Contrôle glycémique du diabète de type 1 pendant le Confinement liée à la COVID-19 : Rôle de l’Activité- Physique à Domicile

Afin de limiter la propagation du COVID-19, les gouvernements ont ordonné une série de restrictions qui pourraient avoir une incidence sur le contrôle glycémique, chez les personnes atteintes de diabète de type 1 .

L’Activité-Physique n’était pas autorisée à l’extérieur du foyer.
Nous avons évalué rétrospectivement, le contrôle glycémique des personnes atteintes de Diabète de Type 1.


1) Contrôles, effectués au cours de la période précédant cette émergence du COVID, en Italie (du 10 au 23 février 2020).


2) Ces contrôles furent effectués à nouveau, lors du Confinement partiel (du 24 février au 8 mars 2020).
Puis,
3) Pendant le confinement complet (du 9 au 22 mars 2020).

Des renseignements sur cette Participation à l’ Activité-Physique (au moins 3 heures par semaine) avant et pendant la période de confinement, ont été recueillis.


Résultats : L’étude a porté sur 13 personnes ayant un âge médian de 14,2 ans et un bon contrôle glycémique au départ.
Tous les sujets ont continué de présenter un bon contrôle glycémique tout au long de la période d’étude.

Ce Con trôle Glycémique s’est encore amélioré, chez ceux qui ont continué à Participer à l’Activité-Physique, pendant la Confinement.

Donc oui,
Le maintien d’une Participation Régulière à l’ Activité-Physique à Domicile, est une stratégie essentielle pour les jeunes Diabétiques de Type 1, pendant cette situation liée au COVID-19.

“Participez à de l’Activité-Physique pour votre santé, en cette période de pandémie!” / “Yes, Exercise for your Health, during this Pandemic Time !”

” Étude exploratoire interculturelle sur les comportements liés à la santé et au bien-être, pendant la pandémie de COVID-19 “

Les pandémies sont considérées comme des propagations de maladies infectieuses, à grande échelle.
Elles augmentent considérablement le Risque de Maladies et le nombre de Décès, dans une vaste zone géographique. Elles contribuent alors, à des perturbations économiques, sociales et politiques importantes (Madhav et coll., 2017).
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS, 2020) a déclaré que le COVID-19 est une pandémie mondiale.

Afin de réduire au minimum la propagation du virus, de nombreux pays ont mis en place des mesures de confinement, obligeant :

  • les populations à « rester à la maison »
  • la fermeture d’écoles, d’entreprises et de lieux de rassemblement
  • des restrictions de nos déplacements
    Au cours de cette période, les gens ont été autorisés à quitter leur maison, uniquement pour:
  • acheter des articles essentiels (ex. nourriture, médicaments)
  • suivre un traitement
  • aller travailler (lorsque l’emploi le permet)
    Ou,
  • aider et prendre soin de personnes à charge
    Compte tenu de la gravité de la pandémie, de l’ampleur et de la durée des mesures de confinement, un appel a été lancé pour examiner les changements potentiels des comportements en matière de santé, pendant la pandémie de COVID-19.
    Ainsi que les résultats en matière de santé psychologique.

Cette étude portait sur le sommeil, l’alimentation et l’activité physique pendant la pandémie de COVID-19, ainsi que sur le bien-être physique et psychologique.
Cette étude visait à examiner les comportements de santé et le bien-être à l’échelle nationale, Pour pouvoir explorer les tendances émergentes, à l’égard de ces mesure de Confinement, au sein de différents pays.

Nous nous sommes concentrés sur l’examen des changements, liés à l’activité physique, l’alimentation, au sommeil, à la santé et au bien-être.

Nous nous attendons à ce que les participants subissant des mesures de Confinement strictes pendant la pandémie de COVID-19, pâtissent d’une Dégradation de leur Santé Physique et Psychologique.
Conformément au vaste ensemble de travaux sur les bienfaits de l’activité physique? nous nous attendions à cette Participation à l’Activité-Physique, soit associée à des conséquences moins néfastes de la pandémie, sur notre santé.

Les personnes qui connaissent les restrictions les plus strictes liées au Confinement, pâtissent des changements les plus préjudiciables, concernant ces Habitudes de vie, liés à la Santé.
Comme le COVID-19 est source de plus de décès chez les personnes âgées (Nations Unies, 2020), notre deuxième objectif était d’examiner les différences de Comportements de Santé, ciblés par groupes d’âge.

Donc,
Un sondage en ligne a été préparé, et a permis de recueillir des renseignements auprès d’un échantillon international de personnes, pendant cette pandémie de COVID-19.


Participants :

Un échantillon initial de 1458 participants a participé à l’étude, et 1200 ont remis des questionnaires remplis et valides.


Les participants résidaient au Royaume-Uni et en Irlande (n = 230), en Corée du Sud (n = 204), en Finlande (n = 171), aux Philippines (n = 132), en Amérique latine (n = 124), en Espagne (n = 112), en Amérique du Nord (n = 87) et en Italie (n = 80).
La sélection des pays, devait permettre de cibler la diversité culturelle et leur statut en termes de réponse à la pandémie.


L’âge des participants variait de 18 à 76 ans.
Plus de la moitié des participants étaient des femmes (65 %), des célibataires (53 %) et vivaient avec leur famille (59 %).

La plupart des participants ont déclaré vivre dans une maison individuelle ou une maison familiale avec jardin ou une cour (37 %), tandis que 18 % des participants ont déclaré vivre dans des appartements sans balcon, terrasse ou jardin privé.


Mesures :
Le sondage a évalué la santé physique et mentale des participants, ainsi que les changements liés au Sommeil, l’Alimentation, l’Activité-Physique et le Bien-Etre pendant la pandémie de COVID-19.


Conclusion :
Les personnes ayant connu la plus Forte Diminution de leur Participation à l’Activité-Physique, Ont déclaré une Santé Physique et Psychologique, Significativement Plus Faible.
Tandis que les personnes ayant réussi à Accroître leur Participation à l’Activité-Physique, Ont également signalé une Amélioration Significative de leur Sommeil, ainsi qu’une Prise de Poids plus Faible.

Les participants du Royaume-Uni ont déclaré les plus Faibles niveaux de Santé Physique et la plus Forte Croissance de leur Poids, Tandis que les participants d’Amérique latine, ont déclaré être les plus touchés par les Problèmes Psychologiques.


Les participants Finlandais ont fait état de Notes Nettement Meilleures, concernant leur Santé Physique.
Cette Participation à l’Activité-Physique, permettait d’Assurer le Bien-Etre de la population.


A titre d’exemples,


Les Participants de la catégorie la plus Agée, Ont déclaré être Considérablement Moins touchés par des Problèmes Personnels et Psychologiques, lorsqu’ils Participaient à certaines Activités-Physiques.

Chez les plus jeunes participants, ceux qui ont déclaré Participer à de l’ Activité-Physique ont aussi déclaré, un Bien Meilleur niveau de Sommeil.

Les Résultats Appuient la Politique, préconisant cette Participation à l’Activité-Physique, Comme moyen de Générer et de Maintenir des Ressources Combatives contre le Stress et de Protéger notre Santé.

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” A Cross-Cultural Exploratory Study of Health Behaviors and Wellbeing During COVID-19 “


Pandemics are identified as large-scale outbreaks of infectious diseases.
They significantly increase morbidity and mortality over an extensive geographic area and contribute to substantial economic, social, and political disruption (Madhav et al., 2017).
The World Health Organization (World Health Organization, 2020) declared COVID-19 a global pandemic the likes of which have not been experienced in modern times (Kickbusch et al., 2020).

