Vivre plus Longtemps en s’Asseyant Moins et en se Déplaçant Plus

On sait que la Participation à l’Activité-Physique et les Comportements Sédentaires, Sont tous associés au risque de maladies cardiovasculaire et au risque global de maladie.


Cette étude, évalue les recherches récentes, sur ces associations. Et leurs répercussions, sur les lignes directrices, concernant notre Participation à l’Activité-Physique.

Résultats récents :

Dans plusieurs grandes études de cohorte, même des niveaux modestes de participation à l’Activité-Physique (beaucoup moins que ce qui est recommandé dans les lignes directrices actuelles), Etaient associés à un Affaiblissement du Risque de Pathologies. Éviter le Temps passé Assis, de manière prolongée, a également été associé à la Réduction de ce Risque de Pathologies.
La plupart des recherches suggèrent une diminution graduelle de ce risque de pathologies, à long terme. Grâce à une Croissance de notre Participation à l’Activité-Physique.

Résumé :

Chez les Personnes Sédentaires, une Augmentation modeste de cette Participation à l’Activité-Physique et le fait d’ Eviter ces Périodes Prolongées, en Position Assise, Sont susceptibles d’avoir d’Importants Avantages pour notre Santé.

Quel est l’ Impact perçu, du Cycle Menstruel et des Contraceptifs Hormonaux, sur l’ Activité-Physique et le niveau de Performance ? Observations faites  auprès de 1086 Athlètes, de 57 Sports

Pendant le Cycle Menstruel ou pendant l’utilisation de divers Contraceptifs hormonaux,                             Les athlètes féminines s’entraînent et concourent, sous l’influence potentielle des fluctuations hormonales.

La dysménorrhée et les symptômes prémenstruels, sont courants dans la population générale. Il en est de même, pour les Effets Secondaires des Contraceptifs Hormonaux.

Concernant l’Entraînement Sportif et le niveau de Performance (dans différents sports),

Des connaissances plus détaillées concernant la Prévalence et l’Impact perçu de ces Symptômes, sont nécessaires.

L’objectif de l’étude était de,

 1) Caractériser ces Perceptions de l’Entraînement et de la Performance, durant les phases du Cycle Menstruel et l’Utilisation de Contraceptifs Hormonaux. Observations faites, auprès  d’une grande population d’athlètes féminines

2) Savoir si les Symptômes Eprouvés sont liés à ce niveau de Performance perçue

3) Examiner les Potentielles Différences, entre les Athlètes, de Différents Niveaux de Performance

L’étude était fondée sur des données autodéclarées de 1086 athlètes de 57 sports. Athlètes, de différents niveaux de performance.

Ces observations furent permises, grâce à un questionnaire en ligne.

37% (n = 407) des athlètes, n’ont pas utilisé de contraceptifs hormonaux.             Dans ce groupe, les symptômes liés au cycle menstruel étaient courants, quelque soit le niveau de performance  de l’athlète.       En particulier, concernant les douleurs lors des règles (74 %, n = 300 personnes) et les Symptômes Prémenstruels (78 %, n = 318 personnes).

Ces situations, ont Influencé leur niveau de Performance Perçue, sur ces niveau de Performance Aérobie, la Force Musculaire, Mentale, l’Equilibre et Qualité du Sommeil.

63 % (n = 679) des athlètes ont utilisé divers contraceptifs hormonaux et 40 % (n = 272), ont perçu, divers effets secondaires.

La performance physique a été vécue également indépendamment de ce temps, liée à la prise  de la pilule.  Seules les périodes de pilules inactives, ont été associées à un impact plus négatif.

Néanmoins, concernant la planification de leurs entraînements ou de leurs compétitions,  

Seulement 18 % (n = 191) des athlètes ont tenu compte du cycle menstruel ou des contraceptifs hormonaux qu’elles utilisaient.

 Ces résultats indiquent qu’il faut mettre davantage l’accent sur l’identification et le traitement efficace des différents symptômes, liés au cycle menstruel et à l’utilisation de contraceptifs hormonaux.

Ce gros ensemble de données,

Montre que les symptômes liés aux menstruations, sont courants chez les athlètes féminines de tous les niveaux. Ces symptômes ont souvent une incidence, sur leur entraînement et leur performance.

Cependant, peu d’athlètes planifient leur entraînement ou leur compétition en fonction de ces symptômes.

