Contrer cette Incidence-Croissante de l’Obésité, chez l’Enfant ?

Qu’en est-il de ces Mesures de l’ « Environnement Obésogène » pour les Enfants ?

Diverses mesures cet environnement obésogène (favorisant cette apparition du surpoids et de l’obésité) ont été proposées et utilisées dans la recherche sur l’Obésité Juvénile.

Un examen systématique a été effectué pour examiner les liens entre les différents niveaux de mesures environnementales (objectives ou perçues) et l’obésité juvénile.

Au total, 339 associations dans 101 études ont été recensées, dans 18 pays.

78 associations sont présentent au sein de différentes études.

9 études sur 15, attestent d’un facteur de 1er intérêt, concernant l’environnement de résidence de l’enfant.

De quoi est-ce qu’on parle ?

Et bien de la présence de structures, permettant aux enfants de participer à l’activité-physique au sein de leur environnement de résidence.

L’Accès aux Espaces Verts dans l’Environnement de Résidence et l’Obésité juvénile

L’accès aux espaces verts peut influencer cette Participation à l’activité physique et, (par la suite) le Poids des Enfants.

Une Meilleure Exposition aux Espaces Verts, pourrait améliorer la santé de l’enfant,

En augmentant ses possibilités et ses niveaux de participation à l’activité physique.

Cette étude a examiné des articles analysant l’association entre l’accès à l’espace vert et les comportements/résultats liés au poids, chez les enfants (études publiées avant le 1er janvier 2019). La taille de ces populations de participants, variait de 108 à 44 278.

Les études  menées dans 9 pays, ont été identifiées.

Dans l’ensemble, les données montrent :

*une association positive entre l’accès aux espaces verts et l’activité physique

               Et,

*une Croissance du Temps de Télévision, , de l’indice de masse corporelle et du poids des enfants.

Font écho au manque d’accès aux espaces verts

I l reste difficile de tirer une conclusion claire sur l’association entre l’accès aux espaces verts et l’Indice de Masse Corporelle.

Les études, peuvent directement estimer la force de ces associations causales, entre l’accès à l’espace vert et le poids de l’enfant.

Trajets actifs vers l’école chez 36, 781 enfants et adolescents espagnols

Le transport-actif vers l’école, défini comme l’utilisation de moyens de transport actifs (la marche et/ou le vélo) pour se rendre à l’école et en revenir, représente une occasion d’intégrer l’activité physique,                                                                                                                                                                            Dans la vie quotidienne des enfants et des adolescents.

Fait important, le transport actif vers l’école est associé à de nombreux avantages pour la santé de chacun. Impacts ne se manquants positifs, pour l’ensemble et la société :

– Niveaux plus élevés de Participation à l’Activité-Physique

– Réduction du Risque, de développer des Maladies Métaboliques

– Meilleures Relations Interpersonnelles chez les Enfants et les Adolescents

– Croissance de la Mobilité Autonome pour ces groupes d’âge

Cette Mobilité Autonome, est également synonyme d’Avantages Environnementaux et Economiques.

Malgré de nombreux avantages, les taux de Déplacement Actif vers l’Ecole varient d’un pays à l’autre.

Un nombre croissant d’études ont également signalé la baisse de cette prévalence de Déplacement Actif vers l’Ecole, chez les enfants et les adolescents. Situation observée au cours des dernières décennies, dans de nombreux pays.

Cette Réduction la plus Prononcé du Déplacement Actif vers l’Ecole, a été signalée chez les adolescents européens (Réduction du taux de Déplacement Actif, allant de 15 % en Espagne entre 2001 et 2007 à 20 % en République tchèque entre 2006 et 2014).

Compte tenu des tendances mondiales, concernant ces :

*Baisse de Participation à l’Activité-Physique  chez les enfants et les adolescent

*Urbanisation rapide dans de nombreux pays

Il est essentiel de comprendre les tendances récentes en matière de Déplacement Actif vers l’Ecole, pour évaluer les besoins spécifiques des pays, concernant les interventions futures!

Concernant l’Espagne, une diminution de l’activité physique des enfants et des adolescents et une urbanisation rapide, furent également observés au cours des dernières décennies.

Par conséquent, cette étude a analysé les tendances de ces taux de Déplacement Actif vers l’Ecole, au sein d’un grand échantillon d’enfants et d’adolescents espagnols âgés de 6 à 18 ans. Analyses menées depuis 2010, jusqu’ à 2017.

La période d’étude fut également ponctuée, par la crise économique en Espagne (2008 à 2013). Une analyse secondaire a donc été effectuée, pour comparer les taux de Déplacement Actif jusqu’à l’Ecole, pendant et après la crise économique.

Cette étude a analysé ces modes de transport vers et/ou depuis l’école, à partir de 28 études menées dans toute l’Espagne.

Les données ont été obtenues à partir d’études originales menées par des centres de recherche et des institutions publiques locales/régionales entre 2010 et 2017. Ces études furent menées, auprès d’enfants et des adolescents espagnols.

Cette étude transversale est la première partie de la « Cycle and Walk to School Study », centrée sur la Promotion du Déplacement Actif vers l’école, chez les enfants et les adolescents espagnols.

L’étude actuelle comprenait des données, recueillies entre 2010 et 2017 auprès d’enfants et d’adolescents espagnols, âgés de 6 à 18 ans :

*Sexe

*Age

*Déplacement Actif vers l’école

Et,

* Emplacement de l’Ecole

En outre, les chercheurs ont recueilli des informations sur la Densité de la Population et le Niveau de Revenus des Villes, où étaient localisées ces écoles. Les données de 28 études ont donc été regroupées auprès de 48373 enfants et adolescents.

Mode de transport aller-retour entre l’école et l’école

Dans toutes les études, les enfants et les adolescents ont déclaré eux-mêmes leur mode de déplacement entre l’école et leur domicile, en utilisant un éventail de questions d’enquête.