In order to minimize the spread of the virus, many countries introduced confinement/lockdown measures including “stay at home” orders, closure of schools, businesses and places of congregation, and travel restrictions. During this time, people were allowed to leave their homes only to purchase essential items (e.g., food, medicines), seek essential treatment, go to work (only for jobs considered essential), or to assist and care for dependents.


Given the severity of the pandemic and scale and duration of containment measures, there has been a call to examine potential changes in health behaviors during the COVID-19 pandemic along with mental health outcomes.

It is of importance to examine both, as health behaviors are strongly associated with mental health (Mammen and Faulkner, 2013; Parletta et al., 2016).
This study examined sleep, eating, and physical activity outcomes during the COVID-19 pandemic along with physical and mental well-being.


The present study aimed to examine health behaviors and well-being nationally, with a view to exploring the emerging trends between a selection of countries with different confinement measures.
We focused on examining potential changes in physical activity as well as eating, sleep, health, and well-being.

We expect that participants experiencing strict containment measures during the COVID- 19 pandemic will experience a loss of resources, which will be associated with reduced physical and emotional health.


Our first aim was to examine potential differences in individuals’ perceived health behaviors during the COVID-19 pandemic (i.e., eating and sleep) and well-being across countries and changes in physical activity.


In line with the extensive body of work on the benefits of physical activity (Mammen and Faulkner, 2013; Pedersen and Saltin, 2015; Hojman, 2017; Powell et al., 2018), we expected exercise to be associated with less detrimental consequences of the pandemic on health behaviors.

Due to the variability in the containment measures put into place to slow the spread of the virus in different countries or regions, significant differences in the study variables were expected,
With individuals experiencing most strict restrictions perceiving most detrimental changes in health behaviors.


Because COVID-19 is considered most deadly among older people (United Nations, 2020), our second aim was to examine differences in the targeted health behaviors by age groups.
So,
A web-based survey was prepared, which allowed gathering information from an international sample of individuals during the COVID-19 pandemic period.

Participants :

An initial sample of 1,458 participants took part in the study, from which 1,200 were valid completed surveys.


Participants resided in United Kingdom and Ireland (n = 230), South Korea (n = 204), Finland (n = 171), Philippines (n = 132), Latin America (n = 124), Spain (n = 112), North America (n = 87), and Italy (n = 80).


Selection of countries1 targeted cultural diversity and their status in terms of response to the pandemic.

Participants’ age ranged from 18 to 76.
More than half of the participants were female (65%), single, (53%), and living with 2 or more household members ( 59%).

Most participants reported living in a detached house or family house with a garden or yard space (37%), while 18% of participants reported living in apartments without a balcony, terrace or private garden.

Measures :
The survey assessed participants’ physical and mental health, as well as changes in sleep, eating, exercising, and well-being during the COVID-19 pandemic.


Resumed-Conclusion :

Follow up analyses indicated that individuals with highest decrease in physical activity reported significantly lower physical and mental health, while those with highest increase in physical activity reported significantly higher increase in sleep and lower weight gain.

United Kingdom participants reported lowest levels of physical health and highest increase in weight while Latin American participants reported being most affected by emotional problems.


Finnish participants reported significantly higher ratings for physical health.
The physical activity by country interaction was significant for well-being.


Participants in the oldest category reported being significantly least affected by personal and emotional problems, while there were participating to some Physical-Activity. For youngest participants, these reporting some Physical-Activity, also reported significantly more sleep.

Findings endorse the policy of advocating physical activity as a means of generating and maintaining resources combative of stress and protective of health.

“Of course !”

L’activité physique est-elle associée à la santé mentale des dolescents chinois, durant l’isolement lié à la pandémie de COVID-19?/Is Physical Activity Associated with Mental Health among Chinese dolescents during Isolation in COVID-19 Pandemic ?

La situation liée au COVID-19, constitues une urgence de santé publique d’envergure internationale. Elle a fait son apparition à Wuhan, en Chine, en 2019.


Au 14 juin 2014, la maladie qui s’est propagée dans le monde entier, avait infectée 796517 patients dans le monde (84730 en Chine).
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déclaré que la COVID-19 était une pandémie et que la maladie constituait une menace pour la santé physique et mentale, à l’échelle mondiale.


Pendant ces situations d’urgence, les problèmes psychologiques et les préoccupations sociales, sont les plus importants. La population sont est plus susceptible, d’être sujets à un ensemble d’émotions délétères, comme l’Inquiétude, la Panique et la Confusion.

Les problèmes de santé mentale sont difficiles à régler en cas de pandémie, et peuvent avoir des conséquences dévastatrices s’ils ne sont pas traités. De longues périodes d’isolement, d’anxiété et de troubles psychologiques, augmentent le risque de maladie mentale.
Avec cette situation liée au COVID-19, des études ont révélé qu’il y avait une prévalence élevée de problèmes de santé mentale : Stress émotionnel, Anxiété, Dépression et d’autres symptômes.


Depuis l’apparition du COVID-19, les fermetures d’écoles à l’échelle nationale ont été l’une des interventions stratégiques les plus importantes, adoptées par le gouvernement chinois. En raison d’une longue période d’isolation à la maison et de retards répétés liés à cette reprise de l’école, Divers effets délétères, ont impactés les routines de la vie quotidienne, ainsi que la santé physique et mentale des adolescents.

Les élèves de l’école secondaire, subissaient de fortes pressions et pâtirent d’un risque élevé de dépression, accompagnés d’autres problèmes psychologiques.


Avec cette réduction des déplacements quotidiens et l’énorme pression d’apprentissage scolaire, au sein d’un environnement isolé, Il est des plus nécessaire, d’observer et considérer ces Niveaux d’Activité-Physique et Etat Emotionnel des adolescents.

Considérations, pouvant leur permettre de bénéficier d’un Climat de Croissance Sain et d’ Etudier avec Efficacité.


À l’heure actuelle, la prévalence mondiale de l’inactivité physique chez les enfants, est préoccupante.


Un grand nombre d’études suggèrent que les jeunes se doivent d’accumuler un minimum de 60 minutes d’activité physique (d’intensité faible à élevée) par jour, tout en Limitant le Temps de Sédentarité, à Moins de 120 min par jour.

Toutefois, dans une enquête portant sur 105 pays, 80,3 % des jeunes de 13 à 15 ans font moins de 60 minutes d’activité physique par jour. Dans le contexte de la pandémie de COVID-19, l’Activité-Physique quotidienne liée au transport et aux loisirs étaient très limitée.

L’apprentissage scolaire en ligne, était la principale méthode d’étude pour les adolescents pendant la pandémie de COVID-19. Cela a inévitablement entraîné une baisse des niveaux d’activité physique et une croissance du temps, passé devant les écrans.
Un niveau d’activité physique insuffisant chez les adolescents, était associé à :

  • une Croissance du niveau d’Anxiété
  • une Diminution de l’Efficacité d’Apprentissage
  • un Risque Accru de Dépression

Une participation régulière à l’activité physique, peut réduire ces niveau d’Anxiété et de Stress, chez les élèves et améliorer leur niveau d’Apprentissage-Scolaire.

L’Activité-Physique a un effet favorable sur divers profils d’humeur.