 Ces symptômes sont perçus, comme ayant un lien négatif avec différents facteurs, liés à la performance (Capacité Aérobie, Force Musculaire, Equilibre Mental, Equilibre et Qualité du Sommeil).

Une grande partie des athlètes utilisaient des contraceptifs hormonaux. Les progestatifs étant la méthode la plus courante, non seulement pour la contraception, mais aussi pour traiter divers symptômes liés aux règles.

Même si des effets secondaires ont été signalés,

Les Capacité Aérobie, la Force Musculaire, l’Equilibre Psychologique, l’Equilibre et la Qualité du Sommeil,                                  Ne semblait pas varier au cours de cette prise de la pilule.

A l’exception de cette utilisation de pilules inactives (associées à un impact négatif).

Les résultats de ce sondage auprès de 1086 athlètes féminines, indiquent qu’il faudrait mettre davantage l’accent (pour chaque athlète), Sur l’identification et le traitement efficace de différents symptômes liés au Cycle Menstruel ou a l’utilisation de Contraceptifs Hormonaux.

Activité-Physique et Santé du Cerveau

L’Activité-Physique a été au cœur de la vie de notre espèce, pendant la majeure partie de son histoire. Elle a ainsi façonné notre physiologie au cours de l’évolution.

Cependant,

Les conséquences sur la santé, de ces :

  • Mode de Vie Sédentaire

                   Et,

  •  Régimes très riches en Energie (caloriques…)

Ne deviennent claires, que  récemment.

Nous savons également,  qu’un Mode de Vie et des Habitudes Alimentaires,

Peuvent induire des Modifications Epigénétiques : Modifications de la Structure de notre ADN et de l’Expression des Gènes.

Situations, provoquant des Effets sur le Métabolisme, qui deviennent  Héréditaires.

De nombreuses études ont montré, que l’Activité-Physique peut inverser certains effets indésirables, liés à un mode de vie sédentaire.

Cette participation à l’Activité-Physique, peut également contribuer à Retarder le Vieillissement du Cerveau et l’apparition de Pathologies Dégénératives (ex. Alzheimer, Diabète ou Sclérose en Plaques).

Plus important encore,

La Participation à l’Activité-Physique, permet d’ Améliorer nos Fonctions Cognitives et notre Mémoire.                         L’Activité-Physique,  bénéficie également, d’Effets Analgésiques et Antidépresseurs. Sans oublier, qu’elle induit un sentiment de Bien-Etre.

Un constat, qui accrédite cette ancienne expression :

  • « mens sana in corpore sano » (un esprit sain dans un corps sain).

Oui,

Notre participation régulière à l’Activité-Physique,  s’accompagne d’une variété d’effets positifs, sur le corps humain (Ex. Soutien de notre Santé Cardiovasculaire et Cardiorespiratoire, Amélioration liée à nos Glycémie et de la Réponse Insulinique).

Comme le démontrent l’ensemble de ces preuves, la participation à l’Activité-Physique, nous permet à tout âge, de Soutenir ces bénéfices d’un Esprit Sain, dans un Corps Sain.

Notre participation à l’Activité-Physique, peut représenter une Stratégie Non-Pharmacologique (et parfois agréable), permettant de Retarder les effets du Vieillissement Physiologique et la Neurodégénérescence Pathologique, de notre Cerveau.

Cependant,

Même si des prescriptions d’Activité-Physique (la Fréquence, l’Intensité, le Type et la Durée) ont été données pour certaines situations  (ex. personnes souffrant d’hypertension), nous ne pouvons pas encore faire référence à des prescriptions précises d’Activité-Physique, de manière à optimiser ses effets positifs, sur la Cognition.

D’autres études sont donc nécessaires, pour évaluer plus précisément

Comment les facteurs qui influencent le fonctionnement du cerveau, sont influencés. En fonction du Type, de l’Intensité et de la Période de participation à l’ l’Activité-Physique.

D’autres études sont également nécessaires pour comprendre l’interaction entre les nombreuses molécules. Molécules clés, dont les niveaux changent pendant/après notre participation à l’ l’Activité-Physique.

Oui,

Comme l’espérance de vie augmente partout dans le monde, il est de la plus haute importance pour nous tous, de maintenir :

  •  Notre niveau d’Indépendance, liée à nos Activités Quotidiennes
  • Un sentiment de Bien-Etre

Aussi longtemps que possible.

