball, sur ces Aptitudes Physiques d’enfants, au sein d’écoles primaires.

60 enfants (26 filles) âgés de 10 ans à 12 ans participèrent à l’étude.

Ces périodes d’entraînement furent les même pour chaque enfant, 2 fois par semaine.

Entrainement ne venant s’ajouter à d’autres périodes d’ EPS.

Cet entraînement au Medicine Ball encadré par un professionnel, permet d’améliorer un ensemble d’aptitudes physiques.

Cette méthode d’entraînement est donc efficace, et se peut intégrer ces périodes Sport, pratiqué à l’école.

Comparé aux à l’amélioration de ces capacités physiques, traditionnellement observés au sein des établissement scolaires,

Ces périodes d’entraînement avec Medicine-Ball de 10 à 15 minutes, permirent d’enregistrer un Gain significativement supérieur, concernant l’ensemble de ces mesures, afférant à leurs Aptitudes-Physique

 

Maladie de Parkinson : Effets d’un Programme de Souplesse et Relaxation, de Marche et de Marche Nordique

 

La Maladie de Parkinson est l’une des Maladies Neuro-degenerative la plus fréquente.

A travers le monde, cette maladie affecte près de 100 à 200 Personnes sur  100 000.

Le risque de développer cette maladie, s’accroît avec le vieillissement.

Ces manifestations cliniques, se caractérisant, par certains deficits moteurs.

90 patients (45 hommes et 45 femmes) atteints de la maladie d’Alzheimer, furent recrutés pour cette étude.

Faisant suite à une consultation médicale, ces personnes furent testés sur ces indices  :

  • Équilibre
  • Force
  • Marche
  • Exercice-Physique

Elles furent ensuite répartis au sein de ces 3 groupes d’intervention, durant 6 Mois :

  • Souplesse, Coordination et Relaxation
  • Marche :
    1. Échauffement : Exercices d’ Assouplissement et Coordination
    2. Entraînement de type Aérobie
      1. 1 semaine : Techniques d’Entraînement sur petits et grands mouvements
      2. 1 semaine d’Entraînement par Interval
  • 1 semaine de « Montées de  Collines » ((relief ascendant du terrain ) : 3 fois 500 mètres chronométrés.
  • Marche Nordique : Exercices d’ Assouplissement et Coordination (Entrainement de type Aérobie) :
    1. 1 semaine : Techniques d’Entrainement sur petits et grands mouvements
    2. 1 semaine d’Entrainement par Intervalle
    3. 1 semaine de « Montée de Collines »

Chacune de ces périodes d’Entrainement, fut effectuée 3 fois par semaines, durant 70 minutes.

Suite à 6 mois d’entrainement, furent mesurés leurs :

  • Vitesse Maximale de Marche sur 12 mètres et 24 mètres
  • Longueur de Foulée
  • Variabilité de cette Longueur de Foulée

Puis,

  • Leur Activité-Physique Quotidienne
  • Effets indésirables pouvant être liés à l’Entrainement

Résultats :

  • La Douleur ressenti par chaque personne, fut significativement réduite
  • Équilibre et la Qualité de Vie furent Améliorés
  • Cette période de participation à la Marche et la Marche Nordique, permit d’Améliorer la Longueur de Chaque pas effectué, la Constance de cette Longueur de Pas, la Vitesse Maximale de Marche, leur Capacité à ml’Exercice d’Intensité Submaximale et cette situation de Handicap liée à la Maladie.
  • Les effets positifs de cette participation à la Marche Nordique, furent observés, pour cette Stabilité Posturale, Longueur de Pas, Rythme et Constance du Rythme.
  • Aucune blessure significative, ne fut relevée, au cours de cette période d’entraînement.
  • Tous ces patients inclus au sein de ce groupe de Marche Nordique, continuèrent à pratiquer de la Marche Nordique, suite à cette étude.

Chacune de ces participation  à l’Exercice-Physique fut accompagnée d’effets positifs sur les Symptômes et Déficites, liés à la Maladie de Parkinson.

Mais cette participation à la Marche et à la Marche Nordique, impliquant cette Entraînement de cette capacité d’Endurance Aérobie,

Furent d’impact positif supérieur, à l’égard de ces déficites, caractérisant la maladie de Parkinson.

Cette participation à la Marche permit en effet, de :

  • Réduire ce Handicap et cette Douleur, spécifiques à la maladie de Parkinson
  • Améliorer cette Qualité de Vie liée à la maladie.
  • Donner suite à un Style de Vie Plus Actif

Cette participation à l’Exercice-Physique ne remplace pas cette prise de médicaments, mais constitue un adjuvant d’intérêt majeur.

De nouvelles études sont aujourd’hui attendues, pour savoir si cette Participation à l’Activité-Physique peut s’accompagner d’un Ralentissement, lié au Développement de la maladie.

 

Temps passé Assis chez les Adultes Européens, entre 2002 et 2017

Qu’est ce que cette Sédentarité ?

Le comportement sédentaire se caractérise par cet ensemble de comportements éveillés, responsables d’une Dépense Énergétique, inférieur à 1,5 METs (Equivalent Métabolique : Dépense Énergétique de notre Métabolisme au Repos, en position Assise).

Situation commune, lors de l’ensemble de nos Déplacements en Voiture, Bus ou Train, ainsi que durant notre Temps devant les Ecrans.

Ce Comportement Sédentaire, s’associe à toute cause de décès, aux Pathologies Cardiovasculaires, ainsi qu’au Diabète de Type 2.

Cette Participation à l’Activité-Physique, faisant écho à ce « Manger-Bouger »,revêt d’importance Majeur.