Et ce, quels que soient le type d’Activité-Physique, la Durée (entre 10 et 60 min) et les Périodes de Repos (entre 5 et 30 min).
Après avoir bénéficier d’une Participation à l’Activité-Physique, Les jeunes ayant une détresse psychologique prononcée, ont bénéficier d’une Réduction du niveau d’Anxiété et de Dépression.


Pendant l’épidémie, les adolescents qui maintenaient une participation régulière, à l’Activité-Physique de faible intensité, Bénéficièrent également, d’une Meilleure Fonction Immunitaire et de Meilleures Conditions de Santé.

Des pays et des régions du monde entier ont lancé des guides d’activité physique pour les adolescents. De nombreux sites Web ont également lancé des méthodes d’Activité-Physique, pour les jeunes.


Des experts et des universitaires en santé publique et en science de l’Activité-Physique ont proposé des suggestions, à l’égard de cette Participation à l’Activité-Physique à Domicile, pendant l’épidémie. Ils ont également fourni des conseils scientifiques, en faveur de cette Santé de la population.


L’Activité-Physique a été recommandée, pour Améliorer le Bien-Etre et l’Efficacité de l’Apprentissage. Ainsi que pour, cette conservation d’un “Bon Climat Psychologique”.

Cette étude, menée entre le 8 et le 15 mars 2020 (après que le directeur général de l’OMS ai déclaré cette Situation d’ Urgence de Santé-Publique, liée au COVID-19.
Un total de 4898 élèves (16 ans en moyenne) ont participé à l’enquête, menée auprès de 49 écoles.


La version chinoise de cette Version Abrégée du Questionnaire International sur l’Activité-Physique (IPAQ-SF) a été utilisée pour mesurer les niveaux d’activité physique chez ces adolescents.
Les états d’humeur de ces adolescents, ont été mesurés à l’aide du “Profil Simplifié des Etats d’Humeur”.


2359 garçons (48 %) et 2539 filles (52 %), 2943 élèves du premier cycle du secondaire et 1955 élèves du deuxième cycle du secondaire, participèrent à l’étude.

Pendant la période épidémique, la plupart des élèves (75 %) se sont levés de 6 h à 8 h et se sont endormis avant 23 h (88 %).
Cette Participation Totale à l’Activité-Physique (d’Intensité Faible à Elevée) était de 23 à 52 min/jour.


Chez les garçons,
Cette Participation Totale à l’Activité-Physique (d’Intensité Faible à Elevée) était de 27 à 65min/jour.
L’Activité-Physique d’Intensité Elevée, représentait la plus grande proportion de cette participation.

Chez les filles,
Cette Participation Totale à l’Activité-Physique (d’Intensité Faible à Elevée) , était de 19 à 36min/jour, avec une Activité-Physique d’Intensité Elevée, qui représentait également la plus grande proportion de cette participation.


Néanmoins, Les garçons ont accumulé beaucoup plus d’Activité-Physique d’Intensité Elevée.
Les taux de Sédentarité des filles, étaient significativement plus élevés.


Les scores de Tension, de Colère et de Confusion étaient significativement Plus Elevés chez les Filles.
La perturbation globale de l’humeur, était également beaucoup plus élevée chez les filles.

En ce qui concerne les scores de tension, de colère, de fatigue, de dépression, de confusion et de perturbation totale de l’humeur, Les scores étaient les plus faibles en première et deuxième année et les plus élevés en troisième année.
Un niveau d’Activité-Physique Plus Elevé, était significativement lié à de plus Faible scores d’Humeur Négative, Ainsi qu’à des Scores d’Humeur Positives plus Elevés.

L’Activité-Physique était liée à l’état d’humeur des adolescents. Et des Niveaux Plus Elevés d’Activité-Physique, étaient associés à de Meilleurs états d’Humeur.
Les adolescents de notre étude ont passé en moyenne :

  • 23 à 52 min/jour, à Participer à de l’Activité-Physique d’Intensité Faible à Elevée.
    Et,
  • Près de 400 min/jour sur les Comportements Sédentaires, par jour.
    Ils étaient moins actifs, que ce qui avait été observé, au cours de précédentes recherches.
    CONCLUSION
  • Le niveau d’Activité-Physique était relativement faible, chez les adolescents chinois pendant cette pandémie de COVID-19.
  • La perturbation totale de l’humeur chez les élèves de dernière année, était relativement plus élevée que chez les autres élèves.

L’Activité-Physique, était significativement associée aux états d’humeur. Des niveaux plus élevés d’Activité-Physique pendant le confinement à domicile, étaient liés à des Etats d’Humeur plus Stables.
Ainsi,
Le Maintien de cette Participation à l’Activité-Physique, peut aider à Réduire ces situations de Colère, de Fatigue et la Dépression des élèves. Situation permettant de Favoriser des Etats Emotionnels Positifs, durant cette situation, liée au COVID-19.


L’Activité-Physique, constitue une composante importante des programmes d’intervention, Pour de futures études, ciblant cette Protection de la Santé Psychologique des Enfants et Adolescents, au cours de ces situations d’Urgences-Sanitaires.

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The novel Coronavirus Disease (COVID-19), as a public health emergency of international concern, outbroke in Wuhan, China in 2019. To date, the disease has spread worldwide and had infected 7,796,517 patients globally (84,730 in China) by 14 June 2020.


The World Health Organization (WHO) declared COVID-19 a pandemic, and the epidemic disease was a global physical and mental health threat.
During emergencies, emotional problems are one of the most prominent social concerns, and people are more likely to have negative emotions such as worry, panic, and confusion.

Mental health problems are difficult to address in pandemic and may have devastating consequence if remains untreated. Long periods of social isolation, anxiety, and mental disorders increase the risk of mental illness.


In the COVID-19 outbreak, studies reported that there has been a high prevalence of mental health problems, and caused major psychological problems in common people, including emotional stress, anxiety, depression and other symptoms.


Since the outbreak of the COVID-19, nationwide school closures have been one of the most important policy interventions adopted by the Chinese government. Due to a long time of home isolation, and repeated delays in the start of school, there existed a great threat on the daily life routines, as well as physical and mental, health of adolescents in middle schools.

Students in Senior High school were under big study pressure during the isolation caused by COVID-19. Adolescents were in a high-risk period of depression, and excessive life events and pressure may induce difficult-to-adjust emotions and psychological health problems.


With reductions in daily movement and huge academic learning pressure in an isolated environment, it is very necessary to investigate the Physical-Activity levels and emotional state of adolescents during the epidemic to promote their healthy growth and study efficiency.


At present, the world prevalence of physical inactivity in children and youth is at a concerning level.
A large number of studies suggest that young people accumulate at least 60 min of Moderate-to-Vigorous intensity Physical Activity per day, while limiting Sedentary Time to <120 min per day.

However, in a survey covering 105 countries, 80.3% of 13–15-year-olds doing fewer than 60 min of Moderate-to-Vigorous intensity Physical Activity per day. In the context of the COVID-19 pandemic, daily transportation Physical Activity per day and leisure-time exercise were very limited.


Most people spent longer time on sedentary behaviors at home, resulting in reduced Physical Activity.
In particular, long-term online academic learning was the major study method for adolescents during the COVID-19 pandemic.

It inevitably led to lower levels of Physical Activity , and prolonged sedentary screen time. Insufficient Physical Activity level of adolescents was associated with increased anxiety level, decreased learning efficiency and increased risk of depression.

Research has approved that increase in Sedentary Time resulted in poor mental health.