Puisque l’Activité-Physique peut clairement contribuer à Améliorer nos Condition Physique et Santé Mentale,

Il devrait être une Tâche Sociale et Politique, de Promouvoir l’ensemble des Conditions, qui permettent cette participation à l’Activité-Physique, pour toute la  population .                                     Plus spécialement encore, pour les Personnes Agées et les Enfants !

En particulier,

Nous suggérons, que les médecins encouragent l’ensemble de la population et leurs patients, à participer à l’ Activité-Physique. En soulignant l’Impact et l’Efficacité Supérieurs, liés à une Participation Régulière, à  de l’Activité-Physique de Intensité Modérée (comparativement aux épisodes ciblés, courts et intenses, de participation à l’Activité-Physique).

Activité-Physique, Neuroplasticité et Cognition

Le cerveau humain s’adapte à la modification des exigences.


Comment ?
En modifiant ses propriétés fonctionnelles et structurelles (“neuroplasticité“).


Processus, lié à l’apprentissage et l’acquisition de nouvelles compétences.

Les données convergentes (issues d’études, sur l’homme et l’animal), suggèrent que l’Activité-Physique, facilite la neuroplasticité de certaines structures cérébrales et améliore nos aptitudes cognitives.

Des études sur l’animal, ont permis d’identifier une Amélioration de la Neurogenèse, de la Synaptogenèse, de l’Qngiogenèse et de la libération de neurotrophines.

Mécanismes neuronaux, servant de médiateurs aux effets bénéfiques de l’ Activité-Physique, sur notre Cognition.

Cet examen, résume les conséquences de cette participation à l’Activité-Physique, chez l’homme de différents âges.

Les résultats suggèrent que l’ Activité -Physique peut déclencher des processus, facilitant la Neuroplasticité.

Situation, permettant d’ Améliorer la capacité d’une personne, à répondre a de nouvelles exigences, par l’ adaptation de ces comportements.


En effet, certaines études récentes ont suggéré, que la combinaison d’une Activité-Physique et Cognitive, pourrait aboutir à une Amélioration mutuelle, liée à l’ensemble de ces Aptitudes.

En outre, de nouvelles données suggèrent que, pour soutenir les Avantages Neuro-Cognitifs induits par l’Activité-Physique, cette Amélioration de notre niveau de Forme Cardiovasculaire doit être soutenue.

Activité-Physique, Plasticité Cérébrale et Dépression



La dépression est un trouble psychologique courant, imposant un lourd fardeau à la société, aux familles et aux personnes.

 
Les Changements liés à la Plasticité du Cerveau, peuvent constituer une raison principale, liée à cette situation Dépression.

 Et oui,


Des études récentes ont montré que l’ Activité-Physique joue un rôle positif dans la dépression.


Pour mieux comprendre l’Effet Antidépresseur de l’ Activité-Physique et les changements liés à  la plasticité du cerveau,

Nous avons examiné l’ensemble des travaux de Recherche, concernés.

La Croissance de notre Participation à l’ Activité-Physique, a été jugée, négativement corrélée au risque de dépression.


Des études ont montré que l’ Activité-Physique de type Aérobie, de type Résistance et les Exercices favorisant ce lien Corps-Esprit,

Peuvent Améliorer les Symptômes et les Niveaux de Dépression.

 
L’ Activité-Physique a été démontrée, capable de,

–  Remodeler la Structure du Cerveau, chez les patients Dépressifs

Activer la fonction des Zones Cérébrales d’intérêt

Promouvoir les Changements et l’ Adaptation Comportementale

                  Et,

Maintenir l’intégrité de l’Hippocampe et le Volume de Matière Blanche

Situation, permettant d’ Améliorer ainsi le Fonctionnement Neuronal et de Retarder la Dégradation des Fonctions Cognitives, chez les patients dépressifs.


L’ Activité-Physique est étroitement liée à certaines structures du cerveau. Elle peut agir sur la Dépression, en agissant sur la structure du cerveau.


Ces dernières années, les Effets de l’ Activité-Physique sur la Dépression et la Plasticité Cérébrale, sont devenus un axe de recherche, d’importance majeure.

