Preuves cliniques des bienfaits de l’Activité-Physique, suite à un Accident Vascualire Cérébral

Même si l’AVC est la troisième, et non la première, cause la plus fréquente d’années de vie accompagnées par d’invalidité (dans les pays développés),

Elle est l’une des situations, les plus coûteuses à traiter.

Une partie de se volume de dépense, est liée à des problèmes, survenant à la suite de l’AVC : Cognition, Mémoire, durée d’Attention, Douleur, Perte de différentes Sensations Communes, Problèmes Psychologiques, Problèmes de Mobilité et d’Equilibre.

La recherche a révélé que la Participation à l’Activité-Physique, a des Effets Physiques et Psychosociaux positifs, chez les personnes ayant subi un AVC.

Par conséquent, cet état des lieux scientifique, donne un aperçu de la réhabilitation, après un AVC.

Nous utiliserons des recensements systématiques, au sein des protocoles de recherche scientifiques, des rapports cliniques et épidémiologiques, des lignes directrices cliniques et de santé publique.

Les données probantes appuient clairement l’utilisation de divers types d’Activité-Physique (Aérobie, Résistance, Souplesse, Sollicitation Neuromusculaire et Exercices Traditionnels Chinois) pour les survivants à un AVC.

L’Activité-Physique de type Aérobie (principale forme de réhabilitation cardiaque), peut jouer un rôle important dans l’amélioration de leurs Aptitudes Aérobie et Cardiovasculaire.

Cet impact positif, s’adresse également aux Aptitudes Cognitives, à la Vitesse de déplacement, à l’Endurance, à leurs Aptitudes de Marche et d’ Équilibre. Sans oublier, leur Qualité de Vie, et autres résultats liés à leur Santé.

La Musculation (qui figure dans les lignes directrices nationales, sur les accidents vasculaires cérébraux et qui est recommandée, pour la promotion générale de la santé des survivants), peut Améliorer le degré de Mobilité, les Aspects Psychosociaux liés à leur situation, ainsi que leur Qualité de Vie.

Les exercices d’Assouplissement, peuvent soulager les problèmes de spasticité musculaire, améliorer la fonction motrice, l’amplitude des mouvements et prévenir les contractures.

Les exercices permettant une sollicitation neuromusculaires, peuvent améliorer la conduite des activités de la vie quotidienne (Meilleur Coordination,).

Les Sollicitations de l’Equilibre, les Exercices Traditionnels Chinois, sont utilisés pour Améliorer la Marche et l’Equilibre, et pour Accroître le niveau de Force Musculaire.

Oui,

Les données probantes actuelles, appuient fortement ces Bénéfices de l’Activité-Physique, chez les patients qui ont subi un AVC (et qui, dans le cadre de cette étude, combinaient de l’ Activité-Physique de type Aérobie et Résistante, ainsi que des Exercices, permettant Sollicitation Neuromusculaires et de la Souplesse).

Cette recherche peut encourager les survivants à un AVC, à tenir compte de l’importance de cette Participation à l’Activité-Physique, dans le processus de Réhabilitation.

De Quel Niveau de Congruence, bénéficie ce “Manger-Bouger” ?

“Dissonance de ces Environnements Favorisant la Participation à l’Activité-Physique et l’Adoption de Saines Habitudes Alimentaires, auprès des Enfants, aux Etats-Unis

  • Variations par Région, niveaux de Ruralité et de Revenu
    Les Environnement de Résidence, sont de plus en plus au centre de la recherche et des initiatives pratiques, liés à nos comportements, en matière de santé.
    Initiatives, permettant de réduire les écarts entre la Consommation de Fruits et de Légumes, la Participation à l’Activité-Physique du Publique, et ces Recommandations adressées au Publique.
    Chez les jeunes, l’accès à des Aliments de Bonne Valeur Nutritionnelle et à des Installations liées aux Temps de Loisir,
    Est respectivement associé, à une Alimentation plus Saine et à une plus Grande Participation à l’ Activité-Physique.
    Ces enfants qui vivent dans des quartiers où les Points de Vente de Nourriture Défavorable à la Santé (ex. Divers magasins de proximité) et où les ressources permettant cette Participation à l’Activité-Physique, sont moins nombreuses,
    Réduisent la probabilité de Respecter ces Recommandations Sanitaires.