High levels of regular Physical Activity can reduce students’ anxiety and stress and improve their on academic performance. Physical exercise have a favorable effect on various mood profiles, regardless of exercise types, duration (between 10 and 60 min) and recovery period (between 5 and 30 min).

Young people with severe mental illness showed reductions in anxiety and depression after the exercise intervention.


During the epidemic, adolescents maintaining moderate-intensity Physical Activity was associated with better immune function and better health conditions.

Countries and areas all around the world have launched home Physical Activity guides for adolescents, and many foreign websites have also launched youth physical exercise methods.

Experts and scholars in public health and exercise science have put forward suggestions for at-home PA during the epidemic, and provide scientific guidance for maintaining healthy.


Exercise was recommended to improve wellbeing and learning efficiency and keep a good emotional state during COVID-19 epidemic.


This study was to investigate whether Physical Activity and sedentary behaviours of adolescents were related to their mood states and mental health during the isolation period caused by COVID-19 pandemic.

This study was a cross-sectional study conducted in the period between March 8th and 15th, 2020 after the Director‑General of WHO declared the COVID-19 outbreak a public health emergency. A total of 4898 students (16.3 ± 1.3 years old) participated in the survey, which was from 49 middle schools.


The International Physical Activity Questionnaire Short Form (IPAQ-SF) – Chinese version were used to measure the Physical Activity levels among adolescents in the present study.
The mood states of those adolescents were measured through the simplified Chinese Profile of Mood States.


Participants (16.3 ± 1.3 years old) in this study included 2359 boys (48%) and 2539 girls (52%), with 2943 Junior High School students and 1955 Senior High School students.

During the epidemic period most students (75%) got up at 6:00–8:00 a.m. and went to sleep before 23:00 (88%) at night.


For boys, the total MVPA was 27.8 ± 65.0 min/day, and vigorous PA accounted for the largest proportion. In the girl group, the total MVPA was 19.2 ± 36.8 min/day, with vigorous PA, also accounting for the largest proportion.
Boys accumulated significantly more vigorous PA than girls, while girls had more moderate PA.


The SED levels of girls were significantly higher.


The scores of tension, anger, and confusion were significantly higher in girls than those in boys. The score of vigor was higher in girls than that in boys.
Total Mood Disturbance of girls was also significantly higher than boys.

The total PA of the Junior Grade 1 and 2 was the lowest, and the Senior Grade 3 was the highest. Significant difference existed in the SED among grades, with Junior Grade 3 was the shortest, while the Senior Grade 3 group was the longest.


For mood states, significant differences existed across different grade groups in the scores of tension, anger, fatigue, depression, confusion and total mood disturbance, with the scores were lowest in Junior Grade 1 and 2, and highest in Senior Grade 3.
Higher PA level were significantly related to lower negative mood scores and higher positive mood scores.


By comparing the mood states of different SED groups, there was no significant association between SED and the mood state.

Boys, adolescents in lower grades, and those with higher PA indicated significantly lower levels of total negative mood scores.


PA was related to the mood state of adolescents, and higher levels of PA was associated with better mood states.
Adolescents in our study spent an average of 23.4 ± 52.5 min/day on MVPA and 363.6 ± 148.4 min/day on sedentary behaviors per day, and they were less active than those in previous research.


CONCLUSION
The PA level was relatively low in Chinese adolescents during the COVID-19 pandemic. The Total Mood Disturbance of the Senior Grade 3 students was relatively higher than those in other grades.

Physical-Activity were significantly associated with mood states, with higher levels of PA during home isolation were related to more stable mood states.


Maintaining an active lifestyle can help to reduce students’ anger, fatigue, depression and produce positive emotional states during the COVID-19 pandemic.

Physical-Activity and exercise are important components of intervention programs for future study aiming to help children and adolescents protect their mental health from adverse impact of public health emergencies like the COVID-19 pandemic.

L’Activité-Physique s’accompagne de nombreux effets positifs, sur divers aspects de notre Santé Physiologique et Psychologique.

Il a été démontré que notre niveau de participation à l’activité physique, Est liée à cette santé psychologique, à l’égard de la dépression, de l’anxiété, de trouble de déficit de l’attention/hyperactivité ou de l’estime de soi.


Des études récentes ont également montré la condition physique (en particulier, l’état de santé cardio-vasculaire), était un indice fiable, lié à la dépression.
De plus, la Composition Corporelle semble être associée à l’Anxiété et au Trouble Déficit de l’Attention/Hyperactivité .

Donc,

Pour reproduire et donc vérifier ces premiers résultats chez les adolescents, nous avons examiné les paramètres de la condition physique (aptitude cardiovasculaire, force musculaire et composition corporelle), Et les liens, entre cette Condition-Physique et la Santé Psychologique (symptômes dépressifs, anxiété et problèmes d’hyperactivité/d’inattention). Ces liens, furent observés, auprès de 511 adolescents allemands.


Les résultats ont révélé des scores plus élevés d’Anxiété et d’Hyperactivité, chez les Adolescents ayant de Faibles niveaux de Force Musculaire. Au sein de cette population, relativement jeune, on a trouvé des relations significatives, entre la condition physique (force) et ces paramètres liés à la santé mentale.

D’autres recherches pourraient être utiles en concentrant la relation (et les mécanismes de développement sous-jacents) entre la Condition Physique et la Santé Mentale. Le suivi de ces associations au fil du temps, chez les adolescents en croissance, pourrait fournir des informations importantes.

Sédentarité = Inflammation Systémique = Croissance du Risque de Pathologies : Alors oui, Pour rester en Bonne Santé, il faut Bouger !

“Associations de l’activité physique, du temps sédentaire et de la qualité de l’alimentation avec des biomarqueurs de l’inflammation chez les enfants”


La prévalence de l’obésité pédiatrique augmente dans la plupart des régions du monde, ce qui prédispose les enfants à un risque accru de diabète de type 2 et de maladies cardiovasculaires (Juonala et coll., 2011).


Or, peu d’enfants atteignent les niveaux recommandés d’activité physique (Cooper et coll., 2015; Guinhouya, Samouda et de Beaufort, 2013) et respectent les recommandations alimentaires (Banfield et coll., 2016; Eloranta et coll., 2011).


L’inactivité physique (Sédentarité) (Wahid et al., 2016) et de mauvaises habitudes alimentaires (Rodriguez-Monforte, Flores-Mateo et Sánchez, 2015), contribuent à accroître le risque de diabète de type 2 et de maladies cardiovasculaires, chez les adultes.
Fait important, le processus pathologique conduisant à ces maladies Cardio-Métaboliques, commencent déjà dans l’enfance.


Des données récentes suggèrent que l’inflammation systémique (illustrée par l’augmentation des concentrations circulantes de biomarqueurs de l’inflammation), peut être importante, concernant ces voies causales menant à la résistance à l’insuline, l’athérosclérose, et finalement, A des manifestations cliniques, de maladies cardiovasculaires.

En outre, des niveaux plus élevés d’activité physique et une meilleure qualité de notre alimentation (consommation plus élevée de fruits, de légumes, d’huiles végétales et de poisson et une faible consommation d’aliments contenant beaucoup de sucre), Ont déjà été associés, à des niveaux plus faibles de facteurs de risque Cardio-Métaboliques traditionnels, chez les enfants (Eloranta et coll., 2016; Poitras et coll., 2016).


Donc,
Nous avons étudié les liens entre l’activité physique, la sédentarité, la qualité de l’alimentation et les biomarqueurs de l’inflammation chez 390 enfants (192 filles, 198 garçons) âgés de 6 à 8 ans.