 D’importants résultats ont été obtenus :


1. Une plus grande Participation à l’ Activité-Physique, est associée à la Réduction du risque de Dépression

 
2. L’ Activité-Physique de type Aérobie, de type Résistance et les Exercices sollicitant ce Lien Corps-Esprit, peuvent Atténuer les Symptômes Dépressifs et Réduire les Niveaux de Dépression.

L’intensité et l’effet à long terme de l’ Activité-Physique, sont devenus des questions de recherche d’actualité.

3. Les patients atteints de Dépression, présentent différents degrés d’ Altération de la Structure et de la Fonction Cérébrales (Ex. changements dans la structure de l’ hippocampe, du lobe frontal, du lobe temporal, du cervelet).                                                                                                                                                    Aujourd’hui, une variété de techniques de neuroimagerie, ont permis de révéler ces changements liés à  la Plasticité du Cerveau, en cas de Dépression.

4. L’ Activité-Physique a un effet positif sur la plasticité cérébrale chez les patients dépressifs.                                      

Elle peut permettre ces,

–  Reconstruction de Structures Cérébrales

– Activation de différentes Régions du Cerveau

– Promotion des Changements/Adaptabilité des Comportements

Effet Positif, sur le Maintien du Volume de l’ Hippocampe et l’Intégrité du Volume de  Substance Blanche (responsable de la propagation des informations dans le système nerveux)

– Amélioration liée à l’ Efficacité du Traitement Nerveux de l’Information et retarder la dégradation de la fonction cognitive.

Des études futures sont nécessaires (de toute urgence) pour établir des prescriptions précises, de Participation à l’Activité-Physique. Prescriptions, permettant d’ Atténuer ces Symptômes Dépressifs.

Des études , sur différentes populations dépressives

Des études, utilisant l’imagerie cérébrale multimodale combinée à de multiples -méthodes analytiques.

Effets de l’Activité-Physique, sur les Enfants atteints de Troubles du Spectre Autistique : Santé Métabolique, Traits Autistiques et Qualité de Vie

Cette étude a examiné les effets d’une intervention de 48 semaines, axée sur cette Participation à l’Activité-Physique.                                                                                               Effets, sur le Profil Métabolique, les Traits Autistiques et la Qualité de Vie perçue, chez les Enfants atteints de Troubles du Spectre Autistique.

Nous avons réparti au hasard 64 enfants atteints de troubles du spectre autistique (âgés de 6 à 12 ans). Enfants, répartis entre le groupe expérimental ( n = 46) et le groupe témoin ( n = 18).

On a alors utilisé des analyses (modélisation de régression à plusieurs niveaux), pour examiner et comparer les effets, entre ces 2 groupes (Participant/Ne participant pas à l’Activité-Physique).

Le groupe expérimental (ayant bénéficié de cette participation à l’Activité-Physique) a bénéficié d’ Effets Positifs sur ces,

–   Indicateurs Métaboliques Cholestérol (lipoprotéines à haute densité), Cholestérol (lipoprotéines à Faible Densité) et Cholestérol Total.

–  Traits Autistiques

                             Et

Qualité de Vie (perçue par les parents)

Nos résultats soutiennent cette Participation à l’Activité-Physique (Coordination de base et Sollicitation de la Force), prenant place d’Interventions Thérapeutiques Importantes, pour les Enfants atteints de Troubles du Spectre Autistique.

Facteurs Modifiables du Style de Vie et Réserve Cognitive : Revue Systématique des Données Actuelles

Cette revue systématique vise à résumer les approches d’évaluation de la réserve cognitive  et à examiner le rôle de 7 facteurs modifiables de notre Style de Vie (Alimentation, Tabagisme, consommation d’Alcool, Activité-Physique, Activité Cognitive de Loisirs, Sommeil et Méditation).

Quels sont ces facteurs, permettant d’ Atténuer les Effets des Changements Cérébraux, liés à l’Age ou à la Maladie, sur la Cognition ?


18 études, basées sur la population anglaise, ont été incluses.


Dans l’ensemble, les études suggèrent que les facteurs liés au mode de vie (Activité Physiques et Cognitives) peuvent contribuer à Préserver notre Réserve Cognitive et Atténuer l’Impact Délétère  de changements cérébraux, sur la cognition.


Activité physique
Selon les études, entre 174 et 980 personnes, participèrent.