C’est important, Car aux Etats-Unis, moins d’ 1 jeune sur 10 répond aux recommandations, sur la Consommation de Fruits et de Légumes (Moore et al., 2017). Et, moins de la moitié, respectent les lignes directrices sur l’Activité-Physique. (Centers for Disease Control and Prevention, 2020; Katzmarzyk et coll., 2016)
Or, ces Participation Insuffisante à l’ Activité-Physique et Consommation Insuffisante de Fruits et Légumes, sont liées à un Risque Accru d’Effets Indésirables sur la Santé, à l’âge adulte ( ex. Obésité).
Ces Environnements afférant aux Codes d’Influence Alimentaire et Urbaine pour les jeunes aux États-Unis, sont souvent Dissonants.
Leur degré de congruence, variait selon la région, les Niveaux de Ruralité et de Revenu. Informations précieuses, pour Cibler les Interventions de Santé-Publique.
Ces Faibles Niveaux de Congruence, étaient les plus répandus dans les régions Rurales et les régions à Faible Revenu.
Cela peut être révélateur du peu de ressources disponibles dans les régions rurales et les régions à faible niveau de revenu. Régions connues pour des disparités persistantes, concernant les Comportements et leurs Résultats en matière de Santé (Braveman et coll., 2010; Hartley, 2004; Pampel et coll., 2010).
Un accès accru à des Aliments Saints et aux Ressources permettant de Participer à l’Activité-Physique, se montreraient alors d’Avantage Particulièrement Prononcé, à l’égard de ces régions.

En résumé, cette étude attire l’attention sur les tendances nationales et régionales concernant les disparités, liées aux Déterminants Environnementaux de l’Obésité.
Ces résultats peuvent Appuyer de Futures Mesures, visant à Améliorer la Santé de la Population.

Interactions Parent-Enfant et Activité-Physique de l’Enfant, Mesurée Objectivement : – Permettre, tout en Veillant et Renforçant les Attitudes Positives

Accroitre la proportion d’enfants qui font régulièrement de l’activité physique, demeure une priorité de santé publique.


L’activité physique procure d’importants bienfaits pour la santé des enfants. Notamment : une Meilleure Forme Physique, une Diminution de la Masse Corporelle, des Profils Favorables, concernant ce Risque de Maladies Cardiovasculaires et Métaboliques , une Meilleure Santé des Os et une Réduction des Symptômes de Dépression et d’Anxiété.


Les parents influencent les comportements de leurs enfants. Directement, par l’intermédiaire des “Pratiques Parentales Spécifiques” et Indirectement par leur “Style Parental”.


Certaines pratiques, comme le Soutien Logistique et Affectif, se sont avérées Positivement Associées aux niveaux d’Activité-Physique de l’Enfant. Tandis que pour d’autres (p. ex., la surveillance parentale), la relation n’est pas claire.
Donc,
Les objectifs de cette étude étaient de déterminer la Relation entre les Pratiques liées à l’Activité-Physique des Parents, le Style Parental général et le Niveau d’Activité-Physique des Enfants.

Au printemps 2007, un groupe de 99 dyades parents-enfants, vivant dans des zones rurales à faible revenu des États-Unis, a participé à une étude : À l’aide de questionnaires validés, les parents ont déclaré eux-mêmes leur style parental (autoritaire, permissif et non impliqué) et leurs pratiques parentales liées aux activités.


La taille et le poids ont été mesurés pour chaque dyade et les parents ont fourni des données démographiques.


L’Activité-Physique de l’Enfant a été mesurée objectivement au moyen d’Accéléromètres et exprimée en Nombres absolus de Mouvements et en Minutes d’Activité de Différentes Intensités.
76 enfants avaient des données d’accéléromètre valides.

Le style parental a modéré l’association entre deux pratiques parentales (Renforcement des attitudes et Surveillance) et l’Activité-Physique des Enfants.
Plus précisément, les analyses ont révélé que, pour le groupe du style parental permissif, des niveaux plus élevés de renforcement ou de surveillance parentale, étaient associés à des niveaux plus élevés d’activité physique chez les enfants.