Les dépenses énergétiques liées à l’activité physique d’intensité faible à élevée, et le temps de sédentarité, ont été évalués au moyen d’un capteur de mouvement et de fréquence cardiaque.
L’indice finlandais de l’ Alimentation Saine des enfants, a été calculé à l’aide des données de leur alimentation, relevées sur 4 jours.


Le pourcentage de graisse corporelle a été mesuré par absorptiométrie à rayons X.
Ces Marqueurs Métaboliques (La protéine C-réactive, la Leptine, l’Interleukine-6, l’Adiponectine, le Facteur de Nécrose Tumorale α et l’Acétylglycoprotéine) ont été mesurés à partir d’échantillons de sang, prélevés à jeun.


Dépenses énergétiques liées à l’activité physique (Activité-Physique d’Intensité Faible à Elevée)


Ces différentes intensités d’Activité-Physique, Étaient, inversement associés à cette présence de “hs-C-reactive Protein”, “Leptin”, “IL-6” (InterLeukine Proinflamatoire : facteur de Nécrose Tumorale), et à la glycoprotéine acétylée (Biomarqueur, associé à un Risque Elevé de Nombreuses Pathologies).


D’un autre côté,
Le temps de Sédentarité, était directement associé à ces concentrations de hs-CRP, leptine et IL-6.


On ne s’y attendais peut-être pas, mais :


L’activité physique d’Intensité Elevée, était inversement associée au hs-CRP, à la leptine et à l’IL-6, chez les enfants ayant un pourcentage de Masse Graisseuse élevé, mais pas chez les enfants ayant un pourcentage de Masse Graisseuse plus faible.


En conclusion,

L’Activité-Physique était inversement et le Temps Sédentaire était Directement associé aux niveaux circulants de Biomarqueurs de l’Inflammation, chez les enfants. De plus, nous avons observé que l’Activité-Physique était Inversement Associée à ces Biomarqueurs de l’Inflammation chez les Enfants ayant un pourcentage de Masse Graisseuse élevé.


Faits Mis en Lumière :
L’inflammation systémique, indiquée par l’augmentation des concentrations circulantes de biomarqueurs de l’inflammation, peut être importante dans les voies causales menant à la résistance à l’insuline, à l’athérosclérose et, à terme, aux manifestations cliniques de maladies cardiovasculaires.

Des Niveaux Plus Elevés d’Activité-Physique et des Niveaux Plus Faibles de Sédentarité, étaient associés à un Profil Inflammatoire Plus Favorable.


Le pourcentage de graisse corporelle, a modifié ces associations. Et, l’Activité-Physique d’intensité Particulièrement Elevée, était inversement associée aux biomarqueurs de l’inflammation, chez les enfants ayant un pourcentage de graisse corporelle élevé. Mais ( pour ce qui est de cette Activité-Physique Très Intense) ceci ne fut observé, chez les enfants ayant un pourcentage de graisse corporelle plus faible.

Cela marche au Royaume-Unis. On essai quand, chez nous !?

Comprendre les Recommendations, liées à notre Participation à l’Activité-Physique, durant nos Temps de Loisirs

Des niveaux insuffisants d’Activité-Physique, constituent l’un des principaux facteurs de risque de décès, dans le monde.


Il existe de solides preuves, démontrant que l’absence d’Activité-Physique, contribue à Accroître le Risque de Maladies Coronariennes, de Diabète de Type 2 et de certains Cancers.
Ainsi, on estime que la Sédentarité, cause 9 % des Décès-Prématurés, au niveau mondial.


Au Royaume-Uni, cette Sédentarité de la population, contribue directement à 1 décès prématuré sur 10, liés aux maladies cardiovasculaires et à 1 décès sur 6, de toutes causes.


Pour atténuer cet impact délétère de la Sédentarité, l’Organisation Mondiale de la Santé recommande, que les adultes entreprennent au moins 150 minutes d’Activité-Physique de Faible Intensité, par semaine.
Mais en 2019, 36,8 % des adultes âgés de plus de 18 ans (en Angleterre), n’ont pas respecté ces lignes directrices. Et 24,6 % d’entre eux ont fait moins de 30 minutes d’Activité-Physique par Semaine.

Ces données, fournissent un argument de 1er ordre, pour explorer l’ensemble des interventions, permettant d’Accroître cette Participation à l’Activité-Physique, de la population.
Les programmes d’Accompagnement vers l’Activité-Physique, se sont révélés populaires, depuis leur création dans les années 1990.


Au Royaume-Uni, ils impliquent des patients atteints d’une variété de problèmes de santé. Patients, qui sont accompagnés par des thérapeutes, vers des Professionnels, attachés à l’élaboration de Programmes d’Activité-Physique, Supervisés.


Au Royaume-Uni, ces Programmes d’Activité-Physique, Supervisés, durent entre 8 et 26 semaines. Ces Programmes, se composent généralement, de 1 à 2 séances d’Activité-Physique par Semaine.

Bien que les données probantes, attestent d’évolutions positives à court terme, concernant ces niveaux de Participation à l’Activité-Physique, L’avantage du Programme d’Activité-Physique Supervisé, demeure incertain, concernant cette croissance de participation à l’Activité-Physique, à long terme.

Des études sont nécessaires pour examiner l’ Activités-Physique réelle, entreprise pendant et après le Programme d’Activité-Physique Supervisé.


Cette étude vise à aborder cette problématique, en utilisant des données de routine, recueillies par observation indirecte, pour examiner:


1) Le Type et le Niveau d’Activité, entrepris durant ces Temps de Loisirs, à court terme (jusqu’à 24 semaines), par ces participants au Programme d’Activité-Physique Supervisé.


2) Les Niveaux d’Activité, entrepris durant ces Temps de Loisirs, à plus long terme (jusqu’à un an), par ces participants au Programme d’Activité-Physique Supervisé.

Nos résultats ont démontré que les participants au Programme d’Activité-Physique Supervisé, respectèrent d’avantage cette Recommendation de l’OMS, faisant état d’un “Minimum de 150 minutes d’Activité-Physique de Faible Intensité, par semaine”.

Nous recommandons que la population soit encouragée à poursuivre ces Programmes d’Activité-Physique Supervisée.
Une attention particulière est nécessaire pour encourager les femmes et les personnes de plus de 60 ans, à poursuivre le suivi de ce Programme de Participation à l’Activité-Physique Supervisé.


Nous recommandons que ces programmes, puissent envisager la façon d’encourager les choix d’activités autonomes, le en tenant compte de l’âge et du sexe.

Promouvoir notre Participation à l’Activité-Physique : Techniques de Changement de Comportement, grâce au Capteurs de Mouvement, portés par l’utilisateur

Oui,
La diminution de notre participation à l’activité physique, contribue à accroître l’incidence des maladies non transmissibles, de l’obésité et décès prématurés.


Pour contrecarrer ces situations, des interventions visant à accroître notre participation à l’activité physique, sont nécessaires de toute urgence.

Les solutions de “Santé Mobiles” comme les Capteurs d’Activité-Physique portables, peuvent aider à améliorer cette Participation à l’Activité-Physique.


L’objectif de cette étude, est d’examiner quelles techniques de changement de comportement, sont incorporées dans Capteurs d’Activité-Physique haut de gamme, actuellement disponibles dans le commerce. Capteurs, ciblant cette Activité-Physique des utilisateurs.