Ces personnes étaient,

  • Agées d’environ 50 ans
  • Présentaient une Dégénérescence Cérébrale ( Lobes Frontal et Temporal)
  • N’étaient pas atteintes de démence
    Comparativement à leurs pairs, les plus Sédentaires.

Il fut constaté, que les personnes participant à plus d’ Activité-Physique,

  • Bénéficiaient d’une Moindre présence de ces Marqueurs Pathologiques du Cerveau (ex. Volume Frontotemporal, Hyper-Activation de la Matière Blanche, Athérosclérose)
  • Bénéficiaient d’une Moindre Détérioration des Fonctions Cognitives

Une étude utilisant des données post-mortem a également révélé que l’Activité-Physique était Positivement Associée à la Cognition Globale, après le contrôle de diverses pathologies cérébrales courantes, et de la maladie d’Alzheimer.

Données suggérant,  que notre Participation à l’Activité-Physique peut Soutenir nos Réserve et Fonctions Cognitives.

Association d’une Activité-Physique d’ Intensité Elevée, par Intermittence, Avec le Risque global de Décès

Les appareils portables de mesures (accéléromètres), peuvent enregistrer l’ensemble de nos Mouvements, exécutés au Quotidien.

Ici, nous avons examiné l’association entre ces Mouvements exécutés au Quotidien, et l’incidence de:

  • Décès de Toutes Causes confondue
  •  Décès liés aux Maladies Cardiovasculaires
  • Décès liés au Cancer

Mesures faites, auprès de chez 25241 personnes, ne pratiquant aucune Activité-Physique particulière. Personnes (14178 femmes/11063 hommes), âgées de 61,8 ans en moyenne, au Royaume-Uni.

Sur une période de moyenne, de 6,9 ans de suivi, 852 décès sont survenus.

Cette Activité-Physique d’Intensité Elevée, exécutée par intermittence au Quotidien,

A été Inversement Associée à ces trois résultats (Décès de Toutes Causes confondues, liées au Cancer ou aux Maladies Cardiovasculaires) de façon quasi linéaire.

Comparativement aux participants qui n’ont participé à aucune activité de ce type, les personnes qui ont participé au Quotidien, à une moyenne de 3 épisodes (d’une durée de 1 à 2 minutes chacun) d’Activité-Physique d’Intensité Elevée,                                                                                                                       Ont bénéficié d’une,

  •  Réduction de 38 %, liée à ce Risque de Décès de Toutes Causes confondues
  • Réduction de à 40 %, liée à ce Risque de Décès, lié au Cancer
  • Réduction de 48 à 49 % du risque de décès,  lié à une Maladie Cardiovasculaire

Ces résultats indiquent que de petites quantités d’Activité Physique (non forcément, sportives) d’Intensité Elevée,                                                                                                                                                         63Sont associées à une Mortalité Considérablement Plus Faible.

Résultats, permettant de mettre en lumière une Cible appropriée, concernant cette Participation à l’Activité-Physique.

En particulier, chez les personnes qui ne sont pas en mesure ou disposées à entreprendre cette Participation à l’Activité-Physique.

Effets de l’ Activité-Physique pratiquée dans l’Eau, Sur la Santé Mentale, l’Autonomie Fonctionnelle et le Stress Oxydant chez les Personnes Agées Déprimées

Une moindre participation à l’Activité-Physique,  peut contribuer de façon significative à La Croissance des niveaux de Dépression.

D’autre part, une participation régulière à l’Activité-Physique, Modifie Positivement les Symptômes de la Dépression et Favorise la Santé Mentale.

En outre, l’Activité-Physique Facilite et Stimule l’Interaction Sociale. Situation, ayant des Conséquences Positives, sur la Qualité de Vie.

Des Interventions qui pourraient être Bénéfiques pour la Santé Physique et Mentale de cette population de Personnes âgées, doivent être facilement réalisables et efficaces. Interventions, permettant d’Optimiser les résultats, liés à la Santé Globale de cette population de Personnes Agées.


Récemment, la Recherche s’est centrée sur les Marqueurs de cette Santé Mentale. Marqueurs, reflétant ces processus physiopathologiques courants, liés à ces,

  •  Perte d’Autonomie Fonctionnelle
  • Croissance du Stress Oxydant

Facteurs, ne se manquant  impliqués, dans la dépression.