L’ACTIVITE-PHYSIQUE, EST DE LA MÉDECINE. EGALEMENT, LORSQUE L’ON EVOQUE, L’ENTRAÎNEMENT DE LA FORCE

Cet éditorial met l’accent sur l’entraînement en force, qui fait partie intégrante de l’Activité-Physique recommandée, pour les enfants, les adolescents et les adultes. 


Participer à de l’activité-physique  de type aérobie et solliciter la Force musculaire , offre un maximum d’avantages pour la santé.


Il est à noter que même en effectuant seulement des activités de type aérobie ou de la musculation, est accompagné d’avantages considérables, comparé à l’absence de participation à l’activité-physique.

La prescription d’activité-physique, doit être adaptée  à chaque personne, en fonction de ses préférences, de ses limites physiques ou techniques, de son état de santé, etc.


Certains préfèrent ou se limitent à l’entraînement en force seulement. 
De telles activités améliorent la force musculaire et les capacités athlétiques chez les enfants.                                                                 

Principalement , grâce à un meilleur contrôle neuromusculaire, accompagné par l’hypertrophie musculaire.

La musculation  n’avait été associée  qu’à de meilleurs profils de risque cardiovasculaire (chez les jeunes) et à une réduction des risques de pathologies (chez les adultes).


Des études  ont démontré que cette participation à la musculation,  permet de Réduire ce risque de maladies cardiovasculaires et  d’Améliorer les Capacités Physiques, chez les enfants et les adultes.

Chez les personnes en bonne  santé, tout comme  chez les personnes souffrant de problèmes de santé chroniques. 


Etat de fait, justifiant pleinement cet écho de l’Activité-Physique, renvoyé à la Médecine.

Un protocole de coordination, des intervenants des collectivités rurales, Pour la mise en œuvre de la surveillance de l’Activité-Physique des jeunes, à l’échelle de la Collectivité, dans les systèmes scolaires

La surveillance systématique des comportements liés à l’Activité-Physique des jeunes, au moyen d’efforts de surveillance systématiques,

Est essentielle pour :

  • Cerner les tendances liées à l’âge et au sexe
  • Détecter les disparités sous-jacentes
    Et,
  • Eclairer les décisions concernant l’affectation des ressources et l’élaboration de politiques.
    Les systèmes de Veille nationaux existants (comme le Système de surveillance des comportements à risque chez les jeunes), Peuvent aider les collectivités à prendre des décisions locales, fondées sur des données, Concernant les possibilités d’activité physique.

Toutefois, ils sont limités, pour fournir des données opportunes, et propres à la collectivité concernée.


Pour influencer les programmes communautaires d’activité physique et éclairer l’action locale, il est important de saisir les principales sources de données. Données provenant d’une population cible localisée. Population, liée géographiquement et temporellement, au sein de la communauté d’intérêt.

Facile à dire…
La coordination des efforts de veille locale, dans de nombreux systèmes liés à l’activité physique et à la santé des jeunes,
Peut constituer une approche utile pour recueillir des données locales pertinentes.

Donc,
L’équipe de recherche, a collaboré avec les services de santé locaux de 2 collectivités rurales,
Pour coordonner les écoles dans la mise en œuvre de cette surveillance de l’activité physique des jeunes, à l’échelle de l’école.

Un accord de partage de données a été conclu entre tous les partenaires. Les administrateurs scolaires et les enseignants ont assisté à des séances de formation en personne, pour une enquête en ligne sur l’activité physique, et sur la façon d’utiliser les données.


Après la formation, les enfants scolarisés ont reçu des identifiants personnalisés pour remplir le sondage une fois par semestre, sur une période scolaire de 2 ans.

Dans les deux collectivités, 23 enseignants et administrateurs ont assisté aux séances de formation animées par les services de santé locaux et l’équipe de recherche.

Au cours de la première année, un total de 465 élèves de la 3e à la 6e année de scolarité, étaient inscrits dans les écoles participantes.

Les taux de réponse au sondage variaient de 86,1 % à 95,4 %, selon la collectivité et le semestre.
Au cours de la deuxième année, 501 élèves étaient inscrits.
Les taux de réponse variaient de 86,3 % à 89,6 % à l’automne.

Un protocole de coordination des services de santé locaux, et des intervenants communautaires,
Constituait une stratégie efficace pour la mise en œuvre de la surveillance de cette Participation à l’activité physique chez les jeunes.