En fonction de leurs options de réponses sur la façon dont ils ont voyagé pour se rendre à l’école et/ou en revenir, les participants ont été classés dans ces groupes de Déplacements Actifs ou Passifs.

– Les participants qui ont déclaré marcher, faire du vélo ou utiliser un scooter non motorisé pour se rendre à l’école ou en revenir, ont été classés ce groupe d’enfants, utilisant ce mode de Déplacement Actif.

– Les participants qui ont déclaré se rendre à l’école ou en revenir en autobus scolaire, en autobus public, en train ou en métro, en taxi, en moto ou en voiture, étaient considérés comme enfants, utilisant ce mode de Déplacement Passif.

Les participants utilisant plusieurs modes de transports, dans le cadre de leur voyage scolaire (ex. utilisant deux ou plusieurs modes de déplacement différents pour le même voyage) ont été inclus dans cette analyse, seulement si les deux modes pouvaient être inclus dans la même catégorie (actif ou passif).

La fréquence des déplacements à destination et en provenance de l’école a été reclassée en fonction du nombre de jours d’activité ou de déplacements.

Par conséquent, les participants ont été classés comme étant « actifs », s’ils ont déclaré :

*Des Jours de Déplacement Actifs, en dehors de ces 5 jours de classe

                       Et,

*4 voyages actifs sur 10 voyages scolaires par semaine

Le mode habituel de déplacement aller-retour à l’école, a été catégorisé comme étant Actif, lorsque les participants ont déclaré un déplacement actif par jour sur deux voyages scolaires quotidiens.

Cette étude comprenait des données recueillies entre 2010 et 2017. La période a été divisée en périodes de deux ans : 2010–2011, 2012–2013, 2014–2015 et 2016–2017,

*Pour Garantir une Taille d’Echantillon Semblable, pour chaque période, en fournissant 4 Périodes pour Examiner les Tendances.

En outre, la crise économique en Espagne a eu lieu de 2008 à 2013. Par conséquent, les données de cette étude ont été analysées pour les périodes précédant la crise économique (2010-2013) et après la crise (2014-2017).

Caractéristiques sociodémographiques

Les données individuelles comprenaient l’âge et le sexe des participants.

Les caractéristiques de l’emplacement de l’école utilisées dans les analyses statistiques, comprenaient :

*la Densité de la Population

*Le Niveau de Revenu.

La densité de la population (nombre d’habitants par localité en km2) a été obtenue auprès du ministère des finances et de l’administration publique de l’Espagne, en utilisant les données disponibles les plus proches de l’année de collecte des données dans chaque localité.

Les revenus de l’année de collecte des données ont également été obtenus (auprès de l’Agence fiscale publique espagnole)

La Densité de la Population et le Revenu ont été classés comme Faibles ou Elevés, en utilisant la valeur moyenne.

Résultats

Les données analysées, concernaient :

*18 343 enfants, de 6 à 11,9 ans

*50,5 % de filles

Et,

*18 438 adolescents, de 12 à 18 ans

*49,5 % de filles

Dans les deux groupes d’âge,

*60 % des participants ont utilisé le transport actif pour se rendre à l’école.

Au cours de quatre périodes, il y a eu des Différences Importantes concernant ces Densité de la Population et Niveau de Revenu).

Les taux de Déplacement Actif vers l’Ecole au cours des 4  périodes de veille, variaient :

*Entre 58 % et 65 % chez les enfants

                        Et,

*Entre 55 % et 66 % chez les adolescents

Chez les Enfants, il n’y avait Aucun Lien entre ce Déplacement Actif vers l’Ecole et la Période.

Chez les Adolescents, il y avait une Association Importante (ils étaient plus susceptibles de se déplacer activement entre 2012 et 2013, comparé à cette période 2016-2017).

Il n’y a eu Aucune Interaction entre l’Age, le Sexe et le Niveau de Revenu de ces localités, au cours de la période.

Discussion

Les données disponibles suggèrent qu’un large éventail de facteurs individuels, sociaux, environnementaux et politiques influencent ce Déplacement Actif vers l’Ecole chez les enfants et les adolescents (Ah bon! Vraiment!….Oui, et ce fait est désormais Attester, par l’Observation scientifique).

La Distance à parcourir pour se rendre à l’Ecole, est l’un des principaux déterminants, liés à ce Déplacement Actif.

L’Hétérogénéité des Questions de Recherche et les Méthodes d’Evaluation du Mode de Déplacement vers l’Ecole, diffèrent d’un pays à l’autre.

 Ces différences peuvent contribuer aux variations nationales, liées à la Prévalence du Déplacement Actif vers l’école, chez les Enfants et les Adolescents (observées dans cette étude et dans d’autres).

Par conséquent,

Des interventions visant à Accroître ces taux de déplacement Actif vers l’Ecole, sont Nécessaires à l’égard de notre Santé Publique.

En conséquence, il est possible que les familles espagnoles, se doivent poursuivre l’adoption publique, de comportements plus sains et durables :

* Un Mode de Vie, laissant une place de 1er ordre, à l’Activité-Physique

* Une Dépendance Réduite au Transport en Voiture

Le gouvernement espagnol a cherché à promouvoir la santé des enfants et des adolescents au cours des dernières années, avec des stratégies ciblant la Nutrition, l’Activité-physique et la Prévention de l’Obésité

Le nombre croissant de stratégies visant à promouvoir ce Transport Actif, menées en Espagne ces dernières années, semble avoir eu une influence positive.

Par exemple,

La loi nationale sur l’éducation lancée en 2013, incluait un contenu novateur pour promouvoir ce Déplacement Actif vers l’Ecole.

 Ce contenu, inclus dans les programmes éducatifs, facilite la promotion de comportements sains dans les structures, attachées à l’Education de l’enfant.

Un autre exemple peut prendre place du projet STARS (2016), qui vise à habiliter et récompenser les écoles, permettant cette Promotion des Déplacements Durables et Sécuritaires pour leurs élèves (Notamment la Marche et le Vélo).

