Activité-Physique et Santé Psychologique des Personnes Agées

Le processus de Vieillissement est étroitement lié aux Changements Physiologiques.

Ces changements physiologiques peuvent entraîner une vulnérabilité accrue aux troubles liés au Corps et à la Psychologie.

Une Moindre participation à l’ Activité-Physique/un Comportement Sédentaire,  peuvent amplifier ce processus de vulnérabilité.

En revanche,

Une participation régulière à l’Activité-Physique, contrecarre ce processus. En particulier, chez les personnes âgées. Celles-ci, peuvent ainsi bénéficier du Rajeunissement, ou du Soutien d’un Age Biologique plus Jeune.

La Condition Physique, est associée à une Meilleure Santé Psychologique des Personnes Agées.

L’Activité-Physique au cours de la vie, revêt d’une valeur Préventive, liée au développement de la Dépression et de la Démence, chez les Personnes Agées.

La Dépression et les Troubles Cognitifs liés au Vieillissement, peuvent également être évités, par une participation régulière et continue, à l’Activité-Physique.

Certaines données suggèrent en outre, que même les patients atteints de démence, bénéficient de cette participation à l’Activité-Physique. En particulier, concernant les Symptômes Comportementaux et Psychiques, liés à  la Démence

Activité-Physique, Condition Physique, Fonction Cognitive et Rendement Scolaire, chez les Enfants


La relation entre l’Activité-Physique, la Condition Physique, la Fonction Cognitive et la Réussite Scolaire chez les Enfants, bénéficie désormais, d’ une attention considérable.


L’utilité de l’Activité-Physique pour Améliorer la Cognition et la Réussite Scolaire, est prometteuse. Cette publication, apporte des éclaircissements, prenant appui sur les données scientifiques, disponibles.

Nous voulions répondre aux questions suivantes :

1) Chez les Enfants de 5 à 13 ans, l’Activité-Physique et la Condition Physique, influencent elles la Cognition, l’Apprentissage, la Structure et le Fonctionnement du Cerveau?

2) Chez les enfants âgés de 5 à 13 ans, l’Activité-Physique, l’Education Physique et les Programmes Sportifs, influencent-ils le Rendement Scolaire et la Concentration/l’ Attention ?


Deux recherches distinctes ont été effectuées, pour déterminer les études axées sur,

  1. la Cognition, l’Apprentissage, la Structure du Cerveau et la Fonction Cérébrale Et,
  2. le Rendement Scolaire

La majorité des recherches, démontrent que la Condition Physique et les périodes de participation à l’Activité-Physique, Profitent au Fonctionnement Cognitif des Enfants.
Les données indiquent, que l’Activité-Physique, bénéficie d’ un lien avec les Zones du Cerveau, soutenant les Processus Cognitifs Complexes.

Donc,
Des données probantes indiquent qu’il existe des Associations Positives entre l’Activité-Physique la Condition Physique, la Cognition et la Réussite Scolaire.

Cependant, les résultats et les effets de nombreux éléments de cette participation à l’Activité-Physique, sur la Cognition, restent à explorer (ex. le Type, la Quantité, Fréquence et le Moment, favorisant ces effets).


De nombreuses questions demeurent, quant à la meilleure façon d’intégrer l’Activité-Physique dans les écoles :

  • Pauses d’Activité-Physique ou Leçons communes d’Activité-Physique

Concernant cette Amélioration des Résultats Scolaires.

Quoi qu’il en soit, les travaux de recherche, ne suggèrent aucunement, que la Croissance de cette participation à l’Activité-Physique, affecte négativement la Cognition ou la Réussite Scolaire.                                                                                                                                           

De plus, l’Activité-Physique est importante, pour la Croissance, le Développement et la Santé Générale de l’Enfant.


En se fondant sur les données probantes disponibles,

Les auteurs ont conclu, que l’Activité-Physique, a une Influence Positive sur la Cognition ainsi que sur la Structure et la Fonction du Cerveau.

Effets de l’Activité-Physique,  sur l’Etat Osseux, des Jeunes Filles aux Femmes Ménopausées

L’ostéoporose et la perte osseuse après la ménopause, représentent un énorme fardeau social et économique dans le monde entier.
Une participation régulière à l’Activité-Physique, est efficace pour assurer la croissance ou le maintien de la masse osseuse. Ainsi que pour Prévenir la Perte Osseuse chez les Personnes Agées.