Et Oui,
Les ententes de partage de données, permettent d’obtenir des données communautaires accessibles, pertinentes et à jour.

  • Des ateliers de formation sur les données, soutiennent les collectivités dans leurs efforts de surveillance.
  • La surveillance en tant que pratique éducative standard, permet de produire des estimations de l’activité physique, pour une population locale.
  • Les données locales peuvent orienter les décisions communautaires concernant les possibilités qu’ont les jeunes, de participation à l’activité physique.

Environnements à domicile et au travail, se prêtant à Participer à l’Activité-Physique : Associations avec la Condition Cardiorespiratoire et le Niveau d’Activité-Physique chez les femmes Françaises

La Promotion de l’Activité-Physique est reconnue comme un élément majeur, lié à la Prévention des Maladies Non Transmissibles.


La conception d’interventions efficaces, en matière d’activité physique, exige une connaissance préalable des corrélats, liés à cette Participation habituelle de la Population, à l’ Activité-Physique.
Au cours de la dernière décennie, l’élaboration de modèles socio-écologiques, liés aux Comportements de Santé, a attiré l’attention. Attention, ciblant l’Influence Potentielle des Facteurs Environnementaux (tant physiques que sociaux), sur cette Participation habituelle à l’Activité-Physique.

Les caractéristiques de l’environnement bâti, comme la densité résidentielle, la densité des destinations, la disponibilité des trottoirs, des pistes cyclables et des installations liées aux Loisirs, ainsi que la sécurité du quartier, ont été associées à un mode de vie, laissant place à plus de Participation à l’Activité-Physique.

Toutefois, les milieux environnementaux d’intérêt, comprennent non seulement le quartier résidentiel (p. ex., les installations de loisirs et de transport, l’utilisation des terres, etc.), mais aussi les environnements liés à l’activité physique, au sein du domicile et sur le lieu de travail.


Cette étude analyse les relations, entre les caractéristiques de ces 2 environnements et l’Activité-Physique des participants. (Utilisation d’un questionnaire, sur la condition cardio-respiratoire et l’activité physique).


Les résultats montrent que des indices liés à l’environnement familial (p. ex., possession d’équipement sportif) et à l’environnement de travail (p. ex., disponibilité d’équipement ou de clubs sportifs) sont positivement corrélées avec la condition cardio-respiratoire de ces personnes.


Mais oui,

L’influence de ces environnements, sur l’aptitude cardiorespiratoire et l’activité physique mesurée objectivement, n’a pas été étudiée suffisamment.
Donc,
Nous avons recruté 147 femmes âgées de 54,7 ans et sans preuve de maladie chronique.
Cet environnement lié à l’activité physique , a été évalué par auto-évaluation (questionnaire Assessing Levels of PHysical Activity related environemental factors : ALPHA),

La Santé Cardio-Respiratoire, par l’éxecution d’un test de Marche

Cette Participation Quotidienne à l’Activité-Physique, par le port d’un “Cardio-Fréquencemètre” (mesure du Rythme Cardiaque) et d’un Accéléromètre (Mesure de l’ensemble de nos déplacements), ainsi que par un questionnaire validé, sur cette Participation à l’Activité-Physique.


Et oui,
Les résultats de ces Environnement Familial et lié à l’Activité Professionnel, étaient positivement corrélés avec la Condition Cardio-Respiratoire (après ajustement en fonction de l’âge) des participants.

Les femmes qui possèdent un vélo ou qui ont un jardin (ce qui peut inciter à l’Activité-Physique) ont un Meilleur niveau de Forme Cardio-Respiratoire.

Ceux qui ont un vélo à la maison ont également eu une Dépense Energétique (Dépense de calories)plus élevée, liée à cette Activité-Physique.


De même, les femmes qui avaient accès à de l’équipement sportif au travail, avaient un meilleur niveau de forme cardio-respiratoire.


En conclusion, ces résultats fournissent de nouvelles informations sur les influences environnementales potentielles, liées à la Condition-Physique et à cette Participation à l’Activité-Physique. Résultats, pouvant permettre d’ éclairer la conception de stratégies, liées à cette Promotion de l’Activité-Physique.