Le programme se poursuit encore aujourd’hui dans certaines écoles en Espagne (121 (1,5%) écoles primaires et 73 (2,0%) écoles secondaires publiques).

Il n’est à ignorer, la mise en place du Trafic Snake Game, né en Belgique et en Espagne en 2014. Ce protocole  a impliqué 226 (6%) écoles primaires espagnoles à ce jour. Ce jeu encourage les enfants, leurs parents et les enseignants à utiliser des formes de mobilité durable lors de voyages à l’école :

*la Marche, le Vélo,

*l’utilisation des Transports Publics

ou,

* le Partage de la Voiture entre plusieurs personnes

Ces interventions ont peut-être contribué, à stabiliser la proportion d’enfants et d’adolescents qui utilisent ce mode de Déplacement Actif vers l’école, au cours de la période 2010 à 2017 en Espagne.

Une partie de la période couverte par cette, étude, fut également ponctuée par une crise financière, en Espagne entre 2008 et 2013.

Malgré l’existence d’une enquête nationale sur le mode de déplacement domicile-travail chez les adultes entre 2001 et 2011, il n’existe pas de données nationales antérieures sur les changements, liés à ce Déplacement Actif vers l’école.

Dans les faits,

Les données recueillies en 2011, ont montré que les jeunes espagnols dont les parents ne travaillaient pas, avaient des niveaux plus élevés de Déplacement Actif vers l’école (comparé à leurs pairs, dont les parents avaient un emploi).

Lorsque les Associations entre le Déplacement Actif vers l’Ecole et le Niveau de Revenu des localités, ont été analysées pour la période de 2010 à 2017,

Les enfants qui fréquentaient ces écoles, présentent au sein dans de localités à faible revenu (Comparé aux localités, bénéficiant d’un niveau de revenu élevé), étaient moins susceptibles d’utiliser ce mode de Déplacement Actif vers l’Ecole. que ceux dont le revenu était élevé.

Ces résultats ne manquent d’être contrastés. Car chez les Adolescents ces résidents de localités à faible revenu, sont plus susceptibles d’entreprendre ce Transport Actif que (Comparé à ces adolescents, résidants de ces localités au niveau de revenu élevé).

De manière générale, Encourager les Déplacements Actifs, permet une réponse favorable, à l’égard des Politiques Mondiales visant à Promouvoir notre Participation à l’Activité-Physique pour l’ensemble de la population (ex. Plan d’action mondial sur l’activité physique de l’Organisation mondiale de la Santé _2018-2030).

Sans oublier ces  Objectifs de développement durable, lancés par les Nations Unies. Il doit y avoir un ensemble de lignes directrices dans chaque pays et entre les pays, concernant les différentes approches méthodologiques et les sources de données disponibles,

Permettant le Suivi, l’Analyse et la Promotion de ce Déplacement-Actif.

Une recommandation clé  (pour ces futures travaux de recherches) pourrait consister à utiliser un Questionnaire Unique Valide (dont la Fiabilité fut démontrée) pour la collecte des données, concernant ce Déplacement-Actif.

Le suivi de cette recommandation, pourrait aider les chercheurs à évaluer ce Comportement lié de Transport Actif, au moyen d’une mesure valide, permettant d’établir des comparaisons fiables, entre les études.

Les principaux points forts de cette étude sont :

*Une Grande Taille de ce Volume de Participants

*Participants, provenant de Différentes régions de leur Pays

*Un processus Systématique et Rigoureux pour la Fusion des Données, issues des différentes études analysées

* une Approche Novatrice et Utile, permettant de Combiner les Réponses, à partir d’une variété de questions d’enquête. Questions utilisées, pour évaluer ce Déplacement-Actif, dans différentes études

Cette Approche, peut aider,

*Les chercheurs

 *Les Professionnels attachés à la Promotion de notre Santé-Publique

*Les personnes œuvrant à la Promotion de nos moyens de Transports

                                Et,

*Les Politiques, dans leurs efforts liés à la combinaison des données, liées au mode de déplacement. A partir de multiples sources de données.

Nous avons déjà signalé l’hétérogénéité élevée des questionnaires d’auto-déclaration dans des études évaluant le mode ce transport vers/depuis l’école. Ce travail, met en avant cette solution potentielle, permettant de normaliser ces diverses mesures.

L’une des principales limites de cette étude, est  l’absence de données, sur la distance entre le domicile et l’école.

D’autres limites comprennent :

_La diversité de questions utilisées, pour cette déclaration des moyens de transport utilisées, pour se rendre à l’école.

_L’Absence de Statut Socioéconomique au niveau Individuel

_Des Différences, concernant :

 *le Nombre de Participants à chacune de ces études analysées

 *les Caractéristiques Sociodémographiques des participants à l’étude

*la Densité de la Population

*le Niveau de Revenu des Etablissements Scolaires, où des données ont été recueillies chaque année.

D’autres recherches sont nécessaires, pour comprendre comment les changements sociaux et liés aux infrastructures, s’entreprennent ensemble, au bénéfice d’un écho mutuel.

Nos Infrastructures Urbaines se modernisent.

La Corrélation éclairée de ces changements (liés aux transports et à la planification urbaine), concourent alors, à l’adoption de modes de vie sains, équitables et durables.

Au cours de la période 2010-2017, les taux de Déplacement Actif jusqu’à l’Ecole, chez les enfants et les adolescents espagnols, sont restés stables.

Ces résultats contrastent avec les baisses récemment signalées de ces taux de Déplacement Actif, dans d’autres pays.

Cela pourrait refléter les changements, que la société (changements éducatifs et socio-économiques) espagnole acquiert, au regard d’un Comportement-Publique plus sains.

Donc oui,

  1. Des Partenariats Solides entre les Chercheurs, les Professionnels liés à notre Santé Publique et les Collectivités,
  2. Un Engagement à Long Terme et l’ Evaluation Récurrente des interventions, visant à accroître nos Habitudes de Déplacement Actif,

 Sont Nécessaires pour assurer des Résultats Positifs, sur le Long-Terme.