Cependant, la plupart des recommandations s’adressent au grand public. Avec un manque de recommandations spécifiques, adressées aux Filles et Femmes (partie de la population, le plus à risque de développer l’ostéoporose).

Donc,
L’objectif était de résumer les preuves actuelles, concernant ces effets de l’ Activité-Physique, sur l’Etat Osseux des Filles et Femmes. Déterminer, s’il existe des programmes spécifiques d’ Activité-Physique, pour Améliorer ou Soutenir la Masse ou la Force Osseuse, chez les Femmes.

Les bases de données, furent examinées, entre janvier 2009 et  juin 2015.
Notre analyse finale comprenait 12 Travaux de Recherche publiés.

Donc,


Les protocoles d’Entraînement de Type Résistance, constituent le Meilleur Choix, pour Préserver/Améliorer la Densité Minérale Osseuse, chez les Femmes Pré- et Postménopausées.


La Masse Osseuse Maximale, chez les Jeunes Filles, peut être améliorée grâce à de courts Exercices de Pliométrie ( Contractions Excentriques et Concentriques qui s’enchainent l’une après l’autre. Typiquement : Actions de type Sprint, Changement brusques de Direction, Saut sans élan, etc.).
(Même si c’est à la mode, les exercices effectués sur « Plateau Vibrant », n’ont aucun effet bénéfique sur les os de femmes ménopausées ou âgées).

Oui,

Une Participation Régulière à l’ Activité-Physique, est un moyen Efficace, pour Soutenir cette  Santé Osseuse des Filles et Femmes.

Interventions pour Prévenir l’Obésité chez les Enfants

La prévention de l’obésité infantile est une priorité de santé publique internationale, compte tenu de l’impact important de l’obésité sur les maladies Momentanées et Chroniques, la Santé Générale, le Développement et le Bien-Etre.

Les données probantes internationales (153 Travaux de Recherche, analysés) sur les stratégies de prévention de l’obésité sont très vastes et s’accumulent rapidement. Il s’agit ici, d’un examen actualisé.

Les Interventions qui comprennent un Régime Alimentaire combiné à de l’Activité-Physique peuvent Réduire le Risque d’Obésité chez les Jeunes Enfants âgés de 0 à 5 ans.

Il existe des preuves plus faibles (provenant d’une seule étude) que les interventions isolée sur l’Alimentation, peuvent être bénéfiques. Il en est de même, pour les interventions axées uniquement sur l’Activité-Physique, qui ne semblent pas efficaces chez les enfants de cette tranche d’âges.

En revanche,

Les interventions qui se concentrent Uniquement sur l’Activité-Physique peuvent Réduire le Risque d’Obésité chez les Enfants âgés de 6 à 12 ans et les Adolescents âgés de 13 à 18 ans.

Dans ces groupes d’âge, il n’existe également Aucune Preuve, démontrant que les Interventions qui se concentrent Uniquement sur l’Alimentation, sont Efficaces.

Certaines preuves, démontrent par contre également, que des interventions sur l’Alimentation combinée à des interventions d’Activité-Physique peuvent être Efficace.

Fait important,

Cet examen mis à jour suggère également que les interventions visant à Prévenir l’Obésité Infantile, ne semblent Pas entraîner d’Effets Indésirables.

Impact de l’Activité-Physique, sur la Qualité de Vie à Long Terme, chez les Personnes Agées, tributaires d’un Risque Elevé de Handicap

Les personnes âgées constituent un segment de la population, en croissance rapide.

Mobilité

De nombreuses problématiques, qui mènent à un handicap, peuvent être traités par une Participation à l’ Activité-Physique.

Les résultats bénéfiques, liés  à la Qualité de Vie, proviennent de grands essais, permettant cette Participation à l’ Activité-Physique, de populations de personnes âgées Sédentaires, à risque de mobilité réduite.

Ici, les données proviennent de l’étude « Lifestyle Interventions and Independence for Elders ».

Etude, qui a permis de  comparé, l’Activité-Physique et l’Education relative à l’état de Santé.