L’influence de l’Environnement Physique du Quartier de Résidence, sur la Santé et le Développement des Jeunes Enfants

Le “développement sain” de l’enfant, lui permet de devenir mature et de participer à la vie économique, sociale et civique (Zubricketal.,2005,2009).

Le développement de l’enfant implique les changements biologiques, psychologiques et émotionnels, qui se produisent entre la naissance et l’adolescence (UNICEF etal.,2010).


Les principaux domaines de développement comprennent les compétences cognitives, sociales et émotionnelles, la parole et l’échange verbal, ainsi que les habiletés motrices fines et globales (Irwin et coll.,2007; Dunn,2012; Doherty,1997; JanusetOfford,2007).


Dans le cerveau, les voies neurales sont établies dans la petite enfance, par le mouvement et la stimulation sensorielle (Shonkoff et Phillips, 2000), Soulignant l’importance du jeu, de l’interaction sociale et de l’activité physique pour le développement cognitif, social, émotionnel, physique et linguistique des enfants.

La petite enfance est une étape critique du développement des enfants, car c’est le moment où les fondements de la santé, du bien-être émotionnel et de la réussite de la vie sont posés.


Donc,
Cette érude examine les données probantes, sur la relation entre les domaines du développement, au début de l’enfance (0 à 7 ans) :

  • la Santé Physique, la Compétence sociale, la maturité émotionnelle et les Compétences de Langage et Cognitives.
    Et,
    1) l’environnement bâti du lieu de résidence (p. ex., la densité résidentielle, la sécurité par rapport à la circulation et l’accès aux biens et services)
    2) les espaces verts, présents au sein de cette zone de résidence (p. ex., activités en extérieur, parcs) 3) l’espace extérieur de la maison (p. ex., présence de cour, de jardin)
    Les données probantes sont résumées, permettant d’expliquer les tendances de la population, en matière de santé et de développement, liés à la petite enfance (mesurées par des indices comme l’ “Indice de développement de la petite enfance”).

Cette publication contient des recommandations, visant à orienter lesrecherches à venir. Fournir des renseignements, sur l’incidence de l’environnement du lieu de résidence, sur la santé et le développement des jeunes enfants.
On a cherché des publications d’étude, portant exclusivement sur les jeunes enfants (moins de 7 ans) et sur l’environnement construit, lié à la maison et à la zone de résidence.
Notre examen a révélé une association positive entre ce,

  • Temps de Jeu en Extérieur
  • Activité-Physique
    Et,
  • Présence de Lieux de Résidence Sûrs et Verts
    Il a été prouvé que la présence de destinations et de services pertinents pour les enfants, est positivement associée aux développement de l’enfant : Santé Physique, Bien-Etre et Compétence Sociale. Situation, négativement associée à ce Retard de développement de l’ enfant.
    Concernant les parents,
    Il y avait aussi des preuves liant ces,
    Perceptions positives des parents à l’égard de la sécurité de la zone de résidence
    Au,
    Développement Socio-Emotionnel et à la Santé Générale des Jeunes Enfants.

Toutefois, cet examen a révélé le manque d’études au niveau de la population, examinant l’incidence des éléments suivants :


a)Surface d’Urbanisation
b)Espace Extérieur et Exposition à la Circulation
c) l’environnement extérieur de la maison
Et,
d)les espaces naturels et les parcs
Sur la Santé et le Développement des jeunes Enfants.

Cet examen met en évidence la nécessité de mener des études sur le rôle de l’individu ainsi que sur l’exposition cumulative des caractéristiques de l’environnement du lieu de résidence, sur la santé et au développement des jeunes enfants.
Ces études doivent inclure des mesures objectives de l’environnement bâti qui sont spécifiques aux premières années de vie.
Elles doivent faire l’objet d’une analyse plus approfondie, tant conceptuelle qu’appliquée, sur la façon dont le bien-être des jeunes enfants est affecté par les différentes spécificités de ces constructions environnementales et l’impact à long terme des changements, liés à cet environnement, sur la santé et le développement des jeunes enfants.
Cette recherche fournirait la base de données probantes, pour éclairer la planification, la conception, la construction et la modernisation des quartiers, sensibles aux besoins des enfants.