L’activité physique peut-elle protéger contre la dépression et l’anxiété pendant la pandémie de COVID-19? Examen de l’ensemble des données d’études, en Septembre 2020

Avec 23 057 288 cas confirmés partout dans le monde (jusqu’au 23 août 2020), le COVID-19 est une urgence de santé publique mondiale.

L’OMS a émis des recommandations visant à mettre en œuvre des mesures de distanciation sociale pour le grand public, ainsi que des procédures de quarantaine pour les personnes infectées.

Le Confinement et les mesures de distanciation sociale avaient déjà été appliquées lors de pandémies antérieures (SRAS en 2003 et Ebola en 2014).

Des études sur les effets de ces mesures ont révélé une augmentation des symptômes d’anxiété, de stress post-traumatique et de troubles dépressifs, ainsi qu’une augmentation de 30 % des taux de suicide dans les populations touchées par ces mesures, liée à la situation sanitaire.

De nombreuses études font état d’une prévalence accrue de dépression et d’anxiété.

L’ensemble des analyses, révèlent alors, que :

Les personnes qui ont déclaré avoir passé un temps à participer à de l’activité physique (d’intensité modérée à élevée), avaient :

* 12 % à 32 % moins de chances de présenter des symptômes dépressifs

                            Et,

*15 % à 34 % moins de chances de présenter des symptômes  d’anxiété.

La Promotion des Habitudes de Participation à d’Activité-Physique pourrait constituer une stratégie rentable et applicable à l’échelle mondiale ?

Pour combler l’écart important entre les personnes nécessitant ces soins de santé mentale et celles qui en bénéficient déjà.

Surtout dans les pays à faible revenu, pâtissant de possibilités inexistantes de soins, à l’égard de cette santé mentale de la population.

Le Web et les outils associés, pourraient être des outils prometteurs pour :

*Accroître la Motivation et la Participation à l’Activité Physique

*Maintenir des Habitudes de Participation à l’Activité-Physique Quotidienne, même en présence d’obstacles propres aux situations de pandémie.

Cependant,

Il existe un besoin évident de recherche plus systématique, concernant l’Efficacité et l’aspect Sécuritaire de ces Applications ou Programmes Web.

Applications et Programmes, visant à Prévenir les Troubles Psychiatriques par le biais de notre Participation-Publique à l’Activité-Physique.

Activités sur l’écran des jeunes enfants, consommation de boissons sucrées et anthropométrie : Résultats d’une étude européenne

L’obésité de l’enfant a une étiologie complexe et a des effets à long terme à l’âge adulte.

Y compris le Décès Prématuré et le Risque Global de Maladies

L’analyse des déterminants comportementaux, encourage à se concentrer sur des habitudes alimentaires spécifiques,

 Ainsi qu’à réduire le temps passé devant un écran et l’ensemble de nos Comportements Sédentaires, pour prévenir cette situation d’Obésité, chez l’Enfant.

Les mécanismes potentiels qui sous-tendent l’association entre le temps passé devant un écran et le risque accru d’embonpoint chez les enfants comprennent :

L’Absence d’Activité-Physique

– une Plus Grande Exposition à la Commercialisation d’Aliments, Favorisant cette Consommation de Calories, dans l’ensemble de ces temps de publicités.

                          et/ou,

Manger Devant la Télévision.

Cette étude décrit la relation entre le Temps que les Jeunes enfants, passent  Devant l’Ecran, leurs Habitudes Alimentaires et les Mesures Anthropométriques.

L’hypothèse était que, le visionnement à la télévision et d’autres activités à l’écran, entraînaient une consommation accrue de boissons sucrées et une croissance de l’Indice de Masse Corporelle, et du Rapport IMC/Taille de l’enfant,  deux ans plus tard.

L’étude fait partie de l’étude de cohorte prospective IDEFICS (“Identification and prevention of dietary and lifestyle-induced health effects in children and infants”), qui étudie l’alimentation, le mode de vie et les déterminants sociaux de l’obésité chez les enfants de 2 à 9 ans dans 8 pays européens.

L’Anthropométrie (Poids,Taille, Mesures a été Mesurée Objectivement, et les Comportements ont été Signalés par les Parents.

RÉSULTATS :

Ce Rapport Taille/Indice de Masse corporelle, évoluait également de manière défavorable,  pour chaque heure par jour passée à regarder la télévision.

Situation correspondant alors, à la Croissance la Consommation de Boissons Sucrées. En effet, cette croissance était observée, pour chaque heure supplémentaire de télévision, au quotidien.

Les associations pour le temps total d’écran (TV, Ordinateur, tablettes, Jeux Vidéos) étaient légèrement plus faibles.

Les résultats indiquent des effets réels de ce Temps de Télévision, chez les Jeunes Enfants.

Ces effets sont significatifs, à la fois sur leur Consommation de Boissons Sucrées et sur une Croissance  de leur Indice de Masse Corporelle (Poids-kg/Taille (mètres)2 et de l’obésité centrale (mesurée grâce à ce rapport Tour de Taille-Tour de Hanche).

Pour l’enfant, nos résultats suggèrent que le Temps de Télévision semble avoir un effet plus marqué sur les habitudes alimentaires et l’anthropométrie que d’autres activités sur écran.

Les effets de la Télévision et du Temps passé à l’Ecran pour les jeunes enfants sont considérables, tant sur la Consommation de Boissons Sucrées que sur l’Augmentation de leur Indice de Masse Corporelle et leur Risque d’Obésité.

Nos résultats suggèrent que chez les jeunes enfants, la majorité de ce temps d’écrans est du Temps de Télévision.

Or,

La Télévision semble avoir un Effet Plus Prononcé sur les Habitudes Alimentaires et l’Anthropométrie de l’Enfant (par rapport aux autres activités, nécessitant l’utilisation d’écrans).