Méthodes :

Les techniques de changement de comportement intégrées dans 5 Capteurs d’Activité-Physique haut de gamme différents (Apple Watch Series 3, Garmin Vívoactive 3, Fitbit Versa, Xiaomi Amazfit Stratos 2 et Polar M600) ont été évaluées par 2 chercheurs.


L’efficacité des techniques liées au changement de comportement, permettant de Promouvoir cette Participation à l’ Activité-Physique, a été évaluée pour l’ensemble de ces Capteurs d’Activité-Physique.


Résultats :


Les techniques les plus courantes, permettant le changement de comportement, étaient :

  • l’établissement d’objectifs (liés au comportement)
  • la planification des mesures enregistrées
  • l’examen des objectifs, liés au comportement
  • l’écart entre le comportement actuel et l’objectif fixé
  • la rétroaction sur le comportement
  • l’auto-surveillance du comportement
    Et,
  • la Biorétroaction Les techniques utilisées avec ces capteurs de mouvements (portés par l’utilisateur), sont capables de promouvoir de manière efficace, cette Participation à l’Activité-Physique de l’utilisateur.

Les Capteurs d’Activité-Physique portables, utilisent différents nombres et combinaisons de techniques, visant à permettre ce changement de comportement , de manière à promouvoir notre Participation à l’Activité-Physique.


Pour promouvoir l’activité physique en employant ces capteurs de mouvements, nous encourageons les chercheurs à développer une méthode, spécifiquement conçue pour évaluer les techniques de changement de comportement, incorporées dans ces capteurs de mouvement portables.

Nous encourageons également les fabricants à personnaliser les techniques de changement de comportement en fonction des populations ciblées.

Pause Active en Classe et Aptitudes Cognitives

“Effets des pauses actives en classe sur la cognition, le Temps passé Assis et sur le Comportement, à l’égard de l’Exécution d’une Tâche, Chez les enfants, pâtissant d’un Handicap Intellectuel”

Les niveaux d’activité physique des enfants ont été comparés dans 49 pays et sont inacceptables faible (Aubert et al. 2018).

Les enfants tributaires d’un Déficit Intellectuel, accumulent la majeure partie de leur activité physique à l’école (Einarsson et al. 2016), Avec très peu D4activité physique (d’intensité faible à élevée), pendant leurs cours d’ éducation physique (Moyenne de seulement 7,8 min) et leurs temps de Récréation
(8,9 min d’Activité-Physique, en moyenne).

Plus de la moitié des enfants, ne respectent pas les recommendations de participation, à au moins 1 heure d’Activité-Physique par Jour.

De plus en plus de données probantes, appuient l’idée que l’activité physique, Se montre source de certains avantages cognitifs, notamment en ce qui concerne les fonctions exécutives ( aptitudes de raisonnement requises, pour atteindre un objectif).
Cette Participation à une Activité-Physique organisée, pourrait être un moyen efficace d’ améliorer le fonctionnement cognitif et le comportement de ces enfants, atteints de troubles neurodéveloppementaux.


Cette étude, visait à comprendre l’incidence de ces “Pauses-Actives” en classe, sur :
1) les fonctions exécutives (y compris l’attention)
2) Ces Temps Assis, Debout et de Déplacement
3) le temps consacré à la tâche, soumise par l’enseignant
Les Écoles de Melbourne, spécialisées pour cette prise en charge d’ enfants ayant un Déficit Intellectuel, ont été contactées.


Les Parents et les enseignants acceptant de participer à l’étude, ont reçu une brochure, contenant des informations sur l’étude, ainsi qu’une enquête, à l’égard de différentes indices démographiques.
Les garçons et les filles âgés de 8 à 12 ans, ont été recrutés, si ils ne présentaient pas :


1) un handicap physique majeur, qui aurait compromis leur participation à des “Pauses Actives”


2) une déficience (surtout visuelle), qui aurait empêché cette participation aux tests cognitifs

2 classes ont été assignées au groupe d’intervention (c.-à-d. pauses actives) et une au groupe de contrôle (c.-à-d. pratique scolaire normale).

*Caractéristiques de la formation des enseignants et des pauses actives


En utilisant les recommandations d’une étude précédente explorant la faisabilité d’effectuer des pauses actives dans les écoles spéciales, nous :


1) cible les enfants âgés de 8 à 12 ans


2) ont offert aux enseignants une variété de pauses actives afin qu’ils puissent choisir et exécuter les activités qui répondent le mieux aux besoins des enfants


3) ont fourni aux enseignants du matériel (p. ex., cartes visuelles et ballons) et des suggestions sur la façon d’adapter les pauses au besoin.

Tous les enseignants du groupe d’intervention ont suivi une formation individuelle de 20 minutes en personne sur la façon de faire des pauses actives en classe.


La formation a consisté en une séance théorique et pratique comprenant un aperçu de la justification de la recherche et une présentation des activités proposées, qui ont également été démontrées dans la pratique.


On a demandé aux enseignants de choisir les pauses actives à partir d’un répertoire spécifique d’activités, conçues pour durer entre 3 et 5 minutes, Et de les utiliser pour interrompre la séance scolaire prolongée des enfants deux fois par jour (entre 9 h et 11 h et entre 11 h 30 et 13 h) pendant 5 semaines

Un ensemble de 12 pauses actives avec des niveaux mixtes de demande cognitive (faible à élevé) a été offert pour aider les enseignants à choisir celles qui convenaient le mieux aux habiletés motrices et cognitives de leur classe.

On a remis aux enseignants un manuel comprenant une description des activités, des instructions précises à suivre pour chaque séance, des suggestions de ressources et d’équipement supplémentaires qui pourraient être utilisés, ainsi que du matériel (p. ex., balles et cartes).

De plus, les enseignants ont reçu des suggestions sur les façons de modifier les pauses actives et de faire correspondre les compétences des enfants.

Cela comprenait l’application d’au moins une des stratégies d’enseignement suivantes : segmentation, modulation de la demande de coordination entre les membres, et ajustements dans le rapport entre la répétition et le changement.

Par exemple, les enseignants pourraient diviser la tâche en un nombre moindre de types de mouvements (segmentation), simplifier le type de tâches motrices exécutées (modulation de la demande de coordination, p. ex., sauter au lieu de sauter). ou augmenter le nombre de répétitions de chaque mouvement pour permettre aux enfants d’avoir plus de temps pour se synchroniser avec l’ensemble du groupe.
Les enseignants du groupe témoin n’ont participé à aucune séance de formation et on leur a demandé de poursuivre leurs activités scolaires normales.

Renseignements démographiques

L’information démographique des participants a été recueillie au moyen d’une enquête auprès des parents, y compris des questions sur l’âge, le sexe et le type de trouble ou d’incapacité de leur enfant, ainsi que d’autres questions liées à la situation socioéconomique de la famille. (c.-à-d. la langue parlée à la maison, l’éducation des parents, la profession et le revenu).
Les principaux résultats d’intérêt étaient les variables du fonctionnement cognitif.

24 enfants d’un âge moyen de 10 ans (37,5 % de filles) ont été incluses dans l’analyse
Une progression significative, fut constatée pour la Mémoire de Travail en faveur du
groupe d’intervention.


Les Elèves Assis, Debout et Marchant


Modèles sédentaires


Des différences importantes entre les groupes étaient (par rapport au nombre total), démontraient que les enfants du groupe d’intervention, ce sont moins déplacés durant leurs heures de classe.