L’Activité-Physique, Enrichie sur le Plan Cognitif, peut favoriser la Compétence Motrice et la Fonction Exécutive, dès l’Age Préscolaire

La relation entre l’activité physique, les habiletés motrices et les fonctions cognitives chez les enfants, reçoit beaucoup d’attention.

Cependant, pour transformer les preuves scientifiques en pratiques pédagogiques, nous devons mieux comprendre quelles caractéristiques qualitatives de l’activité physique, conviennent le mieux pour stimuler les habiletés motrices et les fonctions exécutives. Compréhensions, permettant aux enfants, de pouvoir développer leur plein potentiel.


Cette étude pilote visait donc, à évaluer les effets de l’activité physique, enrichie sur le plan cognitif. Effets sur le développement des habiletés motrices et des fonctions exécutives de base, à l’âge préscolaire.

Donc,
36 enfants (19 filles; 17 garçons) âgés de 3 à 6 ans a été divisé en 2 groupes d’intervention et 1 groupe témoin :


1) Activités-Physiques parascolaires Enrichies de Défis Cognitifs
Ou,
2) Natation (séances de 45 minutes? 2 fois par semaine pendant 12 semaines)
Et,
3) un groupe témoin qui n’a pratiqué aucune activité physique après l’école


Avant et après la période d’intervention, les enfants ont été évalués, pour leurs habiletés motrices globales et fines (avec des échelles d’évaluation) et pour les Fonctions Exécutives de base (mémoire de travail, inhibition et flexibilité cognitive).

Les effets de l’intervention ont été explorés au moyen de mesures répétées, pour chaque variable.

Résultats : Seuls les enfants affectés au groupe d’ activité physique, enrichie sur le plan cognitif, ont favoriser leur compétence motrice et leur fonction exécutive.


L’intervention a montré des améliorations significatives de la motricité globale et de la mémoire de travail, avec des performances supérieures, lorsque comparés aux enfants, affectés à la natation (enfants qui ont bénéficiés d’ une amélioration marginale, liée à leur motricité globale).

Le groupe témoin, n’a montré aucune amélioration.


Conclusions : Les résultats suggèrent que l’enrichissement cognitif en Activité-Physique, est un moyen viable de « combler deux besoins par un seul acte », dès l’âge préscolaire. La promotion du développement moteur et cognitif.

Prenons le Temps, de petites « Collations d’Activité »

Les données probantes démontrent qu’une participation régulière à des activités physiques, permet de réduire le risque de pathologies et de décès.


Toutefois, les lignes directrices actuelles en matière d’activité physique, sont axées sur l’accumulation hebdomadaire de 150 minutes d’activité physique (comme seuil).


Bien que les développements récents de ce guide, aient discuté des mérites de courts épisodes d’activité physique, le guide qui fixe de grands objectifs comportementaux pour l’activité physique, n’aide pas le public à devenir suffisamment actif, physiquement.


Une approche « universelle » de ces lignes directrices sur l’activité physique, pourrait ne pas être optimale.


Une approche complémentaire liée à « toute la journée » pour promouvoir cette Activité-Physique (c.-à-d. intégrer l’activité physique tout au long de la journée) pourrait motiver la population à être plus active physiquement. En écho à cette « Collation » quotidienne, ce concept de « Collations d’Activité » fut formulé.

*** L’approche Collations d’Activité , favorise les petits épisodes discrets d’activité-physique (p. ex., 2 à 5 minutes), accumulés tout au long de la journée. La Collations d’Activité  est corrélée à de petits changements de comportements, adoptés au cours de la journée.
Cette Collations d’Activité , offre des occasions de « s’arrimer » aux comportements et aux habitudes existants, pour accroitre cette durée globale d’Activité-Physique,  au cours de la journée.

De plus, les petits changements de comportement sont plus faciles à initier et à maintenir (comparés aux grands changements). 

Une pléthore de données probantes appuient l’hypothèse selon laquelle, cette Collation d’Activité  pourrait être un moyen plus acceptable et plus efficace, permettant d’aider le public à atteindre ou à dépasser ces lignes directrices actuelles, en matière d’activité physique.

Ce document présente les données probantes, à l’appui de l’approche « Collations d’Activité  », et les mécanismes par lesquels elle, celle-ci peut accroître les niveaux d’activité physique de la population.
Chaque minute compte : Les lignes directrices mises à jour par les organismes de santé en 2019-2020 ont éliminé la nécessité de faire de l’activité physique en périodes de 10 minutes ou plus. (UK Chief Medical Officer, 2019; Bull et al., 2020; 2018 Physical Activity Guidelines Advisory Committee, 2018).