L’intervention, fut menée auprès de 1635 personnes âgées sédentaires, à risque de mobilité réduite (entre 2010 et 2011).

                                                            Les mesures comprennent,

Des indices liés à la Démographie, la Comorbidité, une Marche Chronométrée de 400 mètres, une Courte Batterie de Test, permettant d’évaluer le Niveau de Performance Physique, et l’Echelle de la Qualité de Vie, liée au Bien-être (échelle de 0 à 1,0).

Un suivi fut entrepris, durant 2,6 ans.

Les analyses ont été utilisées, pour prendre en compte les variables d’influence, liée à la Qualité de Vie, liée à la Santé au fil du temps (variables analysées, jusqu’en 2017).

Résultats,

Ce groupe de personnes âgées, à bénéficié d’une bien plus faible réduction de leur Qualité de Vie, lorsque fut maintenue, un niveau suffisant de Participation à l’Activité-Physique.

Cette Participation à l’Activité-Physique, fut associé à une Meilleure Qualité de Vie liée à leur Santé.

Les temps de Marche rapide sur 400 mètres, étaient également associés à une Meilleure Qualité de Vie liée à la Santé, au fil du temps.

Conclusions :

Une Moindre Mobilité (mesurée par ce test du Niveau de Performance Physique), est associée à un Affaiblissement de la Qualité de Vie, chez les personnes âgées sédentaires.

Les interventions permettant de Participer à l’Activité-Physique, peuvent Ralentir le Déclin de cette Qualité de Vie de la Personne Agée.

Handicapé…Et bien toi aussi, “Bouge” pour ta Santé”

Obstacles et Facilitateurs à la Participation à l’Activité-Physique, pour les Enfants ayant un Handicap Physique : Comparer et contraster les Points de Vue des Enfants et de leurs Thérapeutes


La recherche existante, a exploré les obstacles et les facilitateurs, liés à cette participation à l’Acti*vité-Physique, pour les Enfants Handicapés. Observations menées, sur le point de vue des enfants et de leur famille.

Cependant, peu de recherches ont examiné les points de vue des Thérapeutes, facilitant cet accès, aux programmes d’Activité-Physique. Points de vue, qui ont été comparés aux points de vue des enfants soignés et de leurs familles.


Des Entretiens ont été menés, auprès de professionnels de Santé, attachés au Développement d’un Programme, qui favorise l’accès aux Activités de Loisir  et Sportives.

Ces Entretiens,  ont porté sur les Facilitateurs et Obstacles à l’Activité-Physique, rencontrés par ces enfants soignés.

Des questions ouvertes sur les obstacles et les facilitateurs de cette Participation à l’Activité-Physique, ont également été posées, à 28 jeunes handicapés (âgés de 10 à 17 ans), qui participaient au programme.3

Donc,

 Pour les Thérapeutes, le facilitateur de 1er ordre, concernant cette Participation à l’Activité-Physique,  était :

–  “la Planification de Programmes pour Promouvoir le Succès et l’Inclusion.”

Les Enfants, relatèrent 2 principaux Facilitateurs :

  •  “les bonnes personnes, qui rendent l’Activité-Physique amusante!”

Et, comme pour les Thérapeutes :

  • « des Occasions Appropriées et Inclusives, qui permettent  d’être actif ».

Les obstacles les plus évidents, identifiés par les cliniciens, étaient :

  • ” Les limites pratiques”
  •  “les contraintes de temps et de priorités”

Et,

  •   “quel choix?…manque d’opportunités accessibles et inclusives”

Donc oui,

Les Thérapeutes devraient, déterminer l’Engagement des Parents et des Enfants envers une Activité-Physique, avant l’inscription.

Le Manque d’Engagement, peut constituer un Obstacle à l’Activité-Physique.

Une intervention appropriée, pourrait mettre l’accent sur une Meilleure Sensibilisation,  aux Avantages d’Etre Actif, en s’appuyant sur les étapes du changement.

Avant toute recommandation de Participation à l’Activité-Physique,

 Les professionnels qui cherchent à accroître cette Participation à l’Activité-Physique, chez les jeunes ayant un handicap physique,

Devraient discuter de leur Etat et de leur Motivation

Différents processus liés au Changement de Comportement, sont nécessaires pour les jeunes et leurs parents.