Oui,

Les Facteurs de Stress Psychosociaux, un Mode de Vie Sédentaire et une Faible Autonomie Fonctionnelle,

Peuvent Modifier le Fonctionnement Cellulaire.

Ils ont alors  été proposés,

Comme Cibles d’intervention Valables, pour le Traitement ou la Prévention de la Dépression.

Bien que des études aient montré une Amélioration Significative des Symptômes Dépressifs des Personnes Agées, après une Participation Régulière à l’Activité-Physique,

Ces relations entre la Santé Mentale, l’Autonomie Fonctionnelle et le Stress Oxydant, manquent de clarté.

Le but de cette étude était d’étudier ces effets de l’Activité-Physique, pratiquée dans l’Eau,  sur ces Santé Mentale, l’Autonomie Fonctionnelle et Paramètres du Stress Oxydant, chez les Personnes Agées Déprimées.


30 personnes âgées ont été incluses dans l’étude et ont été réparties dans le groupe Dépressives (n=16) et le groupe Non Dépressives (n=14).


Les deux groupes ont participé au programme d’Activité-Physique, pratiquée dans l’Eau, pendant 12 semaines,

  • 2 séances hebdomadaires (45 min/séance) de Faible Intensité (entre 50 % et 60 % de la fréquence cardiaque maximale ou des scores à l’échelle borg de 13 à 14) tout au long de l’intervention.

Tous les résultats ont été évalués au départ et 12 semaines plus tard.

Alors,

Les participants, avaient 63,5 + ou – 8,8 ans.

Pour ce Groupe de Personnes Dépriméles Scores suivants, se sont Améliorés,  suite à cette période d’ Entraînement :

  • Meilleure situation, liée à leur Dépression
  •  Meilleure situation, liée à leur Anxiété
  • Meilleure Autonomie Fonctionnelle (Test : Timed Up & Go).

Les indices suivants, se sont Améliorés :

  • Échelle d’Equilibre de Berg  et de Souplesse

En ce qui concerne les Paramètres Sanguins de ces Personnes Dépressives, furent observés,

  •  une Moindre Carbonylation (liée au Stress Oxydant et au Vieillissement) des protéines
  • Une Meilleure Production d’Oxyde nitrique (molécule anti-inflammatoire, qui favorise la vasodilatation des vaisseaux, une meilleure circulation du flux sanguin dans le corps, et une régulation les dommages du système cardio-vasculaire)
  • Une Meilleure Production de Glutathion (Molécule Antioxydante) et de Superoxyde Dismutase (Réduit le Stress et ses conséquences, tels que les troubles du sommeil. Améliore également la Concentration et la Mémorisation)

CONCLUSIONS :

Chez les Personnes Agées Déprimées.

Cette Activité-Physique, pratiquée dans l’Eau, permet d’ Atténuer cette situation de Dépression et d’ Anxiété.

Elle permet également, d’ Améliorer l’ Autonomie Fonctionnelle et de Diminuer ce Stress Oxydant, responsable de la détérioration de nos cellules.

PERTINENCE CLINIQUE et MISE EN ŒUVRE des CONSIDÉRATIONS, RELATIVES À L’ACTIVITÉ PHYSIQUE, Pour la Survie au Cancer, des Jeunes Adultes

Suite à un diagnostic de cancer, la participation à l’Activité-Physique, permet d’ Améliorer diverses situations, sur ces domaines Physiques, Psychologiques et Sociaux, liés à la Santé.

Cependant,

Pour ces jeunes adultes, survivants au Cancer,

Il n’y a pas de lignes directrices normalisées, sur l’Activité-Physique Adaptées.

Par conséquent, il est essentiel de comprendre les domaines de pertinence clinique et sources d’accord, Concernant cette utilisation de l’Activité-Physique,  dans le cadre de leurs soins.

Alors,

Des Experts (internationaux) multidisciplinaires (Oncologie et Activité-Physique – Gestion des Symptômes – Soins, liés à cette Survie au Cancer) furent consultés.

Conclusions :

Chez ces jeunes adultes survivant au cancer,    Ces modèles de soins en cancérologie, devraient :

  • Laisser une Place Optimisée à l’Activité-Physique
  • Optimiser cette inclusion de l’’Activité-Physique, à l’égard de leurs : *Préférences *Forces *Stade de Développement du Cancer