Le Temps passé Assis, en Classe
Corrélé au résultat susmentionné, le groupe d’intervention, bénéficia d’une progression de ce temps passé assis, en classe.

Cinq des six enseignants qui ont consenti
participer à l’essai testé les pauses actives avec
leurs salles de classe.

Les enseignants qui ont mis en place des Pauses Actives, étaient
interviewé à la fin de l’étude, pour mieux comprendre leur expérience de cette stratégie.


Les enseignants ont déclaré qu’ils aimaient l’idée de rompre de longues périodes de classe, par une “pause active”.
( Ils signalèrent toutefois, que certaines activités (les plus exigeantes sur le plan cognitif), semblait trop complexe pour les enfants et pouvaient être source de frustration.

Autre Constat clair : La majorité des enfants adorent ça.

Cependant, certains des enfants semblait trop stimulé par ces pauses actives. Ils nécessitaient l’exécution d’une activité supplémentaire pour revenir au calme.

Certains enseignants ont suggéré, que ces pauses actives en combinaison avec des activités plus apaisantes,
Pourrait répondre de manière plus optimale, aux besoins spécifiques des enfants, durant la journée scolaire.


À notre connaissance, il s’agit de la première étude portant sur les effets des pauses actives en classe, Sur les fonctions cognitives, le comportement sédentaire et le temps passé à la tâche (soumise par l’enseignant), chez ces enfants pâtissant de déficiences intellectuelles.

Des effets favorables, on a également été observés, concernant les comportements sédentaires des enfants.

Cette étude à trois volets portait donc, sur les effets de ces différentes pauses (sédentaires et actives) en classe (périodes de 10 minutes) avec différents niveaux de charge mentale et physique (élevée-faible, faible-élevée, élevée-élevée), Ces Temps, prenaient place 2 fois par jour, sur une période de 20 semaines, chez les enfants de 7 à 9 ans.

On a constaté que ces ruptures du Temps de Classe, accompagnées d’une importante sollicitation mentale et physique, Avaient une incidence positive sur cette Capacité des enfants, à Changer de tâches, Mais pas sur les autres fonctions exécutives de base (le contrôle inhibiteur et la mémoire de travail).
Nous avons proposé des pauses actives avec différents niveaux de sollicitation cognitive, afin que les enseignants puissent choisir celles qui répondent le mieux aux besoins de leurs élèves.

Étant donné que les pauses comprenaient surtout des jeux d’imitation et de stimulus-réponse, nous avons supposé qu’elles étaient cognitivement engageantes pour ces enfants.

Les résultats de cette étude sur la mémoire de travail, suggèrent que la même stratégie peut revêtir différents potentiels pour, différents groupes de populations.

Les programmes d’entraînement cognitif axés sur des domaines comme l’attention et la mémoire de travail, Ont donné des résultats prometteurs chez les enfants ayant des déficits, liés aux fonctions exécutives (Kirk et al. 2015).


De plus, les améliorations observées sont souvent plus perceptibles chez les personnes ayant de mauvaises fonctions exécutives.

Donc,


Ces Pauses Actives en classe, ont aidé les enfants ayant un déficit intellectuel à se détendre, au cours d’une position assise prolongée. Ces enfants ont également augmenter leur nombre de pas. Cependant, aucun effet significatif ne fur observé, sur la plupart des aspects de la cognition ou du comportement, lié au temps de travail en classe.

Un faible effet (mais, statistiquement significatif) a été observé sur la Mémoire de Travail. Mais d’autres recherches avec plus d’élèves, et sur une période plus longue, sont nécessaires pour confirmer cette constatation.

Les pauses actives sont possibles à mettre en place, pour les enseignants d’enfants ayant un déficit intellectuel. Peu d’ équipement et un espace limités, sont nécessaires.

Les divers besoins des enfants ayant un déficit intellectuel, doivent être pris en compte dans le développement de ces pauses actives.

Les pauses actives doivent être considérées comme faisant partie d’un ensemble plus large d’activités, pour les enseignants de ces écoles.

Car oui, ces Pauses Actives peuvent avoir une incidence positive sur l’activité physique et le comportement sédentaire des enfants, atteints de déficit intellectuel. Situation, pouvant également bénéficier, à leur Mémoire de Travail.

Association entre l’Activité-Physique et les Facteurs de Risque Cardiovasculaire

Le fait de ne pas atteindre les niveaux minimums d’activité physique établis par l’Organisation mondiale de la Santé (150 min/semaine d’activité physique de faible intensité ou 75 min/semaine d’activité physique d’intensité élevée, ou une combinaison de celles-ci),
Est un facteur de risque, de maladies cardiovasculaires.

Nous avons étudié l’association entre les différents niveaux d’activité physique et les principaux facteurs de risque de maladies cardiovasculaires, auprès d’une cohorte de population européenne (espagnole) de salariés (âgés de 18 à 64 ans).
Ces personnes, étaient assurés par une grande entreprise de prévention des risques professionnels.


Les participants ont subi des examens médicaux de routine (~1/an) dans le cadre de leur couverture par l’assurance-maladie. Leurs données ont été enregistrées sur une période de 5 ans (2012-2016).
Nous avons recueilli des données provenant du dernier examen médical disponible, pour chaque participant pendant la période de l’étude.

Les variables démographiques et descriptives, comprenaient : la date et le lieu de l’examen médical, le code postal des participants, l’âge, le sexe, l’indice de masse corporelle (IMC) la situation liée au tabac.
Les données ont été enrichies, par le recueil du code postal de chaque participant. Indice, à partir duquel nous avons obtenu de l’information, à l’égard de ces contextes socioéconomique et éducatif.


Nous avons obtenu des renseignements sur les facteurs de risque de maladies cardiovasculaires suivants : Diabète, Hypercholestérolémie, Hypertension, Obésité.

Les niveaux autodéclarés d’activité physique pendant ces temps de loisirs des participants, ont été évalués à l’aide d’un questionnaire, sur la fréquence et l’intensité de l’activité physique au cours d’une semaine typique.


Les participants ont été considérés comme,

* Inactifs (ne participant à aucune Activité-Physique)

* Insuffisamment Actifs (ne respectant pas les lignes directrices de l’OMS, 150 min/semaine et 75 min/semaine en Activité-Physique de Faible Intensité et d’Intensité Elevée, respectivement)

ou,

* Régulièrement Actifs (respectant les lignes directrices minimales de l’OMS, c.-à-d. 150 min/semaine d’activité physique de faible intensité ou 75 min/semaine d’activité physique d’Intensité Elevée, ou une combinaison de celles-ci).


Les données de 527 662 participants (32 % de femmes) ont été utilisées pour l’analyse.

L’association inverse entre les facteurs de risque de maladies cardiovasculaires et une Participation régulière à l’activité-physique a été confirmée chez les deux sexes.


Les avantages liés à la dose d’activité physique qui ont été constatés pour l’ensemble des participants, ont également été corroborés séparément chez les deux sexes.


Ainsi,
Même le fait de participer à des quantités minimales d’activité physique, sera bénéfique par rapport au fait d’être inactif.

Cela met en évidence la nécessité d’éduquer la population et de promouvoir l’activité physique à l’échelle nationale,

D’autant plus que même une faible participation à l’ activité physique, est associée à un risque significativement plus faible de maladies cardiovasculaires.