Un Suivi Régulier est important, pour identifier les Obstacles Physiques et Psychologiques, liés  à cette Participation à l’Activité-Physique. Même pour ceux, qui eurent déjà participé à l’Activité-Physique.

Ces enfants, adolescents peuvent être plus Actifs sur le plan Physique, à mesure qu’ils gagnent en Autonomie. Ils devraient alors, être Sensibiliser aux Avantages de l’Activité-Physique.

Plyométrie (Force et Explosivité musculaire) et Santé osseuse, chez les Enfants et les Adolescents : un état des lieux

De nombreux Entraînements dédiés au Saut, ont pris place chez les Enfants et les Adolescents.

Pourquoi ?

Afin d’améliorer différentes variables, liées à leurs os.

Situation , permettant d’optimiser les chances d’ un bon développement osseux, pendant l”enfance et au cours du vieillissement.

Cet examen des travaux de recherche, vise à résumer et mettre à jour les connaissances actuelles.

Connaissances, concernant les effets d’interventions sur le Saut, à l’ égard de ces :

– Masse Osseuse

– Structure et Métabolisme Osseux

Pourquoi ?

Pour déterminer l’efficacité et la durée des effets, liés à ces interventions.

Donc,

Après avoir consulté de nombreuses bases de données bibliographiques (Travaux de Recherche) et contacté des Experts du secteur Clinique (recherches, menées jusqu’en octobre 2014),

Les travaux de recherche retenus, comprenaient,

– Une intervention sur le Saut, auprès d’Enfants de moins de 18 ans

– Une Mesure de la Masse Osseuse

Au total,

26 études ont été incluses dans cette analyse

24 études ont trouvé des résultats positifs :

* Meilleure Densité Minérale Osseuse

* Meilleure Teneur Minérale Osseuse

* Meilleure Structure Osseuse

De plus, les études qui ont évalué la durabilité des effets, ont révélé que certaines de ces améliorations observées, furent maintenues après plusieurs années.

Donc oui,

Pendant l’Enfance et l’Adolescence, les interventions attachées à l’exécution du Saut,

Améliorent le Contenu Minéral Osseux, la Densité et les Propriétés Structurelles de l’Os, sans effets secondaires.

Lorsque cela est possible,Ce type d’interventions devrait être mis en place, afin d’Accroitre la Masse Osseuse, aux premiers stades de la vie.

Ceci pourrait avoir un effet préventif, à l’ égard de “Maladies Osseuses”, tel que l’Ostéoporose, accompagnant le Vieillissement.

Activité-Physique et Santé Psychologique/Cognitive, chez les Enfants et les Adolescents : Un examen des travaux de Recherche

(Travail d’Illustration : Cyril Thiolier. “Merci!”)

Nous voulions synthétiser, l’ensemble de ces résultats de recherche, portant sur l’Activité-Physique et la Dépression, l’Anxiété, l’Estime de Soi et le Fonctionnement Cognitif. Observations faites, chez les Enfants et les Adolescents.

Nous voulions également, observer et  évaluer cette association, entre le Comportement Sédentaire et la Santé Psychologique et Cognitive.

Ces Analyses, ont eu lieu en 2010.

Un grand nombre des travaux de recherche évalués,  attestèrent de ces effets Bénéfiques de l’Activité-Physique,  concernant la Dépression, l’Anxiété, l’Estime de Soi et le Fonctionnement Cognitif.

9 études, ont évalué les associations entre le Comportement Sédentaire et la Santé Santé Psychologique et Cognitive.

L’ Activité-Physique, a des effets potentiellement bénéfiques, pour Atténuer la Dépression (mais les données probantes, sont encore restreintes).

Les plans d’intervention sont de faible qualité, et de nombreux examens comprennent des études transversales.

Il a été démontré que la participation à l’Activité-Physique, bénéficie d’un léger effet bénéfique, pour réduire les symptômes d’ Anxiété.

La participation à l’ Activité-Physique, peut Améliorer le niveau d’Estime de Soi, du moins à court terme. Mais il y a peu de recherches de bonne qualité.

Les examens concernant ces effets de l’Activité-Physique sur le Fonctionnement Cognitif, démontrent que l’ Activité-Physique de routine, peut être associée à une Amélioration des Performances Cognitives et des Résultats Scolaires.