En effet, ces personnes ne respectant pas ce « Minimum de 150 minutes d’Activité-Physique d’Intensité Modérée à Élevée »,

Pâtissent d’une Croissance de ce Risque de Maladies et Décès Cardiovasculaires.

La Réduction de notre Temps passé Assis, se montre de 1ère importance.4

L’ensemble des données recueillies entre 2005 et 2017, par notre « Eurobaromètre », démontrent que:

  • Ces Temps Élevés de Temps passé Assis (Plus de 7,5 heures par Jour), sont plus souvent observés chez :
    • Les Hommes
    • Les Personnes bénéficiant d’un Haut Niveau d’Education
    • Les Résidants au sein de Zones Urbaines
    • Les Employés de Bureau

Ces observations répétés entre 2002 et 2017, sur 15 à 30 pays,

Sur cette période de 15 ans, ce Temps passé Assis, demeure relativement stable.

Cette mesure régulière de notre Temps de Sédentarité, se montre d’importance majeur, pour l’établissement des nos politiques publiques.

Oui, l’ensemble de ces personnes pâtissant d’un Temps Élevé de Sédentarité et d’un Faible Participation à l’Activité-Physique,

Doivent pouvoir bénéficier de Solutions, répondant aux Spécificités de leur Situation.

Ces Spécificités ne devant alors être considérées de manière isolée !

Celles-ci , nécessitent la prise en compte de cet ensemble de Facteurs Sociaux, Environnementaux et Politiques,

De manière à pouvoir enregistrer de réels changements, à l’égard de ces Temps passé Assis et Temps d’Activité-Physique.

 

Interventions sur la Participation à l’Activité-Physique et le Sédentarité à l’Ecole

L’ Absence d’Activité-Physique constitue une Pandémie Mondiale, et prend place de la 1ère Cause de Pathologies Non-Transmissibles.

Accroître cette Participation à l’Activité-Physique et Réduire l’ensemble des Comportements Sédentaires, s’associe à des Impacts positifs, sur le Développement de l’Enfant en Bonne Santé.

De plus, cette participation de l’enfant à suffisamment d’Activité-Physique, ne se manque associée à de nombreux effets positifs, liés à :

  • Ces Comportements au sein de la Classe
  • Ces Aptitudes Cognitives
  • Performances Scolaires

Malgré cet état de fait, une enquête menée en 2018 au sein de 49 pays, révèle que :

  • Une Minorité d’Enfants (247% à 33%) Scolarisés, respectent ces Recommandations Internationales de Participation à l’Activité-Physique :
  • Au moins 60 minutes d’Activité-Physique par Jour

Et ce Temps de Sédentarité (34% à 39%)

  • Pas plus de 2h d’Ecrans par Jour

Concernant l’ensemble des situations, constituant le quotidien de l’enfant,

34 175 études et autres données, furent examinés, de manière à établir cet état des lieux, avec le plus de rigueur possible.

269 facteurs, purent alors être identifiés :

  • 93 facteurs venant s’Opposer au respect de ces Recommandations, concernant cette participation à l’Activité-Physique.
  • 176 facteurs permettant de Respecter ces Recommandations

L’Efficacité limité, lié à la mise en place de ces interventions, prend place d’un Manque de Cohérence évident,

Avec l’ensemble des caractéristiques, permettant dessin de cette Vie Quotidienne de l’Enfant.

Effets d’une Participation à l’Activité-Physique de Type Aérobie, Sur ces symptômes de Déficit de l’Attention/Hyperactivité, de Jeunes Enfants

Le Déficit de l’Attention/Hyperactivité est perturbation chronique et Neuro-Développementale.

Situation caractérisée par,

  • Manque d’Attention
  • Hyperactivité/Impulsivité

Liée au Handicap, dans différents domaines (Maison, Ecole, Interaction Sociale).

Différentes options de traitement sont aujourd’hui disponibles, à l’égard de cette Hyperactivité/Déficit de l’Attention.

Mis à part le recours aux médicaments psychotropes et un Travail Intense ciblé sur le contrôle de ces Comportements,

Cette situation prend place dès l’enfance et dans la majorité des cas, continue à accompagner la personne, jusqu’à l’âge adulte.

A cette Situation Chronique, se doit répondre une Gestion Chronique de ces désordres.

Cette période de l’Enfance, se montre alors de 1er intérêt, de manière à permettre l’Adoption chronique de ces Différentes Habitudes d’Intérêt.

La Participation à l’Activité-Physique, bénéficie aujourd’hui d’in Intérêt Majeur.

202 enfants 54% de Garçons) de 4 ans à 9 ans, furent sélectionnés pour cette étude.

Tous les enfants participèrent à 1 ou 2 interventions :

  • Activité-Physique

Ou,

  • Activité Artistique au sein d’une salle de classe de l’école)

Durant 12 semaines, ces interventions prirent place, pendant 30 minutes, avant de débuter leur journée d’école.

Les résultats obtenus sont encourageants, à l’égard de cette Participation Chronique à l’Activité-Physique. Stratégie ayant permis une prise en charge efficace, liée au Déficit de l’Attention de ces enfants.

Ces résultats positifs,sont  appuyés par l’ensemble des observations, apportés par les parents et les professeurs.

Cette participation à une Activité-Artistique au sein d’une classe de l’école, permet alors d’entraîner chaque enfant à « Suivre les Instructions de la Maîtresse » et « Participer à l’Activité au sein de la Classe, de manière appropriée ». Stratégie efficace, pour pouvoir Améliorer ce Comportement de l’Enfant, durant sa Journée de Classe.