Associations de comptage de pas entre les adultes à risque de développer un diabète et leurs enfants / Step Count Associations Between Adults at Risk of Developing Diabetes and Their Children

Le Diabète de Type 2, longtemps considéré comme une maladie rare et inaperçue, est aujourd’hui un problème de santé publique international important et l’un des défis sanitaires majeurs du 21e siècle.


Elle peut même être considérée, avec l’obésité, comme la plus grande épidémie de maladie chronique de l’histoire de l’humanité.

Les antécédents familiaux de Diabète de Type 2 sont un facteur de risque important de développer la maladie. Cependant, ces gènes semblent pouvoir représenter 5% à 10% pour le Diabète de Type 2 et environ 4% pour l’obésité, ce qui signifie que, même s’il existe un lien génétique avec l’hérédité du Diabète de Type 2,

L’épigénétique et l’environnement sont également susceptibles d’interagir pour définir le risque individuel de maladie.


Les facteurs de risque indépendants pour le développement du diabète sucré de type 2 chez les adultes comprennent:

  • avoir plus de 45 ans
  • être en surpoids ou obèse
  • souffrant d’hypertension ou de dyslipidémie
    Et,
  • D’autres facteurs environnementaux, tels que,
    * la qualité de l’alimentation
    * augmentation de la durée de visionnage du moniteur
    * sommeil court ou perturbé
    * fumer
    * stress
    * dépression
    * statut socio-économique bas
    Et,
    * être inactif physiquement (“Sédentarité”)

Il faut reconnaître qu’il y a une prévalence accrue du diabète sucré de type 2 chez les jeunes adultes, et les preuves s’accumulent que le Diabète de Type 2 à début précoce a un phénotype de maladie plus agressif, conduisant au développement prématuré de complications avec des effets néfastes sur la qualité de vie.
Des associations positives dans les niveaux d’activité physique entre les parents et leurs enfants de 6 à 11 ans ont été observées lors de l’analyse du nombre de pas effectués tous les jours, les jours de week-end et après 15 h en semaine.

Néanmoins, une autre équipe de recherche a constaté que l’activité physique maternelle était significativement liée à l’Activité-Physique chez les filles, mais pas chez les garçons,

Et que,

Chez les pères, les niveaux d’activité physique étaient principalement liés à l’activité physique chez leurs fils, concluant que les interventions pouvaient se concentrer sur l’activité physique du parent du même sexe.


Des résultats similaires ont été trouvés par d’autres équipes de chercheurs.
Cependant, des résultats opposés ont été trouvés dans une étude menée chez des enfants de 2 à 6 ans et leurs parents, dans laquelle les associations d’activité physique entre les enfants et leurs parents n’étaient pas significatives, Sauf pour l’activité matinale, qui était positivement liée aux activités matinales des mères.

L’association entre les niveaux d’activité physique des parents et les niveaux d’activité physique de leurs enfants peut être un facteur important dans la prévention du Diabète de Type 2 en milieu familial, car son étude nous permettrait d’identifier le non-respect des recommandations et de les motiver à se conformer aux Recommandations en matière d’activité physique.
Néanmoins, on ne sait pas si les niveaux d’activité physique des enfants de parents présentant un risque plus élevé de développer un Diabète de Type 2, sont associés aux niveaux d’activité physique de leurs parents.


Par conséquent, la présente étude visait à,

1) ) Evaluer l’association entre le nombre de pas des parents présentant un risque plus élevé de développer un DT2 avec le nombre de pas de leurs enfants en semaine, les jours de week-end et la moyenne de tous les jours (3 jours de semaine et 2 jours de week-end)


2) Evaluer s’il existe une association entre la conformité des parents et des enfants aux recommandations actuelles sur le nombre de pas
Et,

3) pour évaluer les associations spécifiques au sexe entre les pas par jour dans les types de dyades suivants: mère-fils, mère-fille, père-fils et père-fille.

Les dyades d’enfants et d’un parent (n = 250, 54,4% de filles et 77,6% de mères) de Belgique ont été incluses. Le nombre de pas par jour pendant 5 jours consécutifs des parents et de leurs enfants a été objectivement mesuré avec des accéléromètres ActiGraph.
Le nombre de pas des parents et des enfants a été associé de manière significative pendant tous les jours. Mais aussi, pour avoir un look plus précis, en semaine ou en week-end.
Conclusion:

Il existe une Association Positive entre le Nombre de Pas des Adultes à risque de développer un Diabète de Type 2 et ce Risque pour leurs enfants, en particulier chez les dyades mère-fille et père-fils.

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English now,
Type 2 diabetes, long considered an uncommon and unperceived disease, is nowadays an important international public health problem and one of the major health challenges of the 21st century.


It can even be considered, along with obesity, as the greatest chronic disease epidemic in the history of humanity.


Family history of Type 2 diabetes, is an important risk factor for developing the disease.

However, these genes seem to be able to account for 5% to 10% for Type 2 diabetes and approximately 4% for obesity, which means that, even though there is a genetic link to the inheritance of Type 2 diabetes.

Epigenetics and the Environment are also likely to interact to define the individual risk of disease.
Independent risk factors for the development of Type 2 diabetes in adults include :

  • being over 45 years old
  • being overweight or obese
  • having hypertension or dyslipidemia
    And,
  • Other environmental factors, such as,
    * the quality of diet
    * increased monitor viewing time
    * short or disturbed sleep
    * smoking
    * stress
    * depression
    * low socioeconomic status
    And,
    * being physically inactive

It must be acknowledged that there is an increased prevalence of Type 2 diabetes in younger adults, and evidence is accumulating that young-onset T2D has a more aggressive disease phenotype, leading to the premature development of complications with adverse effects on quality of life.


Positive associations in Physical-Activity levels between parents and their 6- to 11-year-old children have been observed when analyzing the number of steps reached on all days, on weekend days, and after 3:00 PM on weekdays.

Nevertheless, an other research team found that maternal Physical-Activity was significantly related to PA in girls, but not in boys, And that, in fathers, PA levels were predominantly related to PA in their sons, concluding that interventions could focus on the Physical-Activity of the parent of the same sex.
Similar results were found by other researchers teams.


However, some opposite results have been found in a study conducted in 2- to 6-year-old children and their parents, in which associations of Physical-Activity between children and their parents were not significant except for morning activity, which was positively related to the mothers’ morning activities.

The association between parental Physical-Activity levels and Physical-Activity levels of their children may be an important factor in the prevention of T2DM in the family environment, as studying it would allow us to identify noncompliance with recommendations and to motivate them to comply with current Physical-Activity recommendations.
Nevertheless, it remains unclear whether the Physical-Activity levels of children from parents with a higher risk of developing T2DM are associated with their parents’ Physical-Activity levels.


Therefore, the present study aimed,

1) to assess the association between step counts from parents with a higher risk of developing T2DM with their children’s step counts on weekdays, weekend days, and the average of all days (3 weekdays and 2 weekend days)


2) to assess whether there is an association between parents’ and children’s compliance with current step count recommendations
And,
3) to assess the sex-specific associations between steps per day in the following types of dyads: mother–son, mother–daughter, father–son, and father–daughter.

Dyads of children and one parent (n = 250, 54.4% girls and 77.6% mothers) from Belgium were included. Step counts per day during 5 consecutive days from parents and their children were objectively measured with ActiGraph Accelerometers.


Parents’ and Children’s Step counts were significantly associated during all days. But also, when having a more precise look, on weekdays, or on weekend days.


Conclusion:

There is a positive association between step counts from adults at risk of developing Type2 Diabetes and their children, especially in the mother–daughter and father–son dyads.