1ère année, liée à la Pandémie de COVID-19 : Association entre l’Activité-Physique et la Santé Psychologique


La pandémie de coronavirus 19 a touché des pays du monde entier et a perturbé la vie d’un bon nombre de personnes.


Une moindre participation à l’Activité-Physique et une croissance des problèmes de Santé Psychologique, ont été observées. Principalement au cours de la première année de cette pandémie.


Pour observer cette association, une analyse des travaux de recherche (31 publications) fut menée.

Dans l’ensemble, les études suggèrent qu’une élévation du niveau de participation à l’ Activité-Physique, est associée à un Meilleur niveau de Bien-être, à une Meilleure Qualité de Vie, ainsi qu’à une Diminution des Symptômes Dépressifs, de l’Anxiété et du Stress.

Ces résultats furent observés, indépendamment de l’âge des personnes.


Il n’y avait pas de consensus, concernant le niveau optimal d’Activité-Physique (ni pour la fréquence, ni pour le type d’activité physique) pour atténuer ces symptômes psychologiques.


Globalement,
Les femmes étaient plus vulnérables aux perturbations de leur Santé Psychologique. Les hommes étaient plus sensibles aux changements, concernant cette participation à l’ Activité-Physique.

Oui,
Au cours de la première année de la pandémie, L’Activité-Physique pris place d’ un choix judicieux et efficace, pour atténuer ces effets négatifs de la pandémie de COVID-19. Effets délétères, à l’ égard de notre Santé Psychologique.
Les politiques de santé publique, devraient attirer l’attention sur les possibilités d’augmenter ce niveau de participation à l’ Activité-Physique, durant notre Temps, passé à Domicile.

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Julien Gloanec

Science-Santé source d'Apaisement-Publique

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