Plus encore,

Les travaux de recherche, ont démontré des Associations Négatives Constantes, entre la Santé Psychologique/Cognitive  et le Comportement Sédentaire.

L’Association entre l’Activité-Physique et la Santé Psychologique/Cognitive, chez les Jeunes est E6vidente.

Les données démontrent également, des Associations Constantes entre la Sédentarité et ces Mauvais Etat de Santé Psychologique et Faible niveau de Performance Cognitive.

Activité physique en classe et Performance en Mathématique : Intégrer l’Activité-Physique, ou non?

(Travail d’Illustration : Cyril Thiolier. “Merci beaucoup Cyril”)

Cette intervention de 8 semaines a examiné l’effet de 2 Types d’ Activité-Physique, en classe. Effets, sur le rendement des élèves en mathématiques, chez des enfants d’école primaire.

Donc,
Des élèves de CM1 et CM2 ( 560 élèves de 9 à 11 ans, au sein de 32 classes_6 écoles), ont été affectés à l’ “Activité-Physique intégrée” (Bouger pour la Réflexion: 221 élèves), à la Pause d’Activité ( 134 élèves) et à un Groupe Témoin (205_Aucun changement, lié à leur Enseignement Habituel) pendant 8 Semaines.
Les élèves ont passé un Test de Mathématiques standard, avant et après l’intervention.


Un journal quotidien de l’enseignant, permettait enregistrer la Durée et la Fréquence des séances d’Activité-Physique.
Des modèles d”analyse ont été utilisés.
L”influence du Niveau Scolaire et du Sexe, ont été observés.

Au regard de cette évaluation en mathématiques, le groupe Bouger pour la Réflexion a surpassé les 2 autres groupes.
Cependant, les analyses ont montré, que ces effets n’étaient évidents que les élèves de CM2. Pour ces élèves, l’Activité-Physiques en classe était utilisée environ tous les 2 jours.

Donc oui,
Cette étude a indiqué que l’intégration de l’Activité-Physique à l’enseignement des Mathématiques, bénéfice d’ un important effet positif (comparé à l’enseignement traditionnel ou aux pauses d’activité).

Prise en charge, grâce à l’Activité-Physique, du Trouble de Déficit de l’Attention/Hyperactivité, chez l’Enfant et l’Adolescent

Le Trouble de Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité, est l’un des Troubles Neuropsychologiques les plus courants, affectant 8 à 10 % des enfants dans le monde.


La recherche croissante sur le sujet, suggère que la majorité des enfants avec ce TDAH, continueront à avoir des symptômes persistants jusqu’à l’âge adulte.


La prise en charge du TDAH, repose principalement sur des interventions pharmacologiques et comportementales/psychologiques.
Peu d’attention est accordée à l’ Activité-Physique, comme stratégie de gestion potentielle.


Une analyse systématique des travaux, examinant à la fois les effets à court et à long terme de l’ Activité-Physique, sur les enfants atteints de TDAH,
Est Opportune et Nécessaire, pour orienter les recherches dans ce domaine.

Donc,
Une analyse des travaux de recherche recherche, fut menée grâce au recueil de 613 articles publiés, entre le 1er janvier 1980 et le 1er juillet 2016.

30 études, ont été incluses aux analyses finales.


Les études, menée sur le Court et le Long Terme, appuient les Avantages Cliniques de l’Activité-Physique, pour les personnes atteintes de Troubles de l’Attention, avec ou sans Hyperactivité.


Les Symptômes Cognitifs, Comportementaux et Physiques du TDAH, ont été atténués dans la plupart des cas.
Les effets de ces interventions, ont été observés pour différents programmes d’Activité-Physique.


Aucun effet indésirable découlant de cette participation à l’Activité-Physique, n’a été signalé.
Ce constat, suggère que cette participation à l’ Activité-Physique, est une intervention bien tolérée.

Oui,
L’ Activité-Physique (En particulier, l’Activité-Physique de Type Aérobie, d’intensité Faible à Elevée), est une Intervention Bénéfique et Bien Tolérée, pour les Enfants et les Adolescents atteints de TDAH.


Et oui,
Les recherches futures devraient s’attacher à étudier les différentes caractéristiques de la Prescription d’Activité-Physique, idéale.