Bien que les lignes directrices révisées, reconnaissent maintenant l’importance liées aux petits changements de comportements. Comportements liés à l’activité physique. Et considérant que  que toute activité physique, est meilleure qu’aucune (UK Chief Medical Officer, 2019; Bull et al., 2020; 2018 Physical Activity Guidelines Advisory Committee, 2018), l’orientation est toujours axée sur la nécessité pour le public d’atteindre un objectif d’au moins 150 minutes/semaine d’activité physique, ce qui peut être une tâche difficile pour les populations inactives (UK Chief Medical Officer, 2019; 2018 Physical Activity Guidelines Advisory Committee, 2018).
Des stratégies supplémentaires ou complémentaires sont nécessaires pour aider le public à devenir plus actif physiquement.

Une approche « complète » de la promotion de l’activité physique, qui vise à motiver et à encourager les gens à être plus actifs physiquement tout au long de la journée, est un concept que nous appelons « Collations d’Activité  ».


Plutôt que d’encourager de façon générale, au moins 150 minutes/semaine d’activité physique, Snacktivité met l’accent sur la promotion de petites (p. ex., 2 à 5 minutes), mais fréquentes, périodes d’activité physique, tout au long de la journée. Situation, permettant d’ accumuler au moins 150 minutes/semaine d’activité physique.
Par exemple, six « Collations d’Activité » d’une durée de 5 minutes/jour, seraient nécessaires pour répondre aux recommandations en matière d’activité physique.

les exemples de Collations d’Activité  comprennent des conversations de marche-parler, en utilisant des escaliers plutôt que l’ascenseur / ascenseur, stimulation tout en utilisant le téléphone, ou squats tout en se brossant les dents.
Étant donné le manque de succès à encourager les populations inactives à réaliser de grands épisodes d’activité physique.
« Collations d’Activité » peut être un message de santé publique complémentaire qui offre une méthode de mise en œuvre de cette orientation. Il n’est pas suggéré d’abandonner les directives actuelles sur l’activité physique, mais les approches actuelles ne sont peut-être pas idéales. 

La Collations d’Activité  devrait être réalisable par la plupart de la population et, par conséquent, s’attaquer aux inégalités en matière de santé en les rendant accessibles à tous ceux qui pourraient en bénéficier. Le grignotage est un comportement courant et pour la première fois, le public pourrait être encouragé à grignoter autant qu’il le souhaite, mais pas avec des aliments malsains, mais avec l’habitude de cette Collation d’Activité.

L’Activité-Physique, pour le Traitement de la Dépression et de l’Anxiété

Un état e lieux, par Peter J Carek et al. Int J Psychiatry Med. 2011.

La dépression et l’anxiété sont les situations psychiatriques les plus courantes, touchant des millions de personnes.

Les traitements de la dépression et de l’anxiété sont multiples et ont des degrés variables d’efficacité.

L’Activité-Physique est associée à une diminution des symptômes de dépression et d’anxiété.

L’Activité-Physique est toujours associée, à une amélioration de la santé physique, à de Meilleurs Satisfaction de la Vie, Fonctionnement Cognitif et Bien-être Psychologique.

Inversement, l’absence de participation à l’Activité-Physique, semble être associée au développement de troubles psychologiques.

Des études spécifiques soutiennent l’utilisation de l’Activité-Physique, comme traitement de la dépression. Cette Participation à l’Activité-Physique, se compare favorablement aux médicaments antidépresseurs. Comparaison favorable, à l’égard de ce traitement de première ligne, pour la dépression légère.

Cette participation à l’Activité-Physique, s’est également montrée capable, d’ améliorer les symptômes dépressifs lorsqu’elle est utilisée comme un complément aux médicaments.

Il a été démontré que cette Participation à l’Activité-Physique, est une solution efficace et rentable, pour une variété de troubles anxieux.

Mais oui, Bien qu’efficace, l’Activité-Physique n’a pas démontrée autant d’efficacité que les psychopharmaceutiques, pour réduire l’anxiété.