Quel est l’impact de l’Activité-Physique , sur les trajectoires de Vieillissement en Bonne Santé ?

La recherche a suggéré l’impact positif de l’activité physique sur la santé et le bien-être, également à un âge avancé.

Pourtant,

Peu d’études ont étudié les liens entre l’activité physique et ces trajectoires hétérogènes du vieillissement en bonne santé.

Donc,

Nous avons cherché à déterminer comment l’activité physique peut influencer les trajectoires liées au vieillissement en bonne santé.

Comment ?

Et bien,  à l’aide d’un ensemble de données harmonisé de 8 cohortes de personnes vieillissantes dans le monde.

Méthodes :

Sur la base de cet ensemble de données issues de 8 cohortes de personnes vieillissantes en Australie, aux États-Unis, au Mexique, au Japon, en Corée du Sud et en Europe.

Soit 130 521 adultes, âgés de 62 ans en moyenne (+ ou – 10 ans) suivis pendant 5 (+ ou – 3) ans, nous avons utilisé une modélisation, capable d’identifier les personnes ayant des trajectoires différentes, liées à ce Vieillissement en Bonne Santé (qui incorporent 41 éléments liés à notre Santé).

Les analyses statistiques ont mis à jour 3 « trajectoires du vieillissement »

– 2  trajectoires stables avec des points de départ élevés, témoins d’un Bon état de Santé_ (71,4 %) ou faibles, témoins d’un Mauvais état de Santé (25,2 %)

                                   Et,

– 1 avec un point de départ élevé mais une baisse rapide au fil du temps (3,4 %).

L’engagement dans n’importe quel niveau d’activité physique était associé à une Diminution des Probabilités, de se trouver dans les groupes de :

-« Faible état de Santé, Stable »

                     Ou,

-« Déclin Rapide de l’état de Santé »

Comparativement au groupe (bénéficiant de cette participation à l’Activité-Physique), bénéficiant majoritairement de la Stabilité d’un Bon état de Santé.

Conclusions :

Nos résultats suggèrent un impact positif de l’activité physique sur le vieillissement en bonne santé. La Promotion de l’Activité-Physique devrait être au cœur des Politiques de Vieillissement en Bonne  Santé, pour permettre de Prévenir l’ Invalidité et la Détérioration rapide de notre Santé.

Effets bénéfiques de l’exercice physique sur la neuroplasticité et la cognition

Le cerveau humain s’adapte aux exigences changeantes en modifiant ses propriétés fonctionnelles et structurelles (“neuroplasticité”). Processus aboutissant à l’apprentissage et à l’acquisition de compétences.

Des données convergentes provenant d’études sur l’homme et l’animale, suggèrent que l’activité physique facilite la neuroplasticité de certaines structures cérébrales, et par conséquent, les fonctions cognitives.

Des études sur des animaux ont identifié une amélioration de la neurogenèse, de la synaptogénèse, de l’angiogenèse et de la libération de neurotrophines,

En tant que mécanismes neuronaux, médiateurs des effets cognitifs bénéfiques de l’exercice physique.

Cette revue résume les conséquences comportementales et les corrélations neurales, suite aux interventions de Participation à l’Activité-Physique, chez les humains de différents âges.

Les résultats suggèrent que l’exercice physique peut déclencher des processus facilitant la neuroplasticité et, par conséquent,

Améliore la capacité d’une personne à répondre aux nouvelles sollicitations, avec des adaptations comportementales.

En effet, certaines études récentes ont suggéré que la combinaison de l’Entraînement Physique et Cognitif, pourrait entraîner une amélioration mutuelle des deux interventions.

De plus, de nouvelles données suggèrent que pour maintenir les bienfaits neuro-cognitifs induits par l’exercice physique, il faut veiller au maintien, de son niveau de capacité cardiovasculaire.

Niveaux d’activité physique et dépenses énergétiques associées, pendant le confinement lié au COVID-19 au sein de la population active sicilienne

Le coronavirus de 2019 (COVID-19) représente une pneumonie dont l’étiologie est inconnue et qui est apparue pour la première fois (dans la ville de Wuhan, dans la province du Hubei en Chine), le 31 décembre 2019.

Le 7 janvier 2020, les résultats de recherches chinoises ont mis en évidence la découverte d’un nouveau coronavirus (CoV) avec une séquence génétique distincte à laquelle ils ont donné le nom « 2019- nCoV » et, par la suite, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a nommé la maladie causée par ce virus « COVID-19 ».

Après l’évolution initiale en Chine et en raison de cette transmission publique du virus, le COVID-19 a continué de se propager dans le monde entier, ce qui a incité l’OMS à déclarer l’état d’urgence sanitaire mondiale (30 janvier) et à définir le COVID-19 comme une pandémie (11 mars).

Comme aucun vaccin n’a été créé jusqu’à présent, les gouvernements ont adopté des stratégies pour limiter la propagation du virus.

 L’Italie (où le premier cas local de contagion lié à la COVID-19 fut détecté), fut le premier pays européen à appliquer des mesures, liées à la Distanciation et au Confinement afin de contrôler la propagation de la COVID-19.

Cela a conduit à un changement dans les habitudes de la population italienne, qui comprenait une modification de la pratique de l’activité physique. En particulier, le gouvernement italien a encouragé la distanciation sociale, la fermeture d’écoles et d’universités et la suspension de tout événement social, y compris les compétitions sportives professionnelles et non professionnelles.

La pratique d’Activité-Physique pour les athlètes et les amateurs a d’abord été autorisée en maintenant une distance interpersonnelle d’au moins un mètre.

Ensuite, la suspension de toutes les activités pratiquées dans les gymnases, les centres sportifs et les piscines et leur fermeture a été ordonnée.

Enfin, pour contrer davantage la propagation du virus, l’accès aux parcs et jardins publics était interdit et la pratique de l’activité physique de loisir ,en plein air, était permise à proximité des maisons, mais pas en groupe. Sauf si une distance d’ 1 mètre entre chaque personne, était respectée.

Depuis que les mesures de confinement mises en œuvre par le gouvernement italien, sont devenues de plus en plus restrictives,

La pratique de l’activité physique a été progressivement soumise à des conditions resytrictives.

Il est bien connu que l’inactivité physique cause plus de 5 millions de décès dans le monde et représente un préjudice pour l’économie des systèmes de santé publique.

Nos institutions de Santé-Publique,  encouragent donc cette participation à l’activité physique, pour promouvoir notre santé et permettre la prévention de nombreuses maladies.

Cependant, en raison des limites du gouvernement, nous avons émis l’hypothèse que les gens pratiqueraient des niveaux inférieurs d’activité physique.

Un instrument utilisé pour évaluer les niveaux de pratique de l’activité physique d’une population, au cours des « sept derniers jours » ou de la « semaine habituelle »,

Est le Questionnaire international sur l’activité physique (IPAQ).

L’IPAQ nous permet de mesurer les 4 niveaux d’intensité de PA suivants :

a) Activité-Physique d’Intensité Elevée b) ) Activité-Physique de Faible Intensité c) Marche d) Temps passé Assis.

Grâce aux données de l’IPAQ relatives au temps passé pour chaque intensité d’Activité-Physique,

Il est possible de calculer les niveaux de pratique d’Activité-Physique et la Dépense Energétique hebdomadaire correspondante.

Pour cette raison, l’objectif de notre étude était de mesurer, au moyen d’une version adaptée en ligne de l’IPAQ, les niveaux d’Activité-Physique exprimés en Dépenses Energétiques/Semaine, auprès de la population sicilienne, avant et pendant les sept derniers jours de Confinement liés à la COVID-19.

Les travaux de recherche précédents, ont examinés les différences liés à cette Participation à l’Activité-Physique, selon le sexe, l’âge et la composition corporelle.

Nous avons également tenu compte de la relation entre, le total de ces dépenses énergétiques (Estimations du nombre de Calories dépensées, par semaine)  avant et pendant la COVID-19

– le Confinement

               Et,

– l’ensemble de ces Variables démographiques et anthropométriques.

Cette étude est un sondage en ligne rapide et de grande envergure mené à l’aide de la plateforme de sondage Web Google Forms.

Le sondage en ligne était anonyme et n’était pas attribuable à l’identité des participants. L’annonce, qui comprenait le lien vers le sondage en ligne, a été publiée à la fois sur le site Web de l’Université de Palerme et de l’École régionale de sport du Comité national olympique italien (CONI) de Sicile.

De plus, le sondage en ligne a été diffusé sur les médias sociaux comme Facebook, Instagram et WhatsApp, et partagé avec les contacts personnels des membres du groupe de recherche et des étudiants universitaires.

Nos résultats, nous permettent d’attester que cette période d’Isolation, a influencé négativement cette participation à l’activité-physique. Ces impacts sont plus importants pour les hommes et les personnes en surpoids.

En ce qui concerne les classifications par âge, les groupes d’enfants, adolescents et d’adultes ont été particulièrement touchés.

Il est alors possible d’augmenter ce niveau de de Participation à l’Activité-Physique à domicile, durant le confinement. Nous recommandons de suivre les directives scientifiques, de faire appel à un coach sportif, pour bénéficier d’une Participation <personnalisée à l’Activité-Physique,

                                                      Et possiblement,

De consulter un médecin du sport afin de pouvoir soutenir son niveau habituel d’Activité-Physique.

De plus, étant donné que la charge d’entraînement joue un rôle clé dans les blessures musculosquelettiques, nous suggérons de maintenir ce niveau d’Activité-Physique, au plus proche (que possible) de son niveau habituel.

Il faudra alors veiller, à revenir graduellement à la charge d’entraînement précédente.

De plus,

Dans des situations critiques comme la pandémie actuelle,

Encourager cette Participation Publique l’Activité-Physique (pour les populations physiquement actives et inactives) avec l’appui des professionnels du sport (entraîneurs/coachs personnels/médecins du sport), ainsi que par les médecins,

Devrait être le principal moyen de sensibiliser la population, à la nécessité de maintenir notre Participation à l’Activité-physique, pour la promotion de notre Santé.

Sortez Bouger les Enfants !

Au cours d’une Journée d’Ecole, nous avons constaté qu’une activité extérieure à rythme autonome, durant 15 minutes,

Était plus bénéfique pour le bien-être et le rendement cognitif des élèves (comparativement à une activité en position assise ou debout à l’extérieur, ou à une activité de course près de l’épuisement).


Bien que faire une Activité-Physique plus intense n’était pas aussi bénéfique que cette activité-physique à un rythme auto-sélectionné,

Ces effets sur le cognition de l’enfant, étaient similaire au groupe contrôle (et cette Activité-Physique plus intense, ne devrait pas être considérée comme préjudiciable).


Les bienfaits à long terme de l’Activité-Physique sur la santé,

Conjugués aux avantages cognitifs, qui favorisent l’apprentissage,

Justifie l’adoption de ces Pauses d’Activité-Physique au sein des Programmes Scolaires.

Moyen supplémentaire, par lequel les jeunes peuvent augmenter leur niveau d’Activité-physique (en plus de ces cours hebdomadaires de “Sport” et des Transports Actifs (si possible),

Ces temps, devraient donc être pris en compte par les enseignants et la direction des écoles, ainsi que par nos politiques.

Espaces-Verts et Santé-Publique

Association entre les espaces-verts au sein du lieu de résidence, les Troubles Cardio-Métaboliques et les Maladies Cardiovasculaires chez les adultes en Chine

Les maladies cardiovasculaires demeurent la principale cause de décès et d’invalidité dans le monde, en particulier dans les pays à revenu faible et moyen.

Entre 1990 et 2016, le nombre estimé de personnes ayant des Maladies Cardiovasculaires en Chine, est passé de 40,6 millions à 93,8 millions.

Des interventions et des stratégies de contrôle sont donc nécessaires pour atténuer cette croissance de la prévalence des Maladies Cardiovasculaires.

Et oui,

Les données accumulées indiquent qu’une plus grande quantité d’Espaces-verts au sein du Lieu de Résidence (Espace-Vert Résidentiel) est associée à un ensemble de résultats bénéfiques pour la santé.

Cardiometabolic disorders, including hypertension, type 2 diabetes, overweight or obese status, and dyslipidemia, are documented preclinical factors associated with CVD risk.

Un grand nombre d’études ont examiné ces associations entre l’Espace-vert Résidentiel et la Santé Cardiovasculaire. Mais plus de 50% de celles-ci ont porté sur Les Décès liés aux maladies Cardiovasculaires.

De plus, la plupart des études précédentes ont été menées dans des pays à revenu moyen et élevé, et seulement quelques études ont été réalisées dans des pays à faible revenu.

On ne sait pas, si les résultats de ces études sont généralisables, quelque soit le niveau de revenu du pays.

Car oui,  un certain nombre de facteurs culturels, sociodémographiques et environnementaux diffèrent entre les pays à revenu élevé et les pays à faible niveau revenu.

L’ensemble de ces troubles cardio-métaboliques (hypertension, diabète de type 2, surpoids ou obésité, dyslipidémie), sont des facteurs, associés au risque de Maladies Cardio-Vasculaires.

Des résultats auprès de ces 33 communautés chinoises, ont indiqués que des niveaux d’Espaces-Verts Résidentiels plus élevés, étaient associés à un risque plus faible de troubles cardio-métaboliques.

Toutefois, les personnes atteintes de ces troubles peuvent changer leur mode de vie (ex. faire de l’activité physique ou visiter les parcs-publiques plus fréquemment). dans le cadre d’un plan de traitement.

Nous avons donc voulu,

1) examiner le lien entre les niveaux d’espces-Verts Résidentielle et la prévalence des Maladies Cardiovasculaires , auprès d’ une population d’adultes chinois.

2) déterminer si la présence de troubles cardio-métaboliques a favorisé ou modifié cette association entre les niveaux d’espaces-verts résidentiels et les Maladies Cardio-Vasculaires.

Participants et procédures

La « 33 Communities Chinese Health Study », une vaste étude transversale axée sur la population, a été menée en Chine entre le 1 avril et le 31 décembre 2009. La province est un grand centre industriel fortement urbanisé.

Les taux de prévalence des Maladies Cardio-Vasculaires et des troubles Cardio-Métaboliques sont élevés dans cette région.

Dans cette étude, nous avons constaté que les participants vivant dans des collectivités avec plus d’espaces-verts,

Etaient moins susceptibles de recevoir un diagnostique de Maladie Cardio-Vasculaire. Ce lien entre le Niveau d’Espace-Vert Résidentiel et les Maladies Cardio-Vasculaires était solide.

Des niveaux plus élevés d’espaces-verts au sein des collectivités, étaient associés à une plus faible prévalence de Maladies Cardio-Vasculaires, dans un milieu industriel et fortement urbanisé, en Chine.

Bien que les résultats nécessitent d’être confirmés ils contribuent à établir ces Interventions-Publiques, permettant d’ Atténuer la Prévalence des Maladies Cardiovasculaires en Chine (et dans d’autres pays à revenu faible ou intermédiaire).

Jumeler un Tracker de Mouvement portable à une intervention liée à la Perte de Poids

L’élaboration de programmes communautaires, liés à la Perte de Poids : Une Priorité de Santé-Publique.

Le Guide Communautaire des services de prévention, recommande des interventions multidimensionnelles appuyées par la technologie,

Accompagnées d’un encadrement,

Comme approche conduisant à la perte de poids.

Plus précisément,

Les données probantes recueillies à ce jour, soulignent l’importance de mettre en œuvre des caractéristiques du programme, permettant de favoriser et améliorer l’autosurveillance, la rétroaction des conseillers et la communication des différentes évolutions.

Sans omettre, un soutien social et une rétroaction personnalisée, dans le contexte d’un Programme Structuré, d’Education et d’Information.

« Pèse Toi et Gagne » est un programme communautaire de perte de poids en ligne qui est offert aux résidents du Colorado depuis 2011.

L’objectif est de fournir gratuitement aux résidents du Colorado des programmes évolutifs, accessibles et fondés sur des données probantes.

Les membres de la collectivité s’inscrivent eux-mêmes au programme «Pèse Toi et Gagne », en créant un profil à l’un des kiosques de pesée accessibles au public. Kiosques situés dans l’ensemble du Colorado, ou en se rendant directement à http://www.weighandwin.com.

« Pèse Toi et Gagne » est un programme comportemental à multiples composantes, qui comprend un site Web, une évaluation du poids objectif, des courriels quotidiens et du soutien textuel avec du contenu basé sur les principes de la théorie cognitive sociale, l’accès en ligne et téléphonique aux Encadrants-Santé, et des incitations financières modestes pour une perte de poids réussie.

Le contenu est axé sur l’amélioration de l’alimentation (augmentation de la consommation de fruits et de légumes, de protéines maigres et de glucides complexes, et surveillance de la taille des portions) et de l’activité physique (recommandations graduelles de la marche à l’entraînement combiné en Force et Cardiovasculaire).

Les données probantes appuient l’utilisation d’interventions multi-composantes appuyées par la technologie pour favoriser la perte de poids. De nombreux programmes de ce genre comprennent la possibilité de jumeler de façon synchrone des dispositifs de suivi de l’activité physique disponibles dans le commerce dans le but d’améliorer les résultats de perte de poids.

Cependant, on sait peu de choses sur la portée et l’efficacité de permettre aux participants de jumeler ces Dispositifs de Suivi de l’Activité-Physique, à un Programme en Ligne existant.

Cette étude visait à déterminer :

1) la proportion de participants qui jumellent une ces Dispositifs de Suivi de l’Activité-Physique, à un Programme en Ligne existant.

2) la représentativité de ces participants

3) la relation entre le port d’un Dispositif de Suivi de l’Activité-Physique , la perte de poids globale et la probabilité d’obtenir une perte de poids cliniquement significative

Et,

4) si le jumelage de ce port d’un Dispositifs de Suivi de l’Activité-Physique avec la participation au programme,

Est lié aux résultats de perte de poids indépendamment ou collectivement (lorsque l’on considère d’autres indices de participation au programme).

Les données recueillies au cours d’une période de quatre ans comprenaient ces :Déclarations personnelles, liées aux indices démographiques

-Données sur le Poids Objectif, « Téléversées » lorsque les participants se pesaient à un kiosque libre-service du programme (accessible à la collectivité)

                                    Et,

-Données sur l’Engagement au Programme (ex. ouvertures de session sur le site Web du programme).

Une gamme d’analyses (ex. Proportions descriptives liées à l’Alimentation, Analyses de Trajectoire, liée à l’Evolution du Poids), ont été utilisées pour répondre aux enjeux de l’étude.

Les participants qui ont jumelé un Dispositifs de Suivi de l’Activité-Physique au Programme de Perte de poids en Ligne, étaient plus susceptibles d’être des femmes, afro-américaines et d’avoir un Indice de Masse Corporelle, plus élevé que la moyenne.

Ceux qui ont jumelé un Dispositifs de Suivi de l’Activité-Physique, ont perdu en moyenne un supplément de 1% de poids corporel.

Ces personnes étaient 1,4 fois plus susceptibles de perdre 5% de poids corporel.

 Le jumelage de ce Port de Dispositifs de Suivi de l’Activité-Physique au Programme de Perte de Poids en Ligne,

Etait lié à d’autres indices de participation au programme en ligne et contribuait directement et indirectement aux résultats de perte de poids.

Jumeler le Port de Dispositifs de Suivi de l’Activité-Physique à un programme de perte de poids en ligne,

Fait appel à des groupes de population, qui connaissent des disparités liées à l’obésité

                                        Et,

Prédit des améliorations liées à cette Perte de Poids.

D’autres études sont aujourd’hui nécessaires, pour examiner le rôle des facteurs psychosociaux et environnementaux personnels,

 Pouvant Améliorer ou Diminuer l’Avantage, lié au Port de Dispositifs de Suivi de l’Activité-Physique, jumelé à un programme de perte de poids en ligne.

(P.S : Certainement anodin,

Mais,

Mon texte, vient étrangement de ne pouvoir être Publié sur Face-Book, m’obligeant à m’y reprendre à 2 fois.)

Julien Gloanec

Activité-Physique durant le COVID-19

Quelles sont les Problèmes liés à cette Période d’Isolation, nécessité pour Freiner cette épidémie de COVID-19 ?

Adultes en Bonne Santé :

Fermeture des Salles de sport, Piscines, Clubs + Interdiction d’Activité-Physique en Extérieur, dans certains Pays

Athlètes :

Pas de Compétitions, Pas d’entraînements en Groupe, pas d’Activité-physique en Extérieur, dans certains pays. Pas de Tests Anti-Dopage

Personnes Âgées :

Préférer Rester à Domicile, de manière à Eviter l’infection et une évolution défavorable de la pathologie.


Quelles sont les Recommandations, concernant notre participation à l’Activité-Physique ?

Adultes en Bonne Santé :

Activité-Physique (Type Endurance ou Renforcement-Musculaire) à Domicile, pour le Soutien de notre Etat de forme Physique et de notre Santé et de notre Système Immunitaire. Possible adoption de « Cours d’Activité-Physique En Ligne »

Athlètes :
Continuer de s’Entraîner mais éviter les périodes d’entraînement trop intenses, afin d’éviter un affaiblissement du Système immunitaire.


Personnes Âgées :
Un Mélange d’Exercices de Musculation et d’équilibre.
Ajout d’une possible élément d’ attache sociale, de manière à améliorer ce degré de participation et réduire le risque de dépression.
Support possible d’Internet, des médias ou d’Appels Téléphoniques

Conclusion et messages à retenir

Le COVID-19 est une maladie causée par le coronavirus SRAS-CoV-2.

La pandémie mondiale de COVID-19 de 2020 a été accélérée par les événements sportifs et touche tous les aspects de la vie. y compris le travail, les déplacements ainsi que les sports et notre participation à l’activité-physique.

Alors que la distanciation sociale et l’hygiène sont essentielles pour éviter les infections,

Une Faible Participation à l’Activité-Physique et un sommeil suffisant, peuvent réduire davantage le risque d’infection au SRAS-CoV-2 ou la durée et la gravité des symptômes.

D’autre part, l’exercice épuisant doit être évité.

Des mesures telles que l’isolement, ont été utilisées pour réduire les taux d’infection avec succès.

Mais ces mesures contribuent à décourager la population , à l’égard de cette participation à l’activité-physique. Surtout dans les pays où cette activité-physique en extérieur est interdite.

L’activité-physique à domicile, peut permettre de soutenir la condition physique du citoyen et réduire l’ensemble de ces effets délétères, liés à une sédentarité excessive.

Jusqu’à ce que l’ « immunité collective », ou la « vaccination de masse » nr soient obtenues,

Les professionnels encadrant cette participation à l’activité-physique et les organisateurs de rassemblements sportifs de masse,

Doivent évaluer les risques liés à leur fonctionnement et utiliser des mesures d’hygiène spéciales (distanciation sociale, port du masque et d’autres mesures) pour réduire le risque épidémique.

La durée de l’immunité après une infection au SRAS-CoV-2 et la saisonnalité des infections au SARSCoV-2,

 Détermineront la fréquence et les forces des futures croissances, liés à cette incidence